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A bientot
 

[Vidéo] Un reportage de France 3 Grand-Est sur le blaireau plutôt complaisant

Le blaireau refait parler de lui assez fréquemment ces derniers temps. Dans les médias, son retour interpelle mais les associations de protection animale font le nécessaire pour que les chasseurs ne puissent plus du tout intervenir concernant cette espèce.

A grand renfort d’actions en justice, des associations comme la LPO ou One Voice ont fait en sorte que le déterrage soit de plus en plus impossible à pratiquer, même dans des situations ou le danger est réel.

Dernièrement des dégâts causés par des blaireaux sur des voies SNCF ont généré des problèmes de trafic près de Nantes et en Indre-et-Loire, le blaireau s’est rendu responsable d’attaques sur des brebis.

Suite à cette actualité qui démontre à quel point le blaireau redevient actif dans notre pays, il est étonnant de voir le sujet traité de manière très complaisante sur le service public du Grand-Est ou les chasseurs n’ont eu la parole que pendant 30 secondes sur près de 4 minutes de reportage…

Vers la fin de la régulation du ragondin à Lyon qui s’oriente vers la stérilisation

Le ragondin fait de plus en plus parler de lui ces derniers temps dans différents départements de France. Si la gestion du rongeur près de Lyon n’a pas récemment fait couler beaucoup d’encre, le plan proposé par les élus écologistes fait réagir.

Les ragondins de Confluence, cheval de bataille des verts de Lyon.

Lyon est une commune qui fait régulièrement parler d’elle pour les mesures parfois excentriques qu’elle est capable de prendre sous l’impulsion de ses élus écologistes. On se souvient d’une subvention accordée à un groupe mettant en scène des personnes nues dans un jardin ou encore créer une voie verte en détruisant des jardins ouvriers.

Cette fois, il s’agit de la gestion des ragondins qui peuvent se multiplier assez vite dans les zones humides et causer de sérieux dégâts sans parler des zoonoses que l’animal peut transporter.

Il y a de cela quelques années, la régulation des ragondins dans le quartier de Confluence avait déjà engendré la colère de certains animalistes voyant des archers venus pour procéder au prélèvement de plusieurs individus.

La ville veut cohabiter avec les ragondins.

Le ragondin est classé parmi les espèces exotiques envahissantes, c’est à dire qu’elle a été importée sur notre continent pour exploiter sa fourrure mais n’est en principe pas présent sur nos territoires à l’état naturel.

Il met donc en danger l’équilibre de la biodiversité locale et il est donc permis de réguler l’espèce toute l’année.

Faisant fi de ces règles, les verts de Lyon se sont lancés dans un protocole qui vise à ne plus procéder au prélèvement des ragondins mais s’oriente plus vers une cohabitation avec l’espèce.

De nouveau, on retrouve l’ambition de stériliser les animaux de la ville pour les empêcher de se reproduire. Cela assure, selon les élus écologistes, que l’impact des ragondins soit amoindris dans le temps et constitue une méthode de régulation « plus respectueuse du bien-être animal ».

Pour le moment, les stratégies qui vont être mises en place pour mener à bien ces opérations sont floues et on se demande bien combien cela va coûter au contribuable.

Faudra-t-il également que des agents de terrains se rendent auprès des ragondins pour leur demander ce qu’ils pensent de cette mesure? Et si les ragondins étaient contre la stérilisation?

[Vidéo] Willy Schraen : « je ne suis pas prêt à franchir le pas sur mon inscription personnelle au SIA »

En ce début de semaine, une allocution du Président de la Fédération Nationale des Chasseurs a été postée sur la chaîne Youtube « Chasseur de France TV ». Cette intervention permet à Willy Schraen de communiquer auprès de tous les chasseurs même s’il a pu se rendre à quelques assemblées générales.

Le combat contre le dogme écologiste.

Difficile de ne pas aborder la fin de la saison de chasse sans parler des attaques incessantes des écologistes et de leurs différentes mouvances extrêmes quand on parle de chasse. Partout en France Métropolitaine et Outre-mer, les écologistes n’ont cessé de s’en prendre aux activités cynégétiques.

Si cela est vrai au niveau national, c’est également vrai au niveau Européen.

La question ne concerne d’ailleurs pas que les chasseurs mais tous les ruraux qui subissent les normes et les règles imposées par Bruxelles par des bureaucrates qui ne se rendent jamais sur le terrain pour demander conseil aux gens qui vivent dans ce monde rural au quotidien.

Willy Schraen rappelle donc que l’écologie politique actuelle n’est plus une simple politique avec laquelle il y a des divergences d’opinion mais une politique avec laquelle il n’est tout simplement plus possible de dialoguer, ce qui représente un véritable danger pour la démocratie.

