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A bientot
 

[Vidéo] Une promeneuse sans gêne et ses chiens délogés d’une propriété privé

Depuis quelques années, les propriétaires terriens doivent composer avec un étrange public qui a tendance à penser que la nature est à tout le monde.

Sous prétexte de se promener et d’avoir des animaux de compagnie qu’il faut faire courir, certains habitants se rendent dans les terrains ne leur appartenant pas et s’y promènent comme s’il s’agissait d’un parc public.

A la chasse, nous avons régulièrement l’occasion de croiser ce genre de phénomènes mais pour certains, c’est dans des grandes pelouses ou dans des près au pieds des maisons qu’il semble naturel de se promener.

La propriétaire d’un terrain a pu faire l’expérience de cette situation en voyant une femme et ses chiens débarquer littéralement dans son jardin.

Quand elle lui explique qu’elle se trouve sur une propriété privée, la promeneuse met beaucoup de temps à comprendre qu’elle ne peut pas rester là, comme s’il était normal qu’elle se balade dans le terrain de quelqu’un d’autre.

Lorsque la propriétaire des lieux lui explique qu’elle ne peut pas rester là et qu’il s’agit d’un terrain privé, la promeneuse a même l’audace de lui répondre « C’est la campagne quand même… »

A la vue de ces images, on peut comprendre pourquoi certains propriétaires sont sur les dents et se montrent de moins en moins patients à l’égard des promeneurs en zone rurale…

@mariane__ba Lorsque les gens se pensent chez eux pour balader en detente chez toi ! #nature #pourtoi #foryou #foryoupage #visiteur #incruste #squateur #jardin #nature ♬ Comedy Scenes – Comical, stupid, odd, lovely (Drumless)(1441321) – Ponetto

[Vidéo] Un piège pour corriger les souris mais ne pas les tuer

Le concours Lépine n’a qu’a bien se tenir, un bricoleur américain vient de peut-être développer la nouvelle invention de l’année.

Alors que la majorité des pièges à souris entrainent la mort de ces dernières, à commencer par la redoutable et inégalée tapette, un homme a réfléchi (si si !) à un procédé pour faire fuir les souris mais ne pas les tuer.

Pour ce faire, quoi de plus logique de capturer ratatouille, lui flanquer une bonne raclée puis le relâcher? Après tout, ça marche avec certains individus !

Voici donc un piège « no-kill » qui va ceinturer l’intrépide souris puis lui infliger la correction de sa vie via des petits moteurs simulant une fessée. Nul doute qu’après pareille frayeur, on ne la reverra pas de si tôt ! Est-ce la fin des chats dans nos fermes pour autant ? Rien est moins sûr…

[Vidéo] Compilation hilarante avec des chiens de chasse

Rien qu’en France on estime qu’il y a pas moins de 7.5 millions de chiens domestiques, un réservoir quasi inépuisable d’amour mais aussi de bêtises en tout genre !

Nos compagnons à 4 pattes ne sont pas que des auxiliaires de chasse, pour la grande majorité d’entre eux il vivent à nos côtés, dans nos maisons, toute l’année.

Athlètes dans l’âme, ils regorgent d’énergie et même parfois un peu trop, surtout quand l’ouverture est encore un peu loin.

Voici une compilation hilarante de chiens, dont certains de chasse, qui adoptent un comportement tout à fait particulier ou se retrouvent dans des situations improbables

Des visiteurs tentent d’arracher les bois des cervidés du Parc Richmond

Au Parc Richmond en Angleterre, les agents de police sont en alerte après que des faits plutôt insolites leur soient rapportés. Des visiteurs essaieraient de s’approcher des cervidés présents dans le parc afin de leur arracher les bois directement sur la tête.

Des comportements inconcevables.

Mais dans quel monde vit-on? Voilà la question que l’on peut se poser suite à cette affaire qui fait actuellement le buzz au Royaume-Uni.

Les agents en charge du Parc Richmond ont lancé une annonce sur les réseaux sociaux pour avertir le public que des comportements préoccupants ont été observés le week-end dernier.

Plusieurs visiteurs du parc se sont approchés des daims et des cerfs présents en liberté dans le parc, non pas pour prendre un selfie comme le font la majorité des gens mais pour tenter de leur dérober leurs coiffes.

Ces visiteurs ont été vus en train de tirer sur les bois des cervidés afin de les arracher et de pouvoir quitter les lieux en possession de leur « récompense ».

Un comportement inacceptable et dont le but précis reste encore un mystère. Était-ce un pari, une déviance de quelques-uns ou une nouvelle trouvaille pour faire le buzz sur les réseaux sociaux?

