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A bientot
 

Gaston 98 ans plus chasseur que jamais

Quand on dit qu’on chasse encore à 75 ans cela n’a rien de surprenant, mais cela reste tout de même un âge respectable que tout le monde n’atteint pas forcément en bonne forme.

Ceci étant pour Alain Cadro, 75 ans donc, le plus fort n’est pas là, le plus fort c’est de chasser encore avec son père âgé quand à lui de 98 ans ! En effet, Gaston Cadro, bon pied bon œil, vient d’être distingué par la fédération des chasseurs d’un diplôme d’honneur lors de la dernière assemblée générale pour son incroyable longévité mais surtout sa passion de la chasse.

Arrivé dans la Creuse en 1953, le nonagénaire a depuis vécu une vie bien remplie : 19 ans maire de sa commune, lieutenant de louveterie, éleveur de chien renommé mais aussi vice-président de l’ACCA d’Aubusson pendant 42 ans, Gaston a bien des choses à raconter.

Pourtant aujourd’hui, son plaisir est encore d’aller à la chasse, aux sangliers principalement : « J’ai la volonté. Le plaisir des chiens, d’écouter, de chasser, mais pas de tuer. » précise-t-il à nos confrères de France Bleu. Gaston pratique la chasse plaisir, ou l’acte de tuer est vraiment anecdotique et n’interfère en rien au plaisir qu’il peut y prendre.

A la question de sa forme Gaston répond simplement « Je n’ai jamais trop fumé ni bu, alors ça maintient. Après on ne va pas dire que tout est parfait. De l’extérieur ça va, mais l’intérieur c’est moins bien ».

Quel bonheur de voir ainsi nos anciens honorer de leurs présence nos battues et nos repas. Chasse Passion souhaite encore de nombreuses saisons à Gaston et lui donne rendez-vous pour ses 100 ans, avec pourquoi pas un magnifique sanglier en guise de cadeau.

La montée de l’intolérance frappe de plus en plus les chasseurs

Depuis plusieurs années, la montée des extrémismes verts a poussé certaines personnes à s’en prendre aux chasseurs en passant parfois par la violence. Cette montée de l’intolérance envers les pratiques cynégétiques est de plus en plus suivie et quantifiée mais les réponses à cette intolérance restent souvent limitée.

Une tendance ressentie qui se précise.

En septembre 2020, une plateforme de signalements pour faire remonter les actes de violence envers les chasseurs a été mise en ligne par la FNC dans le but de pouvoir orienter les victimes vers les services juridiques adéquats.

Cette plateforme permet également de récolter des informations substantielles sur le nombre d’incidents qui se produisent sur un an et de dégager des tendances.

Si depuis quelques années, les chasseurs se sentaient de plus en plus oppressés par quelques groupuscules verts qui veulent voir disparaître la chasse et ses pratiquants, il n’y avait jusqu’alors pas de moyens précis pour déterminer s’il ne s’agissait que d’une impression ou si cette augmentation de la violence envers les chasseurs était réelle.

Dans une émission présentée par Willy Rovelli sur France Bleu, Nicolas Rivet, Directeur Général de la FNC revient sur ces violences faîtes aux chasseurs.

La chasse doit être expliquée mais les agresseurs doivent être sanctionnés.

Comme le dit Nicolas Rivet dans son interview et comme le répète souvent Willy Schraen lors de ses interventions, la chasse doit être expliquée. Trop longtemps nous avons pratiqué nos passions sans se soucier du grand public et c’était manifestement une erreur selon les dirigeants de la Fédération Nationale des Chasseurs.

De nombreuses actions de communication ont vu le jour depuis quelques années, jusqu’à des spots diffusés à la télévision pour inciter le public à se renseigner sur ce qu’est la chasse et quels sont les projets menés par les chasseurs.

Du côté du dialogue et des explications, les chasseurs se sont donc impliqués totalement pour s’ouvrir au public.

D’un autre côté, les opposants deviennent de plus en plus extrêmes. Actions de sabotage, insultes, dégradations des biens des chasseurs et même parfois, des agressions physiques.

