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A bientot
 

[Vidéo] L’immense joie dans les yeux d’un enfant qui pêche son tout premier poisson

Les souvenirs sont souvent inoubliables pour les parents lorsque leur enfant réalise ses premiers pas, qu’il prononce ses premiers mots ou comme ici qu’il pêche son premier poisson!

La pêche a cela de plus par rapport à la chasse, c’est que l’on peut facilement initier les plus jeunes à cette passion.

A lire aussi : [Vidéo] Les inventions de pêche que l’histoire n’aura pas retenue

Les sensations restent néanmoins les mêmes, le contact direct avec la nature, les efforts réalisés pour toucher au but et finalement, se voir récompenser.

Un petit bout de chou a tenté l’aventure, bien encadré par ses parents et parvient à sortir son premier poisson de l’eau. L’un d’entre eux va filmer la scène pour en garder un souvenir éternel et on peut voir dans les yeux de l’enfant à quel point il est heureux d’avoir vécu ce moment incroyable.

[Vidéo] Quand tu as deux chiens de chasse mais qu’ils ont un peu de mal…

Nombreux sont les chasseurs de France à affirmer qu’ils possèdent le meilleur chien de la planète. Tout le monde a un camarade dans sa société qui chasse avec un Jack Russel capable de tenir l’arrêt pendant des heures, de rapporter un sanglier à travers 3 pâtures et qui va aussi bien à l’eau qu’au bois.

Mais restons sérieux, tous nos compagnons ne sont pas toujours les plus efficaces et même de supers chiens de chasse peuvent passer à côté du gibier.

A lire aussi : [Vidéo] Quand ton chien de chasse n’est pas du tout un chien de pêche

Et il vaut mieux en rire quand cela se produit car que l’on soit chasseur ou non, les chiens de chasse sont souvent parmi les meilleurs compagnons que l’on puisse avoir à nos côtés.

Dans cette vidéo, la propriétaire de deux cockers spaniel va s’avancer dans un champ pour voir ce à quoi ses chiens sont occupés.

Alors qu’elle s’avance, elle est surprise par le démarrage d’un faisan que ses chiens n’avaient manifestement pas du tout remarqué.

Deux chiens de chasse morts empoisonnés volontairement en Bretagne

C’est décidément une mauvaise période pour nos fidèles compagnons qui sont sans cesse ciblés par des personnes mal intentionnées. En ce début de semaine, deux chiens de chasse appartenant au président d’une association de chasse bretonne ont été empoisonnés.

Des analyses révèlent la présence d’insecticide.

Le propriétaire des chiens de chasse empoisonnés a pu témoigner de cet horrible évènement qui s’est produit à Languédias, près de Dinan, ce lundi 22 avril auprès des journalistes de Ouest France.

Alors qu’il était parti travailler en début de matinée, il a pu avoir son fils au téléphone peu avant midi. C’est là que son fils l’a informé que quelque chose n’allait pas. Il était parti voir les chiens avec une personne de sa famille mais à leur arrivée, deux chiens étaient en proie à des convulsions alors qu’ils se trouvaient dans deux box différents.

Les deux chiens sont morts mais la façon étrange dont les choses se sont déroulées inquiètent le propriétaire. Des analyses ont donc été menées pour tenter de découvrir si les chiens avaient été empoisonnés et il s’avère que c’était bien le cas. Les deux chiens avaient ingéré quelque chose qui les avait conduit à la mort.

La même substance qui avait tué des chiens dans le Gard en 2023.

L’année dernière, 3 chiens avaient été empoisonnés lors du championnat de France de Canicross à Vauvert dans le Gard. L’affaire avait fait grand bruit et les analyses réalisées sur les chiens tués ont révélé qu’ils avaient ingéré une sorte d’insecticide.

Des boulettes de viande enduite de ce produit avaient manifestement été déposées sur le parcours et à proximité de manière intentionnelle par quelqu’un.

Les chiens du canicross n’ont pas été les seules victimes de l’empoisonnement car d’autres chiens ont été intoxiqués plusieurs semaines après le championnat.