Le Président de la FNC s’interroge sur le fonctionnement du SIA.

Dans une intervention similaire prononcée lors du Congrès National de la chasse, Willy Schraen avait déjà abordé le sujet du SIA et dénonçait les risques qui couraient sur les chasseurs suite à des abus ou des lenteurs de notre système judiciaire.

Alors que le gouvernement et de nombreux organismes encouragent les chasseurs à créer leur râtelier numérique, Willy Schraen fait une déclaration pour le moins surprenante :

« Les chasseurs n’ont pas à être pénalisés par la lenteur de la justice à effacer certains casiers judiciaires comme la loi pourtant le prévoit. Je vais vous dire franchement, dans ces conditions, je ne suis pas prêt à franchir le pas sur mon inscription personnelle au SIA. Avouez que ça la fout mal, si vous me permettez l’expression. Je ne lâcherais pas cette affaire, même si je dois la porter devant la Cour Européenne des Droits de l’Homme. »

Une déclaration qui va assurément engendrer de nombreuses réactions au sein du milieu cynégétique mais aussi en dehors. Le SIA a connu de nombreux reports depuis sa création pour des problèmes techniques et/ou de calendrier, ce qui a déjà fait couler beaucoup d’encre dans les médias. Si le Président de la FNC lui même exprime des doutes sur ce système, il y a des chances pour que sa mise en place soulève de nouvelles interrogations dans les mois à venir.

Un trophée de chevreuil incroyable!

Dans la vie de chasseur, il y a des rencontres et des prélèvements absolument inoubliables. S’il s’agit essentiellement de situations marquantes qui font que chaque action de chasse reste unique, il y a aussi des animaux incroyables qui font à eux seuls toute la beauté de la chasse.

C’est un peu le doux rêve de nombreux chasseurs de cervidés qui sont en quête d’un animal à la coiffe étrange pendant parfois plusieurs années avant de toucher au but.

A lire aussi : Le brocard d’une vie

Les chevreuils aux coiffes parfois extravagantes sont toujours fascinants à observer et quand la chance d’en prélever un se présente, c’est toujours un grand bonheur.

Le 13 avril dernier, sur un territoire de chasse qui se trouve au Sud-Est de Budapest en Hongrie, un chasseur a pu prélever ce brocard dont la coiffe a poussé le long de sa tête et pas en hauteur.

Les photos ont été postée sur les réseaux sociaux et n’ont pas manqué de faire le buzz sur différents groupes de chasseurs passionnés.

Gaston 98 ans plus chasseur que jamais

Quand on dit qu’on chasse encore à 75 ans cela n’a rien de surprenant, mais cela reste tout de même un âge respectable que tout le monde n’atteint pas forcément en bonne forme.

Ceci étant pour Alain Cadro, 75 ans donc, le plus fort n’est pas là, le plus fort c’est de chasser encore avec son père âgé quand à lui de 98 ans ! En effet, Gaston Cadro, bon pied bon œil, vient d’être distingué par la fédération des chasseurs d’un diplôme d’honneur lors de la dernière assemblée générale pour son incroyable longévité mais surtout sa passion de la chasse.

Arrivé dans la Creuse en 1953, le nonagénaire a depuis vécu une vie bien remplie : 19 ans maire de sa commune, lieutenant de louveterie, éleveur de chien renommé mais aussi vice-président de l’ACCA d’Aubusson pendant 42 ans, Gaston a bien des choses à raconter.

Pourtant aujourd’hui, son plaisir est encore d’aller à la chasse, aux sangliers principalement : « J’ai la volonté. Le plaisir des chiens, d’écouter, de chasser, mais pas de tuer. » précise-t-il à nos confrères de France Bleu. Gaston pratique la chasse plaisir, ou l’acte de tuer est vraiment anecdotique et n’interfère en rien au plaisir qu’il peut y prendre.

A la question de sa forme Gaston répond simplement « Je n’ai jamais trop fumé ni bu, alors ça maintient. Après on ne va pas dire que tout est parfait. De l’extérieur ça va, mais l’intérieur c’est moins bien ».

Quel bonheur de voir ainsi nos anciens honorer de leurs présence nos battues et nos repas. Chasse Passion souhaite encore de nombreuses saisons à Gaston et lui donne rendez-vous pour ses 100 ans, avec pourquoi pas un magnifique sanglier en guise de cadeau.

La montée de l’intolérance frappe de plus en plus les chasseurs

Depuis plusieurs années, la montée des extrémismes verts a poussé certaines personnes à s’en prendre aux chasseurs en passant parfois par la violence. Cette montée de l’intolérance envers les pratiques cynégétiques est de plus en plus suivie et quantifiée mais les réponses à cette intolérance restent souvent limitée.