Toujours est-il que les agents des parcs royaux ont expliqué que des images de ces méfaits ont été capturées par des caméras de surveillance. Une enquête est probablement en cours pour identifier le ou les auteurs des faits qui devront donc répondre de leurs actes.

A lire aussi : Un petit bison euthanasié à Yellowstone après avoir été touché par un touriste

Les agents du parc demandent à tous les visiteurs témoins de ce genre d’action d’appeler immédiatement la police pour rapporter les faits constatés.

Le public souvent à l’origine de troubles dans les parcs.

Le Parc Richmond attire chaque année des millions de visiteurs qui peuvent donc profiter de la présence de plus de 500 cervidés qui évoluent librement au sein de l’espace naturel.

Bien que des règles de bonne conduite et de sécurité soient indiquées dans les parcs contenant des animaux en liberté, le public ne réagit pas forcément comme s’il s’agissait d’animaux sauvages.

Les agents en charge de ces parcs doivent donc sans cesse rester vigilants pour éviter que des visiteurs ne se lancent dans des approches dangereuses des animaux pour faire une vidéo ou un selfie qui leur vaudra quelques minutes de célébrité sur les réseaux sociaux.

Il arrive parfois que des visiteurs essaient de monter sur les animaux des parcs ou que les plus jeunes animaux soient touchés par ces derniers, avec les conséquences que l’on connaît pour leur survie.

Si ces comportements sont dangereux, ils restent plus souvent la conséquence d’un manque de discernement mais avec ces tentatives d’arracher les bois des cervidés directement sur leurs têtes, un cap a assurément été franchi…

Un parapentiste frôle la mort après l’attaque d’un aigle royal dans les airs

Alors qu’il s’élançait pour une sortie en parapente dans la vallée de Bozel en Savoie, un homme a été attaqué par un aigle royal et a du lutter pendant près d’un quart d »heure pour se débarrasser du rapace. Sérieusement blessé au niveau du bras, il a été pris en charge par les secours dès sont retour au sol.

Une attaque rare mais terrible.

Les attaques de l’aigle royal sur l’homme sont suffisamment rares pour susciter la surprise mais quand cela arrive, les dégâts sont importants.

Comme le rapporte Le Dauphiné Libéré, un parapentiste a vécu cette terrible expérience alors qu’il prévoyait de se lancer au dessus de Bozel en Savoie.

Il a décollé vers midi avec deux autres camarades pour profiter en groupe de cette sortie quand un aigle royal s’est attaqué à lui par l’arrière. Après avoir percuté l’arrière de sa tête, il s’est ensuite agrippé à son bras qui a été lacéré à plusieurs reprises par le rapace.

Pendant près de 13 minutes, l’homme et ses deux amis vont se débattre avec le rapace qui refuse de lâcher prise. Fort heureusement, le pilote attaqué par l’aigle royal est expérimenté et il va pouvoir réaliser une descente en tournant en rond. Arrivé à une centaine de mètres du sol, l’aigle va finir par relâcher son étreinte et s’envoler.

L’homme a pris en charge dès son arrivée au sol.

Après ce combat intense dans les airs, le bras gauche du parapentiste était en mauvais état et nécessitait une intervention d’urgence. Les plaies infligées par le rapace étaient profondes et nombreuses.

Il a été évacué vers l’hôpital le plus proche afin de recevoir des soins adaptés et se remettre de ses émotions.

Une attaque de ce genre par un rapace aussi imposant que l’aigle royale laisse forcément des traces et l’oiseau a lacéré son bras à une cinquantaine de reprises.

Pour les associations de protection animale comme la LPO, cette attaque est impressionnante mais peut s’expliquer car les rapaces défendent la zone ou leurs nids sont présents. Elle considère que la zone doit être évitée jusqu’à la fin du mois d’août car la période de reproduction sera terminée et les risques d’attaques seront donc moindres.

Un sanglier mort retrouvé au beau milieu du city stade d’une commune Varoise

Ce mardi 16 avril, la police municipale de la commune de Barjols a fait une bien étrange découverte sur le terrain du city stade. Un sanglier mort gisait là et avait manifestement été déposé par quelqu’un de mal intentionné. La mairie a décidé de porter plainte.

Un sanglier mort considéré comme une dégradation.

C’est durant la matinée qu’un policier municipal s’est aperçu qu’une étrange forme noire apparaissait au milieu du city stade de Barjols. En s’approchant des lieux, il a pu observer rapidement qu’il s’agissait en réalité d’un sanglier mort qui avait manifestement été déposé là volontairement par quelqu’un.

Les élus ont pu constater la présence de la bête noire et sont convaincus qu’il s’agit là d’un acte de dégradation.

On pourrait penser que le suidé a tenté de venir gratter la pelouse synthétique du city stade mais l’animal est disposé de manière trop précise sur la ligne de démarcation pour que ce soit une coïncidence.