On ne peut que penser à l’agression subie par des chasseurs en Gironde qui a eu lieu dernièrement ou une femme a décidé de s’en prendre à un groupe de nemrods armée d’une batte et d’un spray au poivre.

Celle-ci a été jugée en comparution immédiate et a écopé de 10 mois de prison avec sursis et une indemnisation de plus de 10 000 euros.

Une sanction trop faible pour les uns et suffisante pour les autres mais ce qui est sûr, c’est que la justice risque bien de voir arriver plus de dossiers comme celui-ci sur ses bureaux car, même si le dialogue entre chasseurs et non-chasseurs permet de mieux faire découvrir nos pratiques, la montée de l’extrémisme des anti-spécistes et animalistes se renforce avec le temps. Cela est bien sur sans compter sur l’arrivée des néo-ruraux à la campagne qui pensent que toute la ruralité doit s’adapter à leur vision des choses…

[Vidéo] Un match de rugby au son des trompes de chasse

C’est bien connu le rugby est un sport de passionnés, pratiqué par des hommes (et des femmes!) de nos territoires avec des valeurs fortes et ancrées.

Des valeurs de partage et de respect avant tout que l’on ne retrouve malheureusement pas toujours partout, mais bel et bien dans la chasse !

Ainsi, quand l’équipe de Bracieux (41) rencontre celle de Montargis (45) ce n’est pas pour rien que ces dernières vont faire une entrée remarquée sur le terrain.

A l’occasion d’un match opposant les 2 équipes le 14 avril dernier, des sonneurs sont venus accueillir les joueurs sur le terrain avec la douce mélodie des trompes de chasse, énorme!

Indre-et-Loire : le blaireau responsable de plusieurs attaques sur des brebis

Voilà plusieurs années que les anti-chasse attaquent systématiquement les arrêtés concernant la période de chasse du blaireau complémentaire qui permettait notamment son déterrage. Seulement, le blaireau est responsable d’un certain nombre de dégâts sur les exploitations agricoles comme en témoignent les agriculteurs d’Indre-et-Loire largement concernés.

Un retour d’expérience qui fera réfléchir.

Après un article consacré la suspension de la période complémentaire de chasse du blaireau en Indre-et-Loire, les journalistes de La Nouvelle République ont eu un retour de la part d’un éleveur de brebis qui voulait témoigner de la réalité du terrain.

Ce dernier explique que certaines de ses brebis ont été attaquées par un ou des blaireaux qui n’ont pas hésité à consommer la viande sur des animaux encore vivants mais dans l’incapacité de se défendre.

Par exemple, une brebis qui venait d’agneler s’est retrouvée avec une partie de son appareil génital consommé et les agneaux avaient disparus.

Une autre fois, une de ses brebis s’est retrouvée sur le dos, la pauvre bête n’a pas reçu d’aide du mustélidé qui sont loin d’être des aides précieuses comme l’expliquent les anti-spécistes mais au contraire, le blaireau a profité de cette opportunité pour manger une partie de sa tête.

D’autres anecdotes ponctuent l’article en question mais à chaque fois, les empreintes ne laissent aucun doutes sur l’espèce qui a joué à chaque fois le prédateur.

Coup dur pour les éleveurs qui, en plus de penser directement aux risques liés à la tuberculose véhiculée par le blaireau, ne seront pas indemnisés comme s’il s’agissait par exemple d’un loup.

Le blaireau, l’animal que l’on ne voit que peu mais qui est pourtant bien présent.

Les animalistes pourraient aisément être comparés à Saint Thomas, ils ont tendance à ne croire que ce qu’ils voient mais bien souvent quand cela les arrangent.

En ce qui concerne la chasse aux pantes par exemple, ils refusent de voir les études menées par les chasseurs en partenariat avec l’OFB et pour le blaireau c’est à peu près la même chose.

On ne voit que peu de blaireaux en journée car il est essentiellement nocturne. C’est aussi un mustélidé très discret et la conclusion des verts est simple : il n’y a pas de blaireaux si on en voit pas !

