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A bientot
 

Des visiteurs tentent d’arracher les bois des cervidés du Parc Richmond

Au Parc Richmond en Angleterre, les agents de police sont en alerte après que des faits plutôt insolites leur soient rapportés. Des visiteurs essaieraient de s’approcher des cervidés présents dans le parc afin de leur arracher les bois directement sur la tête.

Des comportements inconcevables.

Mais dans quel monde vit-on? Voilà la question que l’on peut se poser suite à cette affaire qui fait actuellement le buzz au Royaume-Uni.

Les agents en charge du Parc Richmond ont lancé une annonce sur les réseaux sociaux pour avertir le public que des comportements préoccupants ont été observés le week-end dernier.

Plusieurs visiteurs du parc se sont approchés des daims et des cerfs présents en liberté dans le parc, non pas pour prendre un selfie comme le font la majorité des gens mais pour tenter de leur dérober leurs coiffes.

Ces visiteurs ont été vus en train de tirer sur les bois des cervidés afin de les arracher et de pouvoir quitter les lieux en possession de leur « récompense ».

Un comportement inacceptable et dont le but précis reste encore un mystère. Était-ce un pari, une déviance de quelques-uns ou une nouvelle trouvaille pour faire le buzz sur les réseaux sociaux?

Toujours est-il que les agents des parcs royaux ont expliqué que des images de ces méfaits ont été capturées par des caméras de surveillance. Une enquête est probablement en cours pour identifier le ou les auteurs des faits qui devront donc répondre de leurs actes.

A lire aussi : Un petit bison euthanasié à Yellowstone après avoir été touché par un touriste

Les agents du parc demandent à tous les visiteurs témoins de ce genre d’action d’appeler immédiatement la police pour rapporter les faits constatés.

Le public souvent à l’origine de troubles dans les parcs.

Le Parc Richmond attire chaque année des millions de visiteurs qui peuvent donc profiter de la présence de plus de 500 cervidés qui évoluent librement au sein de l’espace naturel.

Bien que des règles de bonne conduite et de sécurité soient indiquées dans les parcs contenant des animaux en liberté, le public ne réagit pas forcément comme s’il s’agissait d’animaux sauvages.

Les agents en charge de ces parcs doivent donc sans cesse rester vigilants pour éviter que des visiteurs ne se lancent dans des approches dangereuses des animaux pour faire une vidéo ou un selfie qui leur vaudra quelques minutes de célébrité sur les réseaux sociaux.

Il arrive parfois que des visiteurs essaient de monter sur les animaux des parcs ou que les plus jeunes animaux soient touchés par ces derniers, avec les conséquences que l’on connaît pour leur survie.

Si ces comportements sont dangereux, ils restent plus souvent la conséquence d’un manque de discernement mais avec ces tentatives d’arracher les bois des cervidés directement sur leurs têtes, un cap a assurément été franchi…

Un parapentiste frôle la mort après l’attaque d’un aigle royal dans les airs

Alors qu’il s’élançait pour une sortie en parapente dans la vallée de Bozel en Savoie, un homme a été attaqué par un aigle royal et a du lutter pendant près d’un quart d »heure pour se débarrasser du rapace. Sérieusement blessé au niveau du bras, il a été pris en charge par les secours dès sont retour au sol.

Une attaque rare mais terrible.

Les attaques de l’aigle royal sur l’homme sont suffisamment rares pour susciter la surprise mais quand cela arrive, les dégâts sont importants.

Comme le rapporte Le Dauphiné Libéré, un parapentiste a vécu cette terrible expérience alors qu’il prévoyait de se lancer au dessus de Bozel en Savoie.

Il a décollé vers midi avec deux autres camarades pour profiter en groupe de cette sortie quand un aigle royal s’est attaqué à lui par l’arrière. Après avoir percuté l’arrière de sa tête, il s’est ensuite agrippé à son bras qui a été lacéré à plusieurs reprises par le rapace.

Pendant près de 13 minutes, l’homme et ses deux amis vont se débattre avec le rapace qui refuse de lâcher prise. Fort heureusement, le pilote attaqué par l’aigle royal est expérimenté et il va pouvoir réaliser une descente en tournant en rond. Arrivé à une centaine de mètres du sol, l’aigle va finir par relâcher son étreinte et s’envoler.

L’homme a pris en charge dès son arrivée au sol.