Cette fois, c’est pourtant à des kilomètres de là que l’empoisonnement a eu lieu mais le procédé et le produit restent le même.

Il y a néanmoins peu de chances pour que l’empoisonnement soit aussi hasardeux que dans le Gard et il semblerait que cette fois l’attaque était ciblée.

Perdre un chien est toujours un drame dans une famille et il faut donc espérer que l’auteur des faits sera rapidement identifié et sanctionné comme il se doit.

Photo d’illustration.

[Vidéo] Un reportage de France 3 Grand-Est sur le blaireau plutôt complaisant

Le blaireau refait parler de lui assez fréquemment ces derniers temps. Dans les médias, son retour interpelle mais les associations de protection animale font le nécessaire pour que les chasseurs ne puissent plus du tout intervenir concernant cette espèce.

A grand renfort d’actions en justice, des associations comme la LPO ou One Voice ont fait en sorte que le déterrage soit de plus en plus impossible à pratiquer, même dans des situations ou le danger est réel.

Dernièrement des dégâts causés par des blaireaux sur des voies SNCF ont généré des problèmes de trafic près de Nantes et en Indre-et-Loire, le blaireau s’est rendu responsable d’attaques sur des brebis.

Suite à cette actualité qui démontre à quel point le blaireau redevient actif dans notre pays, il est étonnant de voir le sujet traité de manière très complaisante sur le service public du Grand-Est ou les chasseurs n’ont eu la parole que pendant 30 secondes sur près de 4 minutes de reportage…

Vers la fin de la régulation du ragondin à Lyon qui s’oriente vers la stérilisation

Le ragondin fait de plus en plus parler de lui ces derniers temps dans différents départements de France. Si la gestion du rongeur près de Lyon n’a pas récemment fait couler beaucoup d’encre, le plan proposé par les élus écologistes fait réagir.

Les ragondins de Confluence, cheval de bataille des verts de Lyon.

Lyon est une commune qui fait régulièrement parler d’elle pour les mesures parfois excentriques qu’elle est capable de prendre sous l’impulsion de ses élus écologistes. On se souvient d’une subvention accordée à un groupe mettant en scène des personnes nues dans un jardin ou encore créer une voie verte en détruisant des jardins ouvriers.

Cette fois, il s’agit de la gestion des ragondins qui peuvent se multiplier assez vite dans les zones humides et causer de sérieux dégâts sans parler des zoonoses que l’animal peut transporter.

Il y a de cela quelques années, la régulation des ragondins dans le quartier de Confluence avait déjà engendré la colère de certains animalistes voyant des archers venus pour procéder au prélèvement de plusieurs individus.

La ville veut cohabiter avec les ragondins.

Le ragondin est classé parmi les espèces exotiques envahissantes, c’est à dire qu’elle a été importée sur notre continent pour exploiter sa fourrure mais n’est en principe pas présent sur nos territoires à l’état naturel.

Il met donc en danger l’équilibre de la biodiversité locale et il est donc permis de réguler l’espèce toute l’année.

Faisant fi de ces règles, les verts de Lyon se sont lancés dans un protocole qui vise à ne plus procéder au prélèvement des ragondins mais s’oriente plus vers une cohabitation avec l’espèce.

De nouveau, on retrouve l’ambition de stériliser les animaux de la ville pour les empêcher de se reproduire. Cela assure, selon les élus écologistes, que l’impact des ragondins soit amoindris dans le temps et constitue une méthode de régulation « plus respectueuse du bien-être animal ».

Pour le moment, les stratégies qui vont être mises en place pour mener à bien ces opérations sont floues et on se demande bien combien cela va coûter au contribuable.

Faudra-t-il également que des agents de terrains se rendent auprès des ragondins pour leur demander ce qu’ils pensent de cette mesure? Et si les ragondins étaient contre la stérilisation?

[Vidéo] Willy Schraen : « je ne suis pas prêt à franchir le pas sur mon inscription personnelle au SIA »

En ce début de semaine, une allocution du Président de la Fédération Nationale des Chasseurs a été postée sur la chaîne Youtube « Chasseur de France TV ». Cette intervention permet à Willy Schraen de communiquer auprès de tous les chasseurs même s’il a pu se rendre à quelques assemblées générales.

