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A bientot
 

[Vidéo] Dans les forêts Wallonnes, l’obligation de tenir son chien en laisse c’est toute l’année

L’obligation de tenir son chien en laisse a fait réagir de nombreux internautes dernièrement puisque pendant quelques temps, à partir du 15 avril, les promeneurs doivent tenir leurs chiens en laisse une fois en forêt.

Cette obligation n’est pas une règle prise pour ennuyer les gens mais parce qu’il est nécessaire de respecter l’environnement dans lequel les promeneurs se trouvent ainsi que l’environnement.

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Une vidéo a été postée récemment par le Service Public de Wallonie pour informer le public de cette obligation.

Bien évidemment, il existes quelques exceptions comme pour les propriétaires forestiers ou les chasseurs mais cette distinction risque bien d’encore une fois faire réagir.

Les pêcheurs Québecois réclament le permis de pêche gratuit à partir de 65 ans

Comme les chasseurs, il est parfois bon pour les pêcheurs de regarder ce qu’il se passe au niveau international. La nouvelle concerne un pays Francophone bien qu’il soit outre-Atlantique mais malgré la distance, elle risque de faire tomber de leurs chaises plusieurs pêcheurs Français et notamment nos retraités.

Un permis de pêche gratuit pour les séniors.

Quand on pense aux voyages de chasse et de pêche, difficile de ne pas penser aux USA ou au Canada. Le Québec, province très attrayante pour nos activités favorites est une terre ou les innovations sont régulières, qu’il s’agisse de matériel ou de réglementation.

Dernièrement, ce sont des pêcheurs du Québec qui se sont interrogés sur le prix du permis de pêche dont ils doivent s’acquitter.

Cette interrogation leur est venue du fait que certains d’entre eux se sont rendu en Ontario pour pêcher, et quelle ne fut pas leur surprise quand on leur a annoncé qu’à partir de 65 ans, ils pouvaient pêcher gratuitement.

Dans d’autres provinces, les tarifs sont également bien inférieurs à ce qu’ils paient au Québec comme un permis annuel à 5,50$ en Colombie-Britannique ou 6,80$ en Nouvelle-Écosse. D’autres provinces proposent également le permis gratuit comme Alberta, ou le Saskatchewan.

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Ces tarifs attractifs pour les plus de 65 ans a été très bien perçue par les pêcheurs en vadrouille qui ont finalement cotisé toute leur vie auprès des institutions locales et se voient donc récompensés pour leurs vieux jours.

Les pêcheurs ont entamé des démarches mais sans convictions pour le moment.

Comme le rapporte le Journal de Québec, un des pêcheurs concernés a tenté de contacter le député local ainsi que le ministre de l’Environnement Québecois. Pour le moment, il semble que ses missives soient restées sans réponse concrète mais il ne désespère pas qu’un jour, sa demande soit étudiée.

Le prix de permis de pêche est de 19,71$ au Québec, ce qui peut paraître relativement peu pour nous qui payons 110€ (soit 161,55 $ Canadiens) pour une carte de pêche nationale en moyenne sans compter que, parfois, les pêcheurs s’acquittent d’une cotisation supplémentaire selon les associations.

Difficile de savoir si les séniors Québecois auront gain de cause et pourront pêcher gratuitement mais ce qui est déjà sûr, c’est qu’une telle mesure ne verra probablement jamais le jour chez nous!

[Vidéo] Jour de chance incroyable pour ce lièvre happé dans une machine agricole

La mécanisation de l’agriculture a causé bien des dégâts pour la biodiversité qui fait parfois les frais de certaines machines.

La technologie a permis de faire évoluer les pratiques et les agriculteurs sont toujours plus impliqués dans les sauvetages quand c’est possible.

C’est ainsi qu’on a vu arriver sur le terrain les drones équipés de caméras thermiques ou les dispositifs d’effarouchement permettant de faire fuir la petite faune avant le passage d’un tracteur.

Malheureusement, la technologie ne permet pas encore de sauver 100% des animaux qui risquent de rester gîtés jusqu’à l’arrivée des machines qui peuvent donc les avaler.

C’est ce qui est arrivé à ce lièvre qui a beaucoup de chance car il se retrouve happé dans la trémie d’une moissonneuse mais va réussir à en sortir indemne grâce à la réactivité du conducteur de l’engin.