Après ce combat intense dans les airs, le bras gauche du parapentiste était en mauvais état et nécessitait une intervention d’urgence. Les plaies infligées par le rapace étaient profondes et nombreuses.

Il a été évacué vers l’hôpital le plus proche afin de recevoir des soins adaptés et se remettre de ses émotions.

Une attaque de ce genre par un rapace aussi imposant que l’aigle royale laisse forcément des traces et l’oiseau a lacéré son bras à une cinquantaine de reprises.

Pour les associations de protection animale comme la LPO, cette attaque est impressionnante mais peut s’expliquer car les rapaces défendent la zone ou leurs nids sont présents. Elle considère que la zone doit être évitée jusqu’à la fin du mois d’août car la période de reproduction sera terminée et les risques d’attaques seront donc moindres.

Un sanglier mort retrouvé au beau milieu du city stade d’une commune Varoise

Ce mardi 16 avril, la police municipale de la commune de Barjols a fait une bien étrange découverte sur le terrain du city stade. Un sanglier mort gisait là et avait manifestement été déposé par quelqu’un de mal intentionné. La mairie a décidé de porter plainte.

Un sanglier mort considéré comme une dégradation.

C’est durant la matinée qu’un policier municipal s’est aperçu qu’une étrange forme noire apparaissait au milieu du city stade de Barjols. En s’approchant des lieux, il a pu observer rapidement qu’il s’agissait en réalité d’un sanglier mort qui avait manifestement été déposé là volontairement par quelqu’un.

Les élus ont pu constater la présence de la bête noire et sont convaincus qu’il s’agit là d’un acte de dégradation.

On pourrait penser que le suidé a tenté de venir gratter la pelouse synthétique du city stade mais l’animal est disposé de manière trop précise sur la ligne de démarcation pour que ce soit une coïncidence.

De plus, l’espace familial « des Tourtouires » a déjà été visé récemment par des dégradations. Une balançoire a été volontairement abîmée peu de temps avant la découverte du sanglier et la mairie a été contrainte de la faire enlever.

Une plainte déposée par la mairie.

Sur les réseaux sociaux, la mairie de Barjols a rapidement exprimé sa colère à travers un message sans équivoque.

A travers sa page Facebook, elle affirme qu’une enquête est en cours pour retrouver le ou les responsables de cet acte, ce qui implique donc qu’une plainte a été déposée.

Dégradation volontaire ou mauvaise blague?

Certes il n’est pas éthique ni intelligent d’abandonner ainsi un animal mort et encore moins dans un lieu fréquenté par des enfants mais certains se posent la question de savoir si les réactions ne sont pas excessives.

Si il y a quelques décennies, la mairie aurait simplement mené la bête à l’équarrissage et tenté de trouver les responsables pour les faire payer de manière discrète, la société a évolué de telle manière que le dépôt d’une carcasse de sanglier dans un lieu public déchaîne les foules sur les réseaux sociaux et peut mener jusqu’au tribunal.

Ce qui est sûr, c’est que le ou les auteurs de cette mise en scène vont être poursuivis s’ils sont identifiés.

[Vidéo] Un chien poursuivi par un sanglier au beau milieu des cités

L’arrivée des sangliers en zone urbaine apporte son lot de problèmes pour les habitants mais aussi pour leurs animaux domestiques. Les chiens et les chats doivent désormais surveiller leurs arrières sous peine de se faire grignoter l’échine par des suidés.

Afin de trouver des déchets dans lesquels fouiller pour y chercher leur prochain repas, les sangliers sont de plus en plus attirés par les immeubles et les cités ou ils trouvent plus facilement des poubelles.

A lire aussi : [Vidéo] Une chèvre défend son petit face à un sanglier

Dans cette vidéo, on peut voir que des sangliers ont décidé de se lancer dans l’exploration d’un terrain entre quelques immeubles en Pologne mais croisent le chemin d’un chien qu’ils considèrent comme un intrus à chasser.

L’un des sanglier va alors poursuivre le chien sur plusieurs mètres mais ce dernier va toujours rester à bonne distance du suidé.

Finalement, les deux sangliers vont abandonner leurs projets, sous l’œil moqueur du chien qui revient les narguer après la course poursuite.