Le combat contre le dogme écologiste.

Difficile de ne pas aborder la fin de la saison de chasse sans parler des attaques incessantes des écologistes et de leurs différentes mouvances extrêmes quand on parle de chasse. Partout en France Métropolitaine et Outre-mer, les écologistes n’ont cessé de s’en prendre aux activités cynégétiques.

Si cela est vrai au niveau national, c’est également vrai au niveau Européen.

La question ne concerne d’ailleurs pas que les chasseurs mais tous les ruraux qui subissent les normes et les règles imposées par Bruxelles par des bureaucrates qui ne se rendent jamais sur le terrain pour demander conseil aux gens qui vivent dans ce monde rural au quotidien.

Willy Schraen rappelle donc que l’écologie politique actuelle n’est plus une simple politique avec laquelle il y a des divergences d’opinion mais une politique avec laquelle il n’est tout simplement plus possible de dialoguer, ce qui représente un véritable danger pour la démocratie.

Le Président de la FNC s’interroge sur le fonctionnement du SIA.

Dans une intervention similaire prononcée lors du Congrès National de la chasse, Willy Schraen avait déjà abordé le sujet du SIA et dénonçait les risques qui couraient sur les chasseurs suite à des abus ou des lenteurs de notre système judiciaire.

Alors que le gouvernement et de nombreux organismes encouragent les chasseurs à créer leur râtelier numérique, Willy Schraen fait une déclaration pour le moins surprenante :

« Les chasseurs n’ont pas à être pénalisés par la lenteur de la justice à effacer certains casiers judiciaires comme la loi pourtant le prévoit. Je vais vous dire franchement, dans ces conditions, je ne suis pas prêt à franchir le pas sur mon inscription personnelle au SIA. Avouez que ça la fout mal, si vous me permettez l’expression. Je ne lâcherais pas cette affaire, même si je dois la porter devant la Cour Européenne des Droits de l’Homme. »

Une déclaration qui va assurément engendrer de nombreuses réactions au sein du milieu cynégétique mais aussi en dehors. Le SIA a connu de nombreux reports depuis sa création pour des problèmes techniques et/ou de calendrier, ce qui a déjà fait couler beaucoup d’encre dans les médias. Si le Président de la FNC lui même exprime des doutes sur ce système, il y a des chances pour que sa mise en place soulève de nouvelles interrogations dans les mois à venir.

Un trophée de chevreuil incroyable!

Dans la vie de chasseur, il y a des rencontres et des prélèvements absolument inoubliables. S’il s’agit essentiellement de situations marquantes qui font que chaque action de chasse reste unique, il y a aussi des animaux incroyables qui font à eux seuls toute la beauté de la chasse.

C’est un peu le doux rêve de nombreux chasseurs de cervidés qui sont en quête d’un animal à la coiffe étrange pendant parfois plusieurs années avant de toucher au but.

A lire aussi : Le brocard d’une vie

Les chevreuils aux coiffes parfois extravagantes sont toujours fascinants à observer et quand la chance d’en prélever un se présente, c’est toujours un grand bonheur.

Le 13 avril dernier, sur un territoire de chasse qui se trouve au Sud-Est de Budapest en Hongrie, un chasseur a pu prélever ce brocard dont la coiffe a poussé le long de sa tête et pas en hauteur.

Les photos ont été postée sur les réseaux sociaux et n’ont pas manqué de faire le buzz sur différents groupes de chasseurs passionnés.

Gaston 98 ans plus chasseur que jamais

Quand on dit qu’on chasse encore à 75 ans cela n’a rien de surprenant, mais cela reste tout de même un âge respectable que tout le monde n’atteint pas forcément en bonne forme.

Ceci étant pour Alain Cadro, 75 ans donc, le plus fort n’est pas là, le plus fort c’est de chasser encore avec son père âgé quand à lui de 98 ans ! En effet, Gaston Cadro, bon pied bon œil, vient d’être distingué par la fédération des chasseurs d’un diplôme d’honneur lors de la dernière assemblée générale pour son incroyable longévité mais surtout sa passion de la chasse.