Une tendance ressentie qui se précise.

En septembre 2020, une plateforme de signalements pour faire remonter les actes de violence envers les chasseurs a été mise en ligne par la FNC dans le but de pouvoir orienter les victimes vers les services juridiques adéquats.

Cette plateforme permet également de récolter des informations substantielles sur le nombre d’incidents qui se produisent sur un an et de dégager des tendances.

Si depuis quelques années, les chasseurs se sentaient de plus en plus oppressés par quelques groupuscules verts qui veulent voir disparaître la chasse et ses pratiquants, il n’y avait jusqu’alors pas de moyens précis pour déterminer s’il ne s’agissait que d’une impression ou si cette augmentation de la violence envers les chasseurs était réelle.

Dans une émission présentée par Willy Rovelli sur France Bleu, Nicolas Rivet, Directeur Général de la FNC revient sur ces violences faîtes aux chasseurs.

La chasse doit être expliquée mais les agresseurs doivent être sanctionnés.

Comme le dit Nicolas Rivet dans son interview et comme le répète souvent Willy Schraen lors de ses interventions, la chasse doit être expliquée. Trop longtemps nous avons pratiqué nos passions sans se soucier du grand public et c’était manifestement une erreur selon les dirigeants de la Fédération Nationale des Chasseurs.

De nombreuses actions de communication ont vu le jour depuis quelques années, jusqu’à des spots diffusés à la télévision pour inciter le public à se renseigner sur ce qu’est la chasse et quels sont les projets menés par les chasseurs.

Du côté du dialogue et des explications, les chasseurs se sont donc impliqués totalement pour s’ouvrir au public.

D’un autre côté, les opposants deviennent de plus en plus extrêmes. Actions de sabotage, insultes, dégradations des biens des chasseurs et même parfois, des agressions physiques.

On ne peut que penser à l’agression subie par des chasseurs en Gironde qui a eu lieu dernièrement ou une femme a décidé de s’en prendre à un groupe de nemrods armée d’une batte et d’un spray au poivre.

Celle-ci a été jugée en comparution immédiate et a écopé de 10 mois de prison avec sursis et une indemnisation de plus de 10 000 euros.

Une sanction trop faible pour les uns et suffisante pour les autres mais ce qui est sûr, c’est que la justice risque bien de voir arriver plus de dossiers comme celui-ci sur ses bureaux car, même si le dialogue entre chasseurs et non-chasseurs permet de mieux faire découvrir nos pratiques, la montée de l’extrémisme des anti-spécistes et animalistes se renforce avec le temps. Cela est bien sur sans compter sur l’arrivée des néo-ruraux à la campagne qui pensent que toute la ruralité doit s’adapter à leur vision des choses…

[Vidéo] Un match de rugby au son des trompes de chasse

C’est bien connu le rugby est un sport de passionnés, pratiqué par des hommes (et des femmes!) de nos territoires avec des valeurs fortes et ancrées.

Des valeurs de partage et de respect avant tout que l’on ne retrouve malheureusement pas toujours partout, mais bel et bien dans la chasse !

Ainsi, quand l’équipe de Bracieux (41) rencontre celle de Montargis (45) ce n’est pas pour rien que ces dernières vont faire une entrée remarquée sur le terrain.

A l’occasion d’un match opposant les 2 équipes le 14 avril dernier, des sonneurs sont venus accueillir les joueurs sur le terrain avec la douce mélodie des trompes de chasse, énorme!

Indre-et-Loire : le blaireau responsable de plusieurs attaques sur des brebis

Voilà plusieurs années que les anti-chasse attaquent systématiquement les arrêtés concernant la période de chasse du blaireau complémentaire qui permettait notamment son déterrage. Seulement, le blaireau est responsable d’un certain nombre de dégâts sur les exploitations agricoles comme en témoignent les agriculteurs d’Indre-et-Loire largement concernés.

Un retour d’expérience qui fera réfléchir.

Après un article consacré la suspension de la période complémentaire de chasse du blaireau en Indre-et-Loire, les journalistes de La Nouvelle République ont eu un retour de la part d’un éleveur de brebis qui voulait témoigner de la réalité du terrain.

Ce dernier explique que certaines de ses brebis ont été attaquées par un ou des blaireaux qui n’ont pas hésité à consommer la viande sur des animaux encore vivants mais dans l’incapacité de se défendre.

Par exemple, une brebis qui venait d’agneler s’est retrouvée avec une partie de son appareil génital consommé et les agneaux avaient disparus.