@3inakherson

♬ оригинальный звук – ЗінаKherson

Un grand plan de sauvetage du Grand Tétras va débuter dans les Vosges

Le Grand Tétras cristallise les attentions de nombreux passionnés de la nature depuis des décennies. Malgré plusieurs tentatives mises en place par les chasseurs et les autres intervenants dans ce projet, voilà 30 ans que l’espèce continue de décliner. La préfecture de la région Grand-Est a annoncé hier de manière officielle un projet de renforcement du Grand Tétras dans le massif des Vosges.

Un projet d’envergure pour le retour du Grand Tétras dans les Vosges.

Depuis des années, les chasseurs de petit gibier et tous les amoureux de la nature ont sonné l’alerte sur le déclin des populations de Grands Tétras. Les nemrods ont été aux premières loges pour observer la diminution des populations du gallinacé et ont déjà pris depuis longtemps des dispositions pour le protéger au maximum tout en conservant un intérêt certains pour l’espèce en tant que gibier.

De même, les marcheurs, randonneurs et vététistes s’interdisaient de fréquenter certaines zones connues pour être des lieux de reproduction du Grand Tétras afin de ne pas déranger l’oiseau et de lui garantir une tranquillité maximum.

Malgré les efforts consentis, le déclin de l’espèce a continué au fil des années. La préfecture de la région Grand-Est et le Parc Naturel Régional des Ballons des Vosges ont publié un dossier en commun sur le sujet dans lequel on retrouve ce graphique.

Une telle courbe ne peut que pousser à la réflexion et les autorités ont pu identifier trois causes principales de cette effondrement des populations du Grand Tétras :

  • Les interventions sur l’habitat forestier du Grand Tétras à savoir les coupes à blanc, les plantations et la mécanisation du travail en forêt,
  • L’augmentation importante des populations d’ongulés et la pression exercée par les prédateurs,
  • le développement de la fréquentation de la forêt ainsi que la création d’infrastructures touristiques (chemins de randonnées, stations de skis, routes, etc.)

Le renforcement des populations au cœur du projet.

Parmi les partenaires impliqués dans la sauvegarde du Grand Tétras on retrouve évidemment la région et le Parc Naturel Régional mais aussi entre autres l’ONF, la DREAL, la Fédération des chasseurs et la Fédération du Club Vosgien.

Tous ces partenaires s’engagent dans le retour du Grand Tétras à travers un projet autorisé par l’État à titre exploratoire pour une durée de 5 ans minimum.

Au delà des actions déjà mises en place depuis les années 90 visant à entretenir l’habitat du gallinacé et de lui assurer des zones de plusieurs hectares ou il pourra se reproduire en toute quiétude, le projet vise à aller encore plus loin.

Un partenariat a été mis en place avec la Norvège pour que des Grands Tétras soient capturés dans leur milieu naturel afin d’être transférés dans le massif des Vosges.

En Norvège, la population de Grand Tétras est estimée à environ 200 000 individus. Bien que l’espèce soit chassée dans ce pays, les chasseurs locaux ont accepté que les individus capturés pour être relâchés chez nous soient décomptés de ces quotas.

Ce sont donc 40 Grands Tétras qui seront capturés en Norvège puis relâchés dans le massif Vosgien.

Bien évidemment, les oiseaux ne seront relâchés qu’après une batterie d’examens et un marquage qui permettra de les suivre une fois relâchés.

Un budget d’environ 200 000 euros par an sera attribué au bon fonctionnement de ce projet auquel les chasseurs ne manqueront pas de participer afin de sauver une espèce qu’ils essaient de tenir à bout de bras depuis des années comme d’autres acteurs de la région.

[Vidéo] Des automobilistes obligés de s’arrêter au milieu d’une route ont pu compter les sangliers

Les compagnies de sangliers sont souvent aperçues par des agriculteurs en plein champs ou par des chasseurs qui réussissent à les lever en battue mais il est plus rare que des automobilistes assistent à un tel spectacle.

En pleine journée et sous un ciel radieux, une compagnie de sangliers décide de traverser une route assez fréquentée, forçant les automobilistes à immobiliser leurs véhicules.

A lire aussi : [Vidéo] Une belle compagnie de sangliers traverse les bois en file indienne

Certains d’entre eux ont eu le réflexe de sortir leurs smartphones pour filmer les suidés qui sont passés devant eux en file indienne.

Saure-vous compter combien de sangliers forment cette compagnie?