De plus, l’espace familial « des Tourtouires » a déjà été visé récemment par des dégradations. Une balançoire a été volontairement abîmée peu de temps avant la découverte du sanglier et la mairie a été contrainte de la faire enlever.

Une plainte déposée par la mairie.

Sur les réseaux sociaux, la mairie de Barjols a rapidement exprimé sa colère à travers un message sans équivoque.

A travers sa page Facebook, elle affirme qu’une enquête est en cours pour retrouver le ou les responsables de cet acte, ce qui implique donc qu’une plainte a été déposée.

Dégradation volontaire ou mauvaise blague?

Certes il n’est pas éthique ni intelligent d’abandonner ainsi un animal mort et encore moins dans un lieu fréquenté par des enfants mais certains se posent la question de savoir si les réactions ne sont pas excessives.

Si il y a quelques décennies, la mairie aurait simplement mené la bête à l’équarrissage et tenté de trouver les responsables pour les faire payer de manière discrète, la société a évolué de telle manière que le dépôt d’une carcasse de sanglier dans un lieu public déchaîne les foules sur les réseaux sociaux et peut mener jusqu’au tribunal.

Ce qui est sûr, c’est que le ou les auteurs de cette mise en scène vont être poursuivis s’ils sont identifiés.

[Vidéo] Un chien poursuivi par un sanglier au beau milieu des cités

L’arrivée des sangliers en zone urbaine apporte son lot de problèmes pour les habitants mais aussi pour leurs animaux domestiques. Les chiens et les chats doivent désormais surveiller leurs arrières sous peine de se faire grignoter l’échine par des suidés.

Afin de trouver des déchets dans lesquels fouiller pour y chercher leur prochain repas, les sangliers sont de plus en plus attirés par les immeubles et les cités ou ils trouvent plus facilement des poubelles.

A lire aussi : [Vidéo] Une chèvre défend son petit face à un sanglier

Dans cette vidéo, on peut voir que des sangliers ont décidé de se lancer dans l’exploration d’un terrain entre quelques immeubles en Pologne mais croisent le chemin d’un chien qu’ils considèrent comme un intrus à chasser.

L’un des sanglier va alors poursuivre le chien sur plusieurs mètres mais ce dernier va toujours rester à bonne distance du suidé.

Finalement, les deux sangliers vont abandonner leurs projets, sous l’œil moqueur du chien qui revient les narguer après la course poursuite.

@3inakherson

♬ оригинальный звук – ЗінаKherson

Un grand plan de sauvetage du Grand Tétras va débuter dans les Vosges

Le Grand Tétras cristallise les attentions de nombreux passionnés de la nature depuis des décennies. Malgré plusieurs tentatives mises en place par les chasseurs et les autres intervenants dans ce projet, voilà 30 ans que l’espèce continue de décliner. La préfecture de la région Grand-Est a annoncé hier de manière officielle un projet de renforcement du Grand Tétras dans le massif des Vosges.

Un projet d’envergure pour le retour du Grand Tétras dans les Vosges.

Depuis des années, les chasseurs de petit gibier et tous les amoureux de la nature ont sonné l’alerte sur le déclin des populations de Grands Tétras. Les nemrods ont été aux premières loges pour observer la diminution des populations du gallinacé et ont déjà pris depuis longtemps des dispositions pour le protéger au maximum tout en conservant un intérêt certains pour l’espèce en tant que gibier.

De même, les marcheurs, randonneurs et vététistes s’interdisaient de fréquenter certaines zones connues pour être des lieux de reproduction du Grand Tétras afin de ne pas déranger l’oiseau et de lui garantir une tranquillité maximum.

Malgré les efforts consentis, le déclin de l’espèce a continué au fil des années. La préfecture de la région Grand-Est et le Parc Naturel Régional des Ballons des Vosges ont publié un dossier en commun sur le sujet dans lequel on retrouve ce graphique.

Une telle courbe ne peut que pousser à la réflexion et les autorités ont pu identifier trois causes principales de cette effondrement des populations du Grand Tétras :

  • Les interventions sur l’habitat forestier du Grand Tétras à savoir les coupes à blanc, les plantations et la mécanisation du travail en forêt,
  • L’augmentation importante des populations d’ongulés et la pression exercée par les prédateurs,
  • le développement de la fréquentation de la forêt ainsi que la création d’infrastructures touristiques (chemins de randonnées, stations de skis, routes, etc.)

Le renforcement des populations au cœur du projet.

Parmi les partenaires impliqués dans la sauvegarde du Grand Tétras on retrouve évidemment la région et le Parc Naturel Régional mais aussi entre autres l’ONF, la DREAL, la Fédération des chasseurs et la Fédération du Club Vosgien.