En réalité, les populations de blaireaux sont en recrudescence dans plusieurs départements Français. S’il ne sont pas toujours observés, les relevés d’empreintes et les déclarations de dégâts remises aux piégeurs, aux gardes ou à d’autres acteurs de la ruralité font de plus en plus mention de l’animal. Cette hausse d’activité est rarement liée à une baisse des effectifs.

Si les agriculteurs ne peuvent pas positionner des centaines de caméras de surveillance pour relever la présence de blaireaux dans les attaques, la Fédération d’Indre-et-Loire a pu confirmer que le nombre de blaireau était effectivement en hausse, notamment dans le Sud de la Touraine.

[Vidéo] Compilation : top des sangliers les plus enragés du web

Les anglais diraient « boar rage », des sangliers et des cochons sauvages dans tous leurs états capables de charger ou de détruire tout ce qui bouge.

Voici une compilation de suidés les plus déchainés de la toile, dont certains que vous avez peut-être déjà vu sur Chasse Passion à l’image de ce sanglier qui défonce un portail.

Majoritairement issues de caméras de surveillance ces attaques, charges, ou tout simplement moments insolites proviennent de Chine ou du Japon, pays qui contiennent énormément de sangliers et cochons sauvages.

Chaud devant !

Les images d’une personne en train de nourrir les sangliers dans Marseille soulèvent la colère des riverains

Depuis déjà quelques mois, la présence de sangliers pose de sérieux problèmes de sécurité dans certains quartiers de Marseille. Pour autant, des personnes indélicates continuent de nourrir les sangliers malgré l’interdiction municipale.

Le nourrissage continue, images à l’appui.

Dans le quartier de Luminy, les sangliers sont encore très présents et pour cause, on y croise encore des compagnies entières qui viennent chercher de quoi se nourrir dans les détritus des habitants mais pas uniquement.

Dernièrement, une vidéo a été publiée sur les réseaux sociaux et soulève la colère des riverains. Depuis la fin de 2023, il est en effet interdit de nourrir les suidés pour des raisons de sécurité des habitants mais aussi pour éviter leur prolifération en zone urbaine.

Manifestement certaines personnes indélicates préfèrent ne pas écouter les règles et continuent de se rendre sur les lieux ou les sangliers sont aperçus régulièrement pour les nourrir.

On peut même observer que la personne sur les images essaie de faire la loi auprès des plus gros sangliers pour nourrir principalement les plus petits.

Une attitude inconsciente et irrespectueuse.

La prolifération des sangliers en milieu habité soulève quelques problèmes majeurs dans la vie des habitants du secteur et pas uniquement. Les suidés sont un risque potentiel latent pour le trafic routier mais un nombre trop grand de sangliers en zone urbaine peut aussi générer un risque d’attaque croissant ainsi que des risques sanitaires.

En septembre dernier par exemple, une petite fille a été violemment attaquée par des sangliers mais cet évènement semble ne pas toucher du tout certains « amoureux » du monde animal qui préfèrent les animaux aux autres humains.

La ville de Marseille avait pourtant annoncé que des mesures étaient prises pour interdire aux gens de se rendre dans les lieux de villégiature des sangliers pour les nourrir.

Ce comportement incite les sangliers à se sédentariser aux abords de la ville mais aussi à approcher davantage des centres-villes et de ses habitants.

Une amende de 135 euros est prévue pour sanctionner ceux qui ne se plieraient pas à la règle mais il semble que les autorités vont devoir renforcer les contrôles pour qu’elle soit réellement appliquée.

[Vidéo] Une vidéo qui va faire rêver les passionnés du gibier d’eau

Les passionnés de chasse au gibier d’eau sont tous à l’affût du moindre changement de temps ou de vent qui va un jour déclencher la débandade.

LA nuit ou des centaines de canards viendront se poser sur la mare car finalement, peu importe le PMA qui n’est d’ailleurs que rarement atteint par les passionnés, préférant la satisfaction de voir « une boule » de canards ou d’oies se poser grâce à leur attelage que de tirer.

