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A bientot
 

Le trafic SNCF bloqué de Nantes à Châteaubriant à cause des blaireaux

Régulièrement, le réseau SNCF doit composer avec les animaux sauvages qui peuvent perturber le trafic. L’un des animaux sauvages qui cause les plus gros problèmes est le blaireau qui peut creuser de vastes galeries sous les rails des trains et tramways.

Une interruption du tram-train pendant près de 24h.

La circulation régionale autour de Nantes a été quelque peu mouvementée en ce début de semaine notamment à cause d’un incident survenu sur la ligne du tram-train qui va de Nantes à Châteaubriant.

La cause de cet incident n’était pas technique ou pour un manque de personnel mais parce que de gros mustélidés avaient décidé de s’infiltrer sous les voies au niveau de la commune d’Issé.

Des blaireaux ont donc décidé de s’installer là ou passe le train et ont donc fragilisé dangereusement la zone de passage ce qui a poussé la SNCF a interrompre totalement son trafic.

Des cars ont été mis en place afin de garantir un service aux voyageurs mais si les usagers s’en sont tirés à bon compte avec très peu de retards sur la journée, on peut penser que l’opération aura coûté à la SNCF.

Ce n’est que le lendemain que le train a pu reprendre du service après que les trous aient été rebouchés.

Le blaireau, un danger invisible pour la SNCF.

Depuis des années, la SNCF travaille en partenariat avec des chasseurs afin de limiter l’impact des animaux sauvages sur le trafic. Il ne s’agit pas toujours de régulation mais aussi d’études pour mettre en place des éffaroucheurs sur des zones à risques ou justement pour faire remonter des informations en cas de détection d’un terrier de blaireau.

A lire aussi : Le partenariat entre les chasseurs et la SNCF, un partenariat efficace mais qui ne plaît pas à tout le monde

Ce dernier est probablement l’un des plus complexes à détecter car sauf en cas de dégâts constatés dans les alentours permettant de remonter jusqu’au terrier, la SNCF ne peut compter que sur ses propres collaborateurs pour savoir si des blaireaux s’attaquent à leurs structures.

Malgré les offensives régulières des anti-chasse sur ce sujet, difficile d’abolir la vènerie sous-terre avec de telles contraintes…

La SNCF a déjà tenté de trouver des parades en offrant des terriers artificiels en béton pour accueillir d’éventuels blaireaux et éviter qu’ils ne creusent dans le sol, sous les rails, mais jusqu’ici, les expériences menées n’ont jamais été réellement concluantes.

[Vidéo] Beretta dévoile la BRX1 Wild Boar en vidéo

Depuis plusieurs mois maintenant, les fabricants nous permettent régulièrement de découvrir les nouveautés en images à travers des vidéos postées sur les plateformes et les réseaux sociaux.

Beretta est devenu expert en la matière et a même signé plusieurs court-métrages qui mettent en avant la marque italienne.

Dernièrement, c’est une édition spéciale de la BRX1 appelée « Wild Boar » qui a été mise en scène.

Cette arme au design résolument orienté pour la chasse du sanglier va assurément intéresser les passionnés de chasse en battue et de la traque de la bête noire.

Une Varoise tombe nez à nez avec un sanglier blanc en pleine ville

Ce vendredi 19 avril, une Varoise a croisé le chemin d’un sanglier devant la boulangerie de Varages. Si croiser un sanglier dans un village n’est plus un évènement très rare, elle a tout de même observé un individu très spécial puisque le sanglier était blanc.

Elle croise un sanglier blanc en pleine zone urbaine.

Si le sanglier possède le surnom de « bête noire » que dire de la rencontre qu’a pu faire une habitante de Varages devant la boulangerie de son village ce vendredi matin.

L’information a été partagée par Nice Matin qui a pu interroger Josiane Tavernier, l’habitante ayant eu le réflexe de faire des photos de l’animal.

Celle qui réside dans le village depuis plus de 15 ans n’en est pas a son premier sanglier mais habituellement, ils sont tout ce qu’il y a de plus classique.

Cette fois, le sanglier possédait une robe blanche qui l’a fortement surprise, au point qu’elle explique avoir confondu la bête avec un chien au premier coup d’œil.

Une couleur rare mais pas impossible à croiser.

Les sangliers blancs sont des spécimens très rares que l’on ne croise que si on a beaucoup de chance.

Pourtant, quelques rencontres de ce type ont déjà été rapportées sur le web notamment en Espagne ou un sanglier blanc avait pu être observé près d’une ferme. Un chasseur a même pu prélever un sanglier blanc lors d’une chasse à l’affût, là encore en Espagne.