@martin…sp

🐇

♬ sonido original – Martín SP

Cinq communes d’un département Français autorisent le tir des chiens errants

Depuis le 10 avril 2024, 5 communes de l’Aveyron autorisent le tir des chiens errants de 20h à 8h du matin pour faire face à « l’ampleur des constats de dommages sur les troupeaux domestiques établis ces derniers mois » et « dont la conclusion n’écarte pas la responsabilité du loup ».

Cet arrêté préfectoral pour le moins surprenant a une durée effective de 1 mois et prendra fin le 10 mai prochain, d’ici là, les propriétaires de chiens fugueurs ont intérêt à garder un œil sur leurs animaux.

Les 5 communes concernés sont La Couvertoirade, L’Hospitalet-du-Larzac, Nant, Sainte-Eulalie-de-Cernon et Saint-Jean-et-Saint-Paul. Sur ces dernières, les agents de l’OFB et les lieutenants de louveterie uniquement pourront procéder au tir par balle des chiens qui sont considérés en divagation, mais quand un chien est-il considéré ainsi par la loi ?

Est considéré comme en divagation tout chien « en dehors d’une action de chasse, de la garde ou de la protection du troupeau », s’il « n’est plus sous la surveillance effective de son maître », s’il « se trouve hors de portée de voix de celui-ci ou de tout instrument sonore permettant son rappel » ou s’il « est éloigné de son propriétaire ou de la personne qui en est responsable d’une distance dépassant 100 mètres ».

Les associations de protections animale sont déjà montées aux créneaux, et, une fois n’est pas coutume, on doit avouer qu’il y a de quoi. Même si on ne doute pas du sérieux des agents de l’OFB et des lieutenants de louveterie qui ne tireront que sur des animaux formellement en train d’attaquer les troupeaux, la mesure prise par la préfecture laisse songeur.

Dans les Vosges, la réintroduction du Grand Tétras divise

En quelques jours, le Grand Tétras est passé d’un relatif anonymat à un sujet de discussion qui cristallise l’attention de nombreux acteurs. Alors que la préfecture a annoncé un grand plan de sauvetage de l’espèce dans le Massif des Vosges, certains essaient de tuer le projet dans l’œuf.

Le Parc Animalier de Sainte-Croix annonce être pour le plan de sauvetage du Grand Tétras.

Dernièrement, plusieurs associations écologistes locales ont annoncé qu’un recours allait être déposé pour empêcher le projet d’être mené à bien.

Selon ces associations, les conditions ne sont pas réunies pou que le Grand Tétras puisse être réintroduit dans le massif des Vosges et il faut d’abord réaliser un travail de fond avant de penser à déplacer des individus depuis la Norvège pour repeupler le département.

Cette prise de position n’est pas partagée par tous les acteurs locaux et le Parc Animalier de Sainte-Croix a publié un communiqué dans ce sens. La présidence du parc demande à ce que le Tétras ne soit pas « l’arbre qui cache la forêt ».

Par cette expression, le parc veut faire comprendre à tous que le Grand Tétras n’est pas la seule espèce qui pourrait bénéficier des actions qui seraient mises en place dans le cadre du projet. Ce dernier prévoit en effet d’améliorer l’habitat de l’oiseau mais aussi de trouver des solutions pour éviter que certaines parcelles de forêts ne soient trop fréquentées ni exploitées.

« Faire parler du tétras lui apporte une visibilité considérable en tant qu’espèce « parapluie » et permet d’aborder des sujets cruciaux en matière de biodiversité. C’est un projet mobilisateur et fédérateur pour le massif. Le tétras ne doit pas être l’arbre qui cache la forêt. D’autres habitats et d’autres espèces ont besoin de la même attention que celle portée à ce magnifique oiseau. »

Le projet autorisé mais en danger.

Les recours déposés contre le plan de sauvetage du Grand Tétras par les cinq associations mettent grandement en péril le projet qui a pourtant été approuvé en amont par les autorités après plusieurs mois de travail.

Un recours a été déposé en justice devant le tribunal administratif de Nancy et un second devant les autorités Norvégiennes d’où plusieurs Grands Tétras devaient être acheminés.

Il faut désormais attendre que les différentes administrations se prononcent sur l’affaire mais il reste incompréhensible qu’une poignée de militants puissent influencer à ce point un projet qui pourrait bénéficier à de nombreuses espèces uniquement parce que pour eux et pour quelques scientifiques, il serait trop ambitieux en ce qui concerne l’espèce visée.