Voici une vidéo qui devrait tout de même alimenter les rêves de nos passionnés de hutte.

Pouvez-vous compter combien de canards et d’autres espèces se massent sur ce plan d’eau?

Grand gibier : un accord national conclu entre la FNC et l’ONF pour les forêts domaniales

Depuis de nombreuses années le prix des baux de chasse en forêt Domaniale ne cesse d’augmenter, de la même manière que les demandes de prélèvements exigés par l’ONF. Sur de nombreux massifs, les tensions entre les chasseurs et l’ONF sont vives. La FNC vient de signer un accord national pour un retour à un équilibre pragmatique, voici le communiqué de presse.

La Fédération nationale des chasseurs (FNC) et l’Office national des forêts (ONF) ont conclu un accord global national relatif à la gestion des grands ongulés dans les forêts domaniales afin de favoriser l’équilibre forêt-gibier. Il s’inscrit dans la continuité des accords signés au Salon international de l’agriculture, le 1er mars 2023, entre la FNC, les représentants des agriculteurs et l’Etat visant à réduire les dégâts de grand gibier qui pénalisent les forestiers et les agriculteurs.

Des actions ciblées pour rétablir l’équilibre dans les zones à fort enjeu de renouvellement forestier
L’accord matérialise la volonté d’actions communes notamment par la mise en oeuvre de dispositifs tests pour les zones à fort enjeu pour le renouvellement forestier. Ces dispositifs se fondent sur un principe « gagnant-gagnant » : une baisse de la population de grand gibier par une augmentation des prélèvements contre une baisse des prix de loyers de chasse ou le versement de bonus importants.

Ainsi, dans les zones en déséquilibre forêt-gibier, l’ONF s’engage à « promouvoir une réduction significative des loyers pour les locataires de baux domaniaux et les Fédérations s’engageant à favoriser une augmentation des prélèvements » dans le cadre des plans de chasse. Ce bonus « plan de chasse » est accordé sous certaines conditions.

Dans les lots ayant déjà atteint l’équilibre et financés par des fonds publics, l’accord prévoit de « récompenser les comportements qui permettent le renouvellement par plantation sans protections ». Ce bonus « hectares renouvelés par plantations sans protections » est accordé aux locataires volontaires des lots sous conditions et différentes modalités.

Dans les zones où ces actions sont mises en oeuvre, l’ONF s’engage à favoriser des mesures sylvicoles et des aménagements d’espaces naturels attenants afin d’améliorer la capacité d’accueil du milieu (entretien des bords de routes et des sommières, maintien d’un sous-bois appétant, conservation de feuillus naturels, gestion des lisières en privilégiant les lisières étagées, maintien de chablis de résineux ou de houppiers d’arbres abattus…).

L’agrainage dissuasif, un levier pour faire baisser les dégâts agricoles et forestiers.
La FNC et l’ONF conviennent également d’utiliser l’agrainage comme un levier contribuant à faire baisser les dégâts agricoles et forestiers et à faciliter les prélèvements. Dans ce cadre, il sera possible de déployer un agrainage dissuasif dans les forêts domaniales conformément au décret du 28 décembre 2023 lorsque cela est demandé par les locataires en appliquant strictement les règles des schémas départementaux de gestion cynégétique (SDGC). L’agrainage pourra être mis en oeuvre à travers « la mise en place d’une convention fédérale cynégétique tri partite (FDC – ONF – locataire) responsabilisant chacun des acteurs » précise l’accord.

Une attention partagée, portée à la régulation des populations de chevreuil.
Par ailleurs, l’accord prévoit de favoriser le prélèvement des chevreuils de manière adaptée notamment par le tir d’été, en raison de son impact en cas de surpopulation qui s’avère préjudiciable au renouvellement forestier.

D’une manière plus générale, la FNC et l’ONF sont favorables à la diversification des modes de chasse et s’engagent à promouvoir la valorisation des produits de la chasse par l’accompagnement à la création de filières venaison sur le territoire.