Tous ces partenaires s’engagent dans le retour du Grand Tétras à travers un projet autorisé par l’État à titre exploratoire pour une durée de 5 ans minimum.

Au delà des actions déjà mises en place depuis les années 90 visant à entretenir l’habitat du gallinacé et de lui assurer des zones de plusieurs hectares ou il pourra se reproduire en toute quiétude, le projet vise à aller encore plus loin.

Un partenariat a été mis en place avec la Norvège pour que des Grands Tétras soient capturés dans leur milieu naturel afin d’être transférés dans le massif des Vosges.

En Norvège, la population de Grand Tétras est estimée à environ 200 000 individus. Bien que l’espèce soit chassée dans ce pays, les chasseurs locaux ont accepté que les individus capturés pour être relâchés chez nous soient décomptés de ces quotas.

Ce sont donc 40 Grands Tétras qui seront capturés en Norvège puis relâchés dans le massif Vosgien.

Bien évidemment, les oiseaux ne seront relâchés qu’après une batterie d’examens et un marquage qui permettra de les suivre une fois relâchés.

Un budget d’environ 200 000 euros par an sera attribué au bon fonctionnement de ce projet auquel les chasseurs ne manqueront pas de participer afin de sauver une espèce qu’ils essaient de tenir à bout de bras depuis des années comme d’autres acteurs de la région.

[Vidéo] Des automobilistes obligés de s’arrêter au milieu d’une route ont pu compter les sangliers

Les compagnies de sangliers sont souvent aperçues par des agriculteurs en plein champs ou par des chasseurs qui réussissent à les lever en battue mais il est plus rare que des automobilistes assistent à un tel spectacle.

En pleine journée et sous un ciel radieux, une compagnie de sangliers décide de traverser une route assez fréquentée, forçant les automobilistes à immobiliser leurs véhicules.

A lire aussi : [Vidéo] Une belle compagnie de sangliers traverse les bois en file indienne

Certains d’entre eux ont eu le réflexe de sortir leurs smartphones pour filmer les suidés qui sont passés devant eux en file indienne.

Saure-vous compter combien de sangliers forment cette compagnie?

Un loup tué dans la Drôme suite à une attaque sur un troupeau

Dans la nuit du 12 au 13 avril, un tir de défense a abouti sur le prélèvement d’un loup dans la Drôme. L’animal était en position pour attaquer un troupeau de brebis sur la commune de Montbrun-les-Bains quand les lieutenants de louveterie ont procédé au tir.

Le loup était en situation d’attaque.

Voilà un nouveau prélèvement qui va faire bondir les animalistes pro-loups qui diront encore une fois que ce n’est pas normal de prélever ces prédateurs « qui étaient là avant les hommes ».

Pourtant, c’est en toute légalité qu’un nouveau loup a été tiré par les lieutenants de louveterie qui étaient en surveillance d’un troupeau sur la commune de Montbrun-les-Bains, dans le département de la Drôme et à la frontière avec le Vaucluse.

Le tir de défense était le dernier recours des lieutenants de louveterie pour empêcher l’attaque sur les brebis car le troupeau bénéficiait de tous les moyens de protection plébiscités par les autorités et par les défenseurs du loup.

Visiblement, même les clôtures électriques et les chiens de défense n’auraient pas suffit pour empêcher le loup de passer à l’attaque.

A lire aussi : Un loup tire une petite fille hors de sa tente dans un camping du désert du Néguev

Déjà au début du mois d’avril, une attaque de loup avait abouti sur une autorisation de tir et c’est donc le deuxième loup abattu par les louvetiers en 10 jours environ.

Le 27e loup prélevé depuis le début de l’année.

Le nouveau plan loup prévoit différentes mesures ayant pour but de permettre aux éleveurs de protéger leurs troupeaux mais quand ces mesures ne suffisent pas à tenir le prédateur à l’écart, les brigades de protection ou les lieutenants de louveterie sont dans l’obligation d’intervenir.

Les éleveurs ne sont probablement pas au bout de leur peine car le quota de prélèvement prévu pour le loup au niveau national est de 209 individus pour 2024.

Bien que le gouvernement ait décidé de simplifier la délivrance des autorisations de tir en cas d’attaques, ces tirs n’interviennent qu’en réaction à un acte de prédation. Les éleveurs vont donc subir de plus en plus la pression exercée par les loups sur leurs activités avant qu’un certain nombre d’entre eux ne soient prélevés.

Les contacts répétés entre les loups et le monde des hommes est également source d’inquiétudes car pour certains, cette proximité avec les hommes rendrait les loups moins craintifs face à l’être humain.

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