Une autre fois, une de ses brebis s’est retrouvée sur le dos, la pauvre bête n’a pas reçu d’aide du mustélidé qui sont loin d’être des aides précieuses comme l’expliquent les anti-spécistes mais au contraire, le blaireau a profité de cette opportunité pour manger une partie de sa tête.

D’autres anecdotes ponctuent l’article en question mais à chaque fois, les empreintes ne laissent aucun doutes sur l’espèce qui a joué à chaque fois le prédateur.

Coup dur pour les éleveurs qui, en plus de penser directement aux risques liés à la tuberculose véhiculée par le blaireau, ne seront pas indemnisés comme s’il s’agissait par exemple d’un loup.

Le blaireau, l’animal que l’on ne voit que peu mais qui est pourtant bien présent.

Les animalistes pourraient aisément être comparés à Saint Thomas, ils ont tendance à ne croire que ce qu’ils voient mais bien souvent quand cela les arrangent.

En ce qui concerne la chasse aux pantes par exemple, ils refusent de voir les études menées par les chasseurs en partenariat avec l’OFB et pour le blaireau c’est à peu près la même chose.

On ne voit que peu de blaireaux en journée car il est essentiellement nocturne. C’est aussi un mustélidé très discret et la conclusion des verts est simple : il n’y a pas de blaireaux si on en voit pas !

En réalité, les populations de blaireaux sont en recrudescence dans plusieurs départements Français. S’il ne sont pas toujours observés, les relevés d’empreintes et les déclarations de dégâts remises aux piégeurs, aux gardes ou à d’autres acteurs de la ruralité font de plus en plus mention de l’animal. Cette hausse d’activité est rarement liée à une baisse des effectifs.

Si les agriculteurs ne peuvent pas positionner des centaines de caméras de surveillance pour relever la présence de blaireaux dans les attaques, la Fédération d’Indre-et-Loire a pu confirmer que le nombre de blaireau était effectivement en hausse, notamment dans le Sud de la Touraine.

[Vidéo] Compilation : top des sangliers les plus enragés du web

Les anglais diraient « boar rage », des sangliers et des cochons sauvages dans tous leurs états capables de charger ou de détruire tout ce qui bouge.

Voici une compilation de suidés les plus déchainés de la toile, dont certains que vous avez peut-être déjà vu sur Chasse Passion à l’image de ce sanglier qui défonce un portail.

Majoritairement issues de caméras de surveillance ces attaques, charges, ou tout simplement moments insolites proviennent de Chine ou du Japon, pays qui contiennent énormément de sangliers et cochons sauvages.

Chaud devant !

Les images d’une personne en train de nourrir les sangliers dans Marseille soulèvent la colère des riverains

Depuis déjà quelques mois, la présence de sangliers pose de sérieux problèmes de sécurité dans certains quartiers de Marseille. Pour autant, des personnes indélicates continuent de nourrir les sangliers malgré l’interdiction municipale.

Le nourrissage continue, images à l’appui.

Dans le quartier de Luminy, les sangliers sont encore très présents et pour cause, on y croise encore des compagnies entières qui viennent chercher de quoi se nourrir dans les détritus des habitants mais pas uniquement.

Dernièrement, une vidéo a été publiée sur les réseaux sociaux et soulève la colère des riverains. Depuis la fin de 2023, il est en effet interdit de nourrir les suidés pour des raisons de sécurité des habitants mais aussi pour éviter leur prolifération en zone urbaine.

Manifestement certaines personnes indélicates préfèrent ne pas écouter les règles et continuent de se rendre sur les lieux ou les sangliers sont aperçus régulièrement pour les nourrir.

On peut même observer que la personne sur les images essaie de faire la loi auprès des plus gros sangliers pour nourrir principalement les plus petits.

Une attitude inconsciente et irrespectueuse.

La prolifération des sangliers en milieu habité soulève quelques problèmes majeurs dans la vie des habitants du secteur et pas uniquement. Les suidés sont un risque potentiel latent pour le trafic routier mais un nombre trop grand de sangliers en zone urbaine peut aussi générer un risque d’attaque croissant ainsi que des risques sanitaires.

En septembre dernier par exemple, une petite fille a été violemment attaquée par des sangliers mais cet évènement semble ne pas toucher du tout certains « amoureux » du monde animal qui préfèrent les animaux aux autres humains.

La ville de Marseille avait pourtant annoncé que des mesures étaient prises pour interdire aux gens de se rendre dans les lieux de villégiature des sangliers pour les nourrir.

Ce comportement incite les sangliers à se sédentariser aux abords de la ville mais aussi à approcher davantage des centres-villes et de ses habitants.

Une amende de 135 euros est prévue pour sanctionner ceux qui ne se plieraient pas à la règle mais il semble que les autorités vont devoir renforcer les contrôles pour qu’elle soit réellement appliquée.

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