Cette observation va assurément animer les débats entre chasseurs dans le département pendant de longues semaines, certains parleront d’albinisme quand d’autres mettront en cause des indélicatesses menant à l’hybridation entre sangliers et cochons de ferme.

Dans tous les cas, la riveraine devrait surement se laisser tenter par un billet de loterie car croiser un sanglier blanc en pleine rue est incontestablement une chance qui ne se présente pas tous les jours.

[Vidéo] Un chevreuil piégé dans un canal sauvé par deux agents forestiers

Les chevreuils ont tendance a adopter un comportement moins méfiants en cette période ou ils consomment les bourgeons et en abusent. Leur témérité peut donc leur jouer des tours jusqu’à se retrouver dans des situations qui s’avèrent dangereuses comme le démontre encore une fois cette vidéo.

Un chevreuil avait surement besoin d’étancher sa soif et s’est aventuré dans un canal ou les berges sont trop raides pour lui permettre de remonter par ses propres moyens.

A lire aussi : Un chevreuil ivre évacué d’une autoroute par les pompiers dans les Ardennes

Heureusement pour lui, des agents forestiers ont été alertés de sa présence dans le canal et ont décidé de lui porter secours.

Bien que l’animal refuse de se laisser faire, les agents sont parvenus à le coincer dans un creux et sont entrés dans l’eau avec une caisse de transport pour capturer le chevreuil en détresse.

Il sera relâché immédiatement après avoir été remonté sur la terre ferme.

L’échelle de Geist ou comment les loups finissent par s’attaquer aux humains

Si de nombreux animalistes pro-loups ne cessent d’expliquer à tout le monde que le loup est strictement inoffensif pour l’homme, des scientifiques chevronnés ont pourtant étudié la chose sous différents angles dont Valerius Geist qui a laissé une trace indélébile dans les travaux sur l’agressivité potentielle du loup envers l’homme.

Les sept étapes de l’échelle de Geist.

Valerius Geist était un professeur émérite de l’Université de Calgary , spécialiste de la biologie, du comportement et de la dynamique des mammifères qu’il a pu étudier pendant de nombreuses années.

Il a signé plusieurs travaux sur les ongulés mais aussi sur les loups.

Valerius Geist a notamment mis en place une liste de sept étapes à travers laquelle il émet l’hypothèse d’une escalade de l’agressivité du loup dans un milieu ou il peut entrer en contact avec le monde des Hommes.

  1. La première étape est la pénurie de gibier sauvage, qu’elle soit due à une trop forte prédation, à la perte d’habitat ou à la migration saisonnière.
  2. Les loups commencent à s’approcher des habitations humaines, mais limitent leurs visites aux heures nocturnes. Leur présence est généralement connue par des hurlements et la réaction des chiens domestiques.
  3. Après un certain temps, les loups commencent à fréquenter les alentours des habitations humaines pendant la journée et à observer les gens ainsi que le bétail à distance.
  4. Les loups commencent à se montrer plus audacieux en attaquant le petit bétail et les animaux domestiques pendant la journée, poursuivant parfois leur proie jusque dans les étables. À ce stade, les loups ne se concentrent pas sur les humains, mais ils se montrent menaçants à leur égard.
  5. Les loups commencent à attaquer le bétail de plus grande taille et peuvent suivre les cavaliers, les vélos, les piétons… Les gens commencent à être harcelés, généralement comme s’il s’agissait d’un jeu.
  6. Les loups poursuivent les gens sur de courtes distances et essaient de mordre, mais ils battent en retraite en cas de réaction.
  7. Les loups commencent à attaquer les gens par instinct de prédation.

Dans plusieurs pays comme en Israël, les loups ont suivi ce schéma même si jusqu’ici, les autorités ont toujours pris des mesures avant que le processus n’atteigne l’étape 7.

Les ruraux ont été nombreux à remarquer que les choses suivaient cette même voie sans pour autant connaître l’existence de cette échelle créée en 2007.

L’auto-régulation de la nature est une erreur intellectuelle.

Pour ce biologiste, l’auto-régulation de la nature est « une erreur intellectuelle des simples d’esprits ».

Il est vain de penser que l’homme ne fait pas partie intégrante du monde animal et les êtres humains font partie intégrante du processus qui permet d’atteindre une biodiversité plus diversifiée et de mieux préserver les écosystèmes.

Certaines espèces sont capables de s’adapter et de se développer beaucoup mieux que d’autres et les effets auto-renforçants de ces espèces conduiraient selon ses travaux à un déclin de la biodiversité.

En ce qui concerne le loup, il préconisait leur maintient dans des zones non peuplées ou très peu peuplées par l’homme et une protection franche des frontières entre le monde animal et le monde des hommes.