Un loup tué dans la Drôme suite à une attaque sur un troupeau

Dans la nuit du 12 au 13 avril, un tir de défense a abouti sur le prélèvement d’un loup dans la Drôme. L’animal était en position pour attaquer un troupeau de brebis sur la commune de Montbrun-les-Bains quand les lieutenants de louveterie ont procédé au tir.

Le loup était en situation d’attaque.

Voilà un nouveau prélèvement qui va faire bondir les animalistes pro-loups qui diront encore une fois que ce n’est pas normal de prélever ces prédateurs « qui étaient là avant les hommes ».

Pourtant, c’est en toute légalité qu’un nouveau loup a été tiré par les lieutenants de louveterie qui étaient en surveillance d’un troupeau sur la commune de Montbrun-les-Bains, dans le département de la Drôme et à la frontière avec le Vaucluse.

Le tir de défense était le dernier recours des lieutenants de louveterie pour empêcher l’attaque sur les brebis car le troupeau bénéficiait de tous les moyens de protection plébiscités par les autorités et par les défenseurs du loup.

Visiblement, même les clôtures électriques et les chiens de défense n’auraient pas suffit pour empêcher le loup de passer à l’attaque.

A lire aussi : Un loup tire une petite fille hors de sa tente dans un camping du désert du Néguev

Déjà au début du mois d’avril, une attaque de loup avait abouti sur une autorisation de tir et c’est donc le deuxième loup abattu par les louvetiers en 10 jours environ.

Le 27e loup prélevé depuis le début de l’année.

Le nouveau plan loup prévoit différentes mesures ayant pour but de permettre aux éleveurs de protéger leurs troupeaux mais quand ces mesures ne suffisent pas à tenir le prédateur à l’écart, les brigades de protection ou les lieutenants de louveterie sont dans l’obligation d’intervenir.

Les éleveurs ne sont probablement pas au bout de leur peine car le quota de prélèvement prévu pour le loup au niveau national est de 209 individus pour 2024.

Bien que le gouvernement ait décidé de simplifier la délivrance des autorisations de tir en cas d’attaques, ces tirs n’interviennent qu’en réaction à un acte de prédation. Les éleveurs vont donc subir de plus en plus la pression exercée par les loups sur leurs activités avant qu’un certain nombre d’entre eux ne soient prélevés.

Les contacts répétés entre les loups et le monde des hommes est également source d’inquiétudes car pour certains, cette proximité avec les hommes rendrait les loups moins craintifs face à l’être humain.

[Vidéo] Une nuée de frelons asiatiques dévore un lièvre

Le frelon asiatique est surtout connu pour être l’ennemi numéro 1 de nos abeilles européennes qui n’ont pour le moment pas trouvé de parade efficace contre ce prédateur.

Les apiculteurs se démènent donc pour essayer d’enrayer la prolifération de ces frelons voraces qui mettent en péril l’avenir de leurs ruches et par conséquent de leurs productions.

A lire aussi : [Vidéo] Un corbeau tue un jeune lièvre

Un apiculteur breton a récemment mis en ligne une vidéo qui démontre toute la voracité de ces insectes.

Une véritable armée de frelons asiatiques s’est attaquée à ses ruches et a fait un véritable massacre sur ses essaims d’abeilles.

Visiblement, les frelons n’étaient pas rassasiés et se sont donc attelés à dévorer la carcasse d’un lièvre dont il ne reste déjà plus grand chose à l’arrivée de l’apiculteur sur les lieux.

Difficile de dire si la carcasse était sur place quand les frelons ont commencé à le consommer ou s’ils sont à l’origine de la mort du lièvre mais dans tous les cas, cette vidéo reste très impressionnante.

@lamiellerielanderneau Le fléau du frelon asiatique ! #frelon #abeille #apiculture #bretagne ♬ son original – Miellerie la vallée de l’Elorn

Gérard Larcher présent à l’assemblée générale des chasseurs du Loiret aborde la loi sur l’engrillagement

L’assemblée générale des chasseurs du Loiret a été marquée cette année par la présence de Gérard Larcher, Président du Sénat et passionné de chasse. Il a pu intervenir sur différents sujets concernant les activités cynégétiques et notamment de la loi sur l’engrillagement.

Le retour de la loi sur l’engrillagement.