[Vidéo] Une nouvelle vidéo démontre le danger que représente le chat pour la petite faune

Que ce soit du côté des chasseurs ou des écologistes, tout le monde s’accorde sur le fait que le chat domestique est l’un des prédateurs qui cause le plus de dégâts sur la biodiversité dans le monde.

Malgré cet état de fait, les propriétaires indélicats continuent de laisser leurs félins se promener en liberté sous prétexte qu’un chat n’est pas un chien et qu’il a besoin de faire son tour…

Cette liberté a pourtant un prix que les autres animaux paient au prix fort.

Dans cette vidéo, nous avons encore une démonstration des capacités de prédation du chat qui est capable de s’en prendre à une perdrix aussi bien qu’à un lapin quoi qu’en disent les propriétaires de chats « qui ne chassent que les petites souris ».

@valerieyasinskaya скільки вовка не корми, а він всеодно в ліс дивиться або проти інстинкту не попреш 🙀#кот #охотник #полюваня ♬ оригинальный звук – _pro100s.ua_

Les chasseurs des Côtes d’Armor à la traîne pour s’inscrire au SIA

L’inscription au SIA (Système d’Information sur les Armes) est une démarche qui est obligatoire même si les autorités ont laissé un délai supplémentaire aux chasseurs pour se mettre à jour. Dans les Côtes d’Armor, un vrai travail de communication et d’accompagnement va être nécessaire car moins de 60% des chasseurs sont à jour.

Les inscriptions au SIA sont poussives dans les Côtes d’Armor.

Il y a en France quelques départements ou les inscriptions au SIA sont à la traîne, ce qui pose quelques soucis aux autorités, persuadés que d’instaurer cette obligation aurait suffit.

La plateforme en ligne permettant de s’inscrire a été victime de plusieurs problèmes techniques lors de son lancement, ce qui n’a pas été très engageant pour les chasseurs, même pour ceux qui n’avaient pas de soucis particuliers avec l’idée de s’y inscrire.

Les problèmes techniques n’ont pas été les seuls rencontrés. Il arrivait parfois que le manque de communication au sujet du râtelier numérique faisait que certains avaient déjà un numéro de SIA, créé par leur armurier lors d’un achat mais que les détenteurs ne possédaient pas et tentaient alors de recréer un compte, sans succès.

D’autres problèmes pouvaient également survenir sans accompagnement car tout le monde n’est pas forcément à l’aise avec l’outil informatique et certains chasseurs n’ont même pas d’adresse e-mail, ni même internet.

Aujourd’hui, un délai supplémentaire a (encore) été accordé par le gouvernement pour permettre aux chasseurs de se mettre en conformité. Il reste jusqu’au 31 décembre 2024 pour que les nemrods de France enregistrent les armes qui doivent l’être sur leurs comptes et ils peuvent pour cela compter sur leurs armuriers ou sur les services de la préfecture qui peuvent aussi aider.

Il reste néanmoins plus simple de se rendre chez son armurier qui saura précisément ou trouver les numéros de série demandés sur les armes du propriétaire.

Dans les Côtes-d’Armor, il semble que les services de l’État vont devoir mettre les bouchées doubles car seuls 58% des chasseurs du département se sont inscrits sur le fichier en 2023 comme l’indique Le Télégramme.

Des problèmes techniques mais aussi une question de confiance.

Les problèmes techniques rencontrés ne sont pas le seul obstacle à l’inscription des chasseurs au SIA. Il semble également que le gouvernement n’ait pas totalement convaincu les nemrods sur la manière dont les choses vont se dérouler ni de l’impact que leurs déclarations pourront avoir.

Les autorités pourront-elles saisir les armes selon des loi adoptées plus tard? La moindre infraction aura-t-elle un impact sur la détention des armes de chasse?

Aujourd’hui par exemple, quand on possède une arme de chasse et même pour celles qui sont déclarées en préfecture, il est tout a fait possible de faire une pause dans ses activités cynégétiques pendant 2 ou 3 ans avant de reprendre une validation lorsque la vie le permet. Sera-t-il possible de faire ce genre de pause sans que les autorités ne décident de saisir les armes si le chasseur ne pratique pas? Est-ce que la prise de validation sera obligatoire pour justifier le fait de garder son fusil ou sa carabine?

Autant de questions qui font que les chasseurs voient cette nouvelle obligation de s’inscrire sur une plateforme comme une nouvelle atteinte à leur liberté.