La cohabitation avec le grand prédateur était pour lui une douce chimère car les capacités d’adaptation du canidé lui permettent de suivre les étapes de son échelle jusqu’à se transformer en prédateur de l’homme si rien n’est fait pour réguler les espèces.

Ses travaux concernent essentiellement l’Amérique du Nord mais nombreux seront ceux qui verront des situations similaires à ce que nous connaissons en Europe à travers ses conclusions.

[Vidéo] 2 sangliers montent la garde devant une maison

Certaines villas sont protégées par des caméras, d’autres par des murs de 2 mètres de haut ou encore par des gardes, mais saviez-vous qu’il existe une autre forme de protection très efficace : le sanglier.

En effet, qui aurait l’idée d’entrer sans être invité, voir même en l’étant, dans une maison ou 2 molosses à poils drus montent la gardent ? Assurément pas grand monde !

Voici une vidéo insolite ou un automobiliste a filmé 2 sangliers paisiblement allongés devant le portillon d’une maison. Tels 2 gardiens, les suidés semblent réellement veiller sur la propriété.

A lire aussi : un sanglier défonce un portail

Une question reste néanmoins en suspens concernant le salaire de ces 2 vigiles. Sont-ils payés en maïs, glands ou viande ? Pour le savoir, on vous laisse leur demander !

La peste porcine africaine pourrait faire son entrée en Suisse

La peste porcine africaine aussi appelée PPA est une maladie qui se transmet entre les sangliers et les porcs domestiques. Le virus réapparaît régulièrement depuis quelques années et s’il se concentre surtout en Europe centrale et dans le sud du continent, les pays qui en sont indemnes comme la Suisse suivent l’évolution de la maladie de très près.

La PPA pourrait arriver en Suisse d’ici peu.

En Europe, des groupes de travail se sont formés il y a quelques temps afin d’échanger autour de la maladie et de pouvoir faire en sorte de la combattre de manière uniforme dans les pays du continent.

La maladie n’est pas dangereuse pour l’homme mais son expansion met grandement en péril le monde de l’élevage porcin qui pourrait voir ses animaux décimés par le virus en quelques mois.

En effet, aucun vaccin efficace n’existe actuellement et comme pour la grippe aviaire, la solution en cas d’infection d’un troupeau est l’euthanasie systématique de tout le cheptel.

A lire aussi : Prime de 300 euros par sanglier prélevé, clôtures, groupe de contact technique, l’Europe s’organise contre la PPA

Dernièrement, un foyer de PPA a été détecté en Italie, à seulement 60 kilomètres au sud du Tessin. Cette proximité et la population importante actuelle de sangliers en Europe qui sont autant de vecteurs de la maladie laisse penser aux experts que la peste porcine africaine pourrait bientôt arriver sur le sol Suisse.

La Suisse se prépare à lutter contre le virus.

Le risque étant réel, les spécialistes ont d’ores et déjà préparé un plan à appliquer pour éviter que la PPA ne puise se propager à grande échelle dans le pays.

Trois grandes mesures sont plébiscitées par l’Office fédéral de la sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires en Suisse :

  • créer une zone de quarantaine ou les éventuels animaux malades pourront rapidement être confinés en cas d’infection,
  • éliminer systématiquement les carcasses potentiellement porteuses du virus, que ce soit des porcs domestiques ou des sangliers en pleine nature,
  • réduire drastiquement le nombre de sangliers en milieu naturel qui représentent le facteur de contamination le plus évident.

Les Cantons pourront également obliger les propriétaires de chiens à les tenir en laisse lors des balades et limiter les activités humaines en forêt.

Chose étrange, les Cantons peuvent aussi décider de suspendre la chasse sur leur territoire. On imagine que cette mesure ne concerne pas la chasse du sanglier sinon, comment faire baisser significativement les populations?

L’ours Goiat est considéré mort par les spécialistes

Les attaques d’ours posent encore de sérieux problèmes aux éleveurs et l’un des noms qui faisait trembler dans les étables était celui de Goiat. Goiat était un ours mâle qui a fait beaucoup parler de lui il y a quelques années après avoir mené des attaques dans les Pyrénées.

L’ours Goiat introuvable.

Les ours qui ont été relâchés dans les Pyrénées ou même les nouvelles générations sont très suivies par les spécialistes et ont tous été baptisés pour assurer leur suivi.

C’était le cas de l’ours Goiat qui a s’est rendu responsable de plusieurs méfaits comme l’attaque d’un cheval en Espagne ou plusieurs attaques sur des troupeaux dans les Pyrénées.