Arrivé dans la Creuse en 1953, le nonagénaire a depuis vécu une vie bien remplie : 19 ans maire de sa commune, lieutenant de louveterie, éleveur de chien renommé mais aussi vice-président de l’ACCA d’Aubusson pendant 42 ans, Gaston a bien des choses à raconter.

Pourtant aujourd’hui, son plaisir est encore d’aller à la chasse, aux sangliers principalement : « J’ai la volonté. Le plaisir des chiens, d’écouter, de chasser, mais pas de tuer. » précise-t-il à nos confrères de France Bleu. Gaston pratique la chasse plaisir, ou l’acte de tuer est vraiment anecdotique et n’interfère en rien au plaisir qu’il peut y prendre.

A la question de sa forme Gaston répond simplement « Je n’ai jamais trop fumé ni bu, alors ça maintient. Après on ne va pas dire que tout est parfait. De l’extérieur ça va, mais l’intérieur c’est moins bien ».

Quel bonheur de voir ainsi nos anciens honorer de leurs présence nos battues et nos repas. Chasse Passion souhaite encore de nombreuses saisons à Gaston et lui donne rendez-vous pour ses 100 ans, avec pourquoi pas un magnifique sanglier en guise de cadeau.

La montée de l’intolérance frappe de plus en plus les chasseurs

Depuis plusieurs années, la montée des extrémismes verts a poussé certaines personnes à s’en prendre aux chasseurs en passant parfois par la violence. Cette montée de l’intolérance envers les pratiques cynégétiques est de plus en plus suivie et quantifiée mais les réponses à cette intolérance restent souvent limitée.

Une tendance ressentie qui se précise.

En septembre 2020, une plateforme de signalements pour faire remonter les actes de violence envers les chasseurs a été mise en ligne par la FNC dans le but de pouvoir orienter les victimes vers les services juridiques adéquats.

Cette plateforme permet également de récolter des informations substantielles sur le nombre d’incidents qui se produisent sur un an et de dégager des tendances.

Si depuis quelques années, les chasseurs se sentaient de plus en plus oppressés par quelques groupuscules verts qui veulent voir disparaître la chasse et ses pratiquants, il n’y avait jusqu’alors pas de moyens précis pour déterminer s’il ne s’agissait que d’une impression ou si cette augmentation de la violence envers les chasseurs était réelle.

Dans une émission présentée par Willy Rovelli sur France Bleu, Nicolas Rivet, Directeur Général de la FNC revient sur ces violences faîtes aux chasseurs.

La chasse doit être expliquée mais les agresseurs doivent être sanctionnés.

Comme le dit Nicolas Rivet dans son interview et comme le répète souvent Willy Schraen lors de ses interventions, la chasse doit être expliquée. Trop longtemps nous avons pratiqué nos passions sans se soucier du grand public et c’était manifestement une erreur selon les dirigeants de la Fédération Nationale des Chasseurs.

De nombreuses actions de communication ont vu le jour depuis quelques années, jusqu’à des spots diffusés à la télévision pour inciter le public à se renseigner sur ce qu’est la chasse et quels sont les projets menés par les chasseurs.

Du côté du dialogue et des explications, les chasseurs se sont donc impliqués totalement pour s’ouvrir au public.

D’un autre côté, les opposants deviennent de plus en plus extrêmes. Actions de sabotage, insultes, dégradations des biens des chasseurs et même parfois, des agressions physiques.

On ne peut que penser à l’agression subie par des chasseurs en Gironde qui a eu lieu dernièrement ou une femme a décidé de s’en prendre à un groupe de nemrods armée d’une batte et d’un spray au poivre.

Celle-ci a été jugée en comparution immédiate et a écopé de 10 mois de prison avec sursis et une indemnisation de plus de 10 000 euros.

Une sanction trop faible pour les uns et suffisante pour les autres mais ce qui est sûr, c’est que la justice risque bien de voir arriver plus de dossiers comme celui-ci sur ses bureaux car, même si le dialogue entre chasseurs et non-chasseurs permet de