Il faut dire que même Willy Schraen, Président de la Fédération Nationale des Chasseurs, a annoncé qu’il n’était pas prêt à franchir le pas sur son inscription personnelle au SIA, ce qui n’est pas très engageant pour les adhérents des Fédérations départementales.

[Vidéo] Une compagnie de sangliers et un labrador sèment la panique

Si en Italie la présence des sangliers le long des terrasses de café n’inquiète, ou plutôt n’effraient plus personne, ce n’est pas le cas des chiens qui eux n’apprécient pas forcément cette présence !

Il y a des villes ou il est devenu fréquent d’observer des sangliers à tout moment de la journée.

Que ce soit à un rond point, le long d’une route ou comme ici à la terrasse d’un café, les suidés coulent des jours heureux.

Habituées, les personnes attablées en terrasse ne prêtent presque plus attention au passage des animaux, mais c’était sans compter sur un labrador sur place avec sa maitresse, qui lui, a bien décidé de s’en prendre aux sangliers.

[Vidéo] Des dauphins filmés dans l’Estuaire de la Loire sur une Réserve de Chasse et de Faune sauvage

Les chasseurs ont beau l’expliquer avec tous les mots du monde, le plus bel exemple pour expliquer leur engagement auprès de la nature reste les images.

Si habituellement, les animaux observés dans les Réserves de Chasse et de Faune Sauvage sont des espèces qui passent ou s’installent sur les territoires suivis par les chasseurs sont terrestres, cette fois la rencontre a été un peu plus déroutante.

A lire aussi : [Vidéo] Un goéland marin avale un lapin tout entier

La Fédération des Chasseurs de Loire-Atlantique a en effet posté les images de plusieurs dauphins qui sont venus nager dans la réserve.

D’ordinaire, ce sont plutôt des oiseaux migrateurs qui pointent le bout de leur nez dans l’estuaire mais cette fois, c’est dans l’eau que la magie a opéré.

Une agricultrice lance l’alerte après deux intrusions de loups dans sa ferme Jurassienne

Dans plusieurs régions de France, le loup est désormais bien implanté et il n’est pas rare de le croiser au détour d’un chemin de campagne. Pour les éleveurs et les ruraux en général, des questions se posent sur leur sécurité et celle de leurs animaux domestiques, comme c’est encore une fois la cas dans le Jura suite au signalement d’un loup dans une ferme.

Le loup était tranquille et s’est même laissé filmer.

Tout commence par la vidéo d’un loup partagée sur les réseaux sociaux ou un loup a été aperçu par deux fois sur le territoire de Grande-Rivière au nord de Saint-Claude dans le Jura..

Sur les images, le prédateur ne semble pas particulièrement effrayé par la présence d’un véhicule et va d’ailleurs continuer sa route quand la voiture redémarre à quelques mètres de lui.

Les journalistes de France 3 Franche-Comté sont entrés en contact avec l’agricultrice qui a pu leur confirmer que par deux fois, elle a vu des loups dans sa ferme :

« Il est rentré deux fois dans notre ferme hier soir. Ce matin, j’en ai aperçu un autre plus maigre, j’étais en voiture, la musique allumée, il n’a pas eu peur du tout. »

Après ces observations, l’éleveuse a alerté la Direction Départementale des Territoires ainsi que la FDSEA.

Comme elle l’a rappelé aux journalistes, le fait d’avoir des bêtes et de savoir que les enfants en vacances jouent dans le hameau, la présence du loup peut faire peur.

Le Jura très concerné par les attaques de loups.

Si les observations de loups dans le Jura sont monnaie courante, malheureusement, les éleveurs doivent aussi composer avec les attaques subies par les troupeaux.

A lire aussi : L’échelle de Geist ou comment les loups finissent par s’attaquer aux humains

Depuis le début de l’année, les attaques reprennent de plus belle. LE directeur de la FDSEA du Jura estime que la fréquence des attaques et d’à peu près une par semaine sur tout le département.

Les éleveurs ont pourtant dans la grande majorité des cas appliqué la réglementation en vigueur pour la protection de leurs troupeaux et la dernière mesure qui pourrait aujourd’hui faire la différence sont les tirs de défense menés par les louvetiers.

Pourtant, les éleveurs sont sceptiques et on peut les comprendre. Pas moins de 252 attaques de loups ont été dénombrées sur la région de Bourgogne-Franche-Comté mais seulement 209 loups pourront être prélevés au niveau national.

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