Il a même été question que le plantigrade soit capturé afin de lui poser un collier GPS. L’objectif était de pouvoir suivre Goiat a la trace et d’ainsi pouvoir réagir en cas d’approche trop dangereuse du prédateur à proximité d’un troupeau.

Cette opération n’a pas eu lieu car les associations pro-ours sont parvenues à contrer le protocole pourtant engagé par l’Office Français de la Biodiversité et Goiat a donc pu continuer sa vie sans ce fameux collier.

Finalement, la pose de ce collier aurait été un avantage pour en savoir plus sur le destin de cet ours dont on a plus de nouvelles depuis avril 2022.

La mort naturelle écartée par les spécialistes.

Dans la nature, un ours peut vivre jusqu’à l’âge de 30 ans et Goiat était un beau spécimen de 16 ans, en pleine santé lorsqu’on a perdu sa trace. La mort naturelle est donc relativement mise de côté par les pro-ours qui pensent qu’il lui est forcément arrivé quelque chose.

Combat avec un autre ours? Accident dans la nature?

Les possibilités sont multiples et bien évidemment, les animalistes n’hésitent pas à sous-entendre que des éleveurs ou des chasseurs sont à l’origine de cette disparition.

D’autres estiment que ce n’est pas parce que Goiat n’a pas été aperçu depuis longtemps qu’il est forcément mort mais pour les agents de l’OFB, un animal de cette taille et de cet âge est nécessairement très actif dans la région et aurait dû être vu depuis deux ans.

Cela sans compter sur le fait que l’ours était devenu un habitué des attaques sur les troupeaux.

La disparition de Goiat reste donc pour le moment un mystère mais son absence prolongée pose problème aux associations de protection de l’ours car il avait été relâché dans le but de renouveler le matériel génétique des ours présents dans les Pyrénées. Il faudra donc s’attendre à voir arriver sur la table une demande de leur part pour relâcher un nouvel ours dans la région dans les mois à venir si jamais Goiat continue à ne pas montrer de signe de vie.

[Vidéo] Une promeneuse sans gêne et ses chiens délogés d’une propriété privé

Depuis quelques années, les propriétaires terriens doivent composer avec un étrange public qui a tendance à penser que la nature est à tout le monde.

Sous prétexte de se promener et d’avoir des animaux de compagnie qu’il faut faire courir, certains habitants se rendent dans les terrains ne leur appartenant pas et s’y promènent comme s’il s’agissait d’un parc public.

A la chasse, nous avons régulièrement l’occasion de croiser ce genre de phénomènes mais pour certains, c’est dans des grandes pelouses ou dans des près au pieds des maisons qu’il semble naturel de se promener.

La propriétaire d’un terrain a pu faire l’expérience de cette situation en voyant une femme et ses chiens débarquer littéralement dans son jardin.

Quand elle lui explique qu’elle se trouve sur une propriété privée, la promeneuse met beaucoup de temps à comprendre qu’elle ne peut pas rester là, comme s’il était normal qu’elle se balade dans le terrain de quelqu’un d’autre.

Lorsque la propriétaire des lieux lui explique qu’elle ne peut pas rester là et qu’il s’agit d’un terrain privé, la promeneuse a même l’audace de lui répondre « C’est la campagne quand même… »

A la vue de ces images, on peut comprendre pourquoi certains propriétaires sont sur les dents et se montrent de moins en moins patients à l’égard des promeneurs en zone rurale…

@mariane__ba Lorsque les gens se pensent chez eux pour balader en detente chez toi ! #nature #pourtoi #foryou #foryoupage #visiteur #incruste #squateur #jardin #nature ♬ Comedy Scenes – Comical, stupid, odd, lovely (Drumless)(1441321) – Ponetto

[Vidéo] Un piège pour corriger les souris mais ne pas les tuer

Le concours Lépine n’a qu’a bien se tenir, un bricoleur américain vient de peut-être développer la nouvelle invention de l’année.

Alors que la majorité des pièges à souris entrainent la mort de ces dernières, à commencer par la redoutable et inégalée tapette, un homme a réfléchi (si si !) à un procédé pour faire fuir les souris mais ne pas les tuer.

Pour ce faire, quoi de plus logique de capturer ratatouille, lui flanquer une bonne raclée puis le relâcher? Après tout, ça marche avec certains individus !

Voici donc un piège « no-kill » qui va ceinturer l’intrépide souris puis lui infliger la correction de sa vie via des petits moteurs simulant une fessée. Nul doute qu’après pareille frayeur, on ne la reverra pas de si tôt ! Est-ce la fin des chats dans nos fermes pour autant ? Rien est moins sûr…

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