Depuis le vote de cette loi sur l’engrillagement en début d’année dernière, le soufflet était quelque peu retombé et le sujet avait fini par être lâché par les médias qui en ont fait leurs choux gras pendant quelques semaines.

Récemment, le ministère de la Transition écologique a annoncé que le décret et l’arrêté relatifs à cette loi allaient enfin paraître et donc, qu’elle serait plus facilement applicable par les agents de l’État qui jusqu’ici faisaient surtout de la pédagogie.

Invité à l’assemblée générale des chasseurs du Loiret, Gérard Larcher est revenu sur cette loi.

Il a commencé par congratuler Jean-Noël Cardoux, l’ancien Sénateur à l’origine du projet de loi présent dans l’assemblée pour avoir su trouver « un juste équilibre entre le respect de la vie privée, celui des paysages et la libre circulation du gibier« .

La loi a surtout vu le jour suite à des oppositions constatées entre des associations et des propriétaires en Sologne. L’arrivée des arrêtés et décrets annonce donc le début d’une remise à niveau complète de nombreuses clôtures et cela ne sera assurément pas une mince affaire.

Pour l’ancien Sénateur, les choses devront surement se faire au cas par cas car certains grillages protègent des autoroutes, des ponts ou d’autres zones dangereuses.

Revue des clôtures mais pas de la propriété privée.

Certes certaines clôtures peuvent poser problème et nécessitent d’être revues pour assurer la libre circulation de la faune sauvage d’une parcelle à une autre mais Gérard Larcher rappelle que cela ne se fait pas sans contrepartie.

Le Président du Sénat estime qu’il faut également prendre en compte les problèmes liés aux intrusions sur les propriétés privées et à remis en avant le principe fondamental d’un droit à la tranquillité.

La loi prévoit en effet que les propriétaires puissent positionner des pancartes sur les zones privées qu’ils souhaitent interdire au public et toute intrusion sur ces territoires serait sanctionnée d’une amende.

L’application de cette loi promet tout de même d’être quelque chose de sportif pour les autorités car dans certains départements, des marcheurs, des randonneurs ou d’autres ont déjà manifesté leur mécontentement lorsque des propriétaires ont décidé d’interdire l’accès à leurs propriétés privées sous prétexte que « la nature est à tout le monde« .

Deux touristes en urgence absolue après avoir été attaqués par un ours

En Slovaquie, les attaques d’ours ont poussé les autorités à déclarer l’état d’urgence dans certaines régions du pays. En ce début de semaine, deux personnes ont été héliportée dans un état grave après avoir été attaquées un ours dans la zone montagneuse de Pol’ana.

Les deux touristes ont été gravement blessés.

Alors qu’ils partaient en randonnée dans le secteur montagneux de Pol’ana, deux touristes de 49 et 39 ans ont fait la rencontre d’un ours. Ces derniers avaient quitté le sentier balisé pour se rendre sur un lieu ou la vue est bien dégagée pour admirer le panorama.

C’est vers 14h que l’ours est passé à l’attaque et s’en est pris aux deux randonneurs. Le plus âgé a été sévèrement blessé à la tête ainsi qu’au niveau du cou. Le plus jeune a pu se protéger à l’aide de ses mains et de ses bras qui ont été sérieusement touchés mais l’homme a aussi été gravement blessé aux jambes ce qui rendait impossible le retour à proximité d’une voie praticable.

Les deux hommes ont pu appeler au secours et une équipe d’urgence a été dépêchée sur place pour leur venir en aide.

Une évacuation par hélicoptère sous haute tension.

Les secours ont été envoyés sur place à bord de l’hélicoptère de l’équipe d’urgence mais l’intervention s’est avérée très périlleuse.

Il fallait agir vite pour sauver la vie des deux blessés mais le terrain ne permettait pas à l’hélicoptère de se poser à proximité des lieux. Les sauveteurs sont tout de même parvenus à rapidement localiser les deux victimes et sont descendues à l’aide d’un treuil pour évacuer les deux blessés.

Le terrain difficile et la nécessité d’intervenir rapidement n’étaient pas les seules contraintes des sauveteurs car l’ours pouvait encore se trouver sur la zone pendant la mission de sauvetage.

Fort heureusement, les deux victimes de l’ours ont pu recevoir les premiers soins et être acheminée rapidement vers un hôpital. Ils n’ont pas perdu connaissance durant le transport ce qui était un point positif compte tenu de la gravité de certaines blessures.

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