Enfin, il a été acté la mise en oeuvre de réunions régulières du comité de pilotage national ONF-FNC pour partager les données permettant d’objectiver l’état de l’équilibre forêt-gibier au regard des besoins de renouvellement forestier et promouvoir la coopération entre chasseurs et forestiers.

Cinq associations écologistes se positionnent contre la réintroduction du Grand Tétras dans le Massif des Vosges

La semaine dernière, la préfecture des Vosges a annoncé un grand plan de réintroduction du Grand Tétras dans le Massif des Vosges. Ce programme est plutôt décrié par plusieurs associations écologistes qui ont déposé un recours au tribunal de Nancy pour suspendre son exécution.

Plusieurs associations écologistes contre la réintroduction du Grand Tétras.

Le 20 avril, cinq associations se sont regroupées pour mener une action en justice contre un plan de réintroduction du Grand Tétras dans le Massif des Vosges. Ce plan a déjà fait l’objet d’un article sur Chasse Passion mais si l’on pouvait penser que les amoureux de la nature seraient enthousiastes devant la perspective de revoir l’oiseau à l’état sauvage dans le département, il semble que c’est en réalité tout le contraire.

SOS Massif des Vosges, Vosges Nature Environnement, Oiseaux Nature, Avenir et Patrimoine 88 et Paysage Nature et Patrimoine de la Montagne Vosgienne se sont donc rassemblés pour publier un communiqué de presse expliquant leur action.

Un recours a été déposé par ces associations pour suspendre la mise en place du projet devant le Tribunal Administratif de Nancy et en même temps, un recours a été déposé devant les autorités norvégiennes qui doivent capturer les Grands Tétras devant être relâchés dans le Massif des Vosges.

Pourquoi s’opposer à un tel projet?

Plusieurs scientifiques et associations se sont prononcés contre la mise en place de ce projet. Pour ces derniers, les conditions ne sont pas réunies pour que les oiseaux réintroduits puissent survivre et se reproduire.

Le réchauffement climatique, la fréquentation trop importante du massif par les promeneurs et les prédateurs trop présents dans le massif sont autant de raisons de ne pas tenter l’aventure.

Il faudrait selon eux s’attaquer d’abord à ces menaces avant de réintroduire les Grands Tétras.

Toutes les associations ne sont d’ailleurs pas d’accord sur ce point car la LPO s’est prononcée en faveur de ce plan de sauvetage de l’espèce.

Difficile en même temps de se dire qu’il faut régler le problème du réchauffement climatique avant de tenter de sauver le Grand Tétras dans les Vosges.

Les associations impliquées dans ce recours de suspension estiment malgré tout que ce projet ne tient pas la route et coûtera trop cher à l’État pour le laisser suivre son cours. Bien évidemment, une cagnotte a été créée pour soutenir cette action en justice qui devrait encore créer de nombreux débats entre les militants écologistes qui ne sont pas tous du même avis.

[Vidéo] Un sanglier trop gourmand se retrouve prisonnier d’une carcasse de vache

L’opportunisme du sanglier n’est plus à prouver. En tant que bon glouton, la moindre occasion de faire un bon repas ne laisse jamais un sanglier insensible et la perspective de grignoter les restes d’une carcasse de vache est toujours une aubaine.

Par le passé, de nombreuses vidéos ont pu montrer des sangliers se régaler des restes de cervidés retrouvés en pleine forêt mais à la campagne, les opportunités sont nombreuses, surtout à proximité d’un élevage bovin.

Une vache morte a été retrouvée sous un arbre mais bien que le bovidé soit décédé, il semble pourtant bien bouger vu de loin.

En s’approchant de la carcasse, les personnes qui filment la scène s’aperçoivent qu’un sanglier a pénétré dans la carcasse pour continuer de la ronger au maximum et s’est retrouvé coincé dans la peau de la vache.

Forcément, cette approche ne plaît pas du tout au sanglier qui s’élance et grogne en direction de ceux qui ont interrompu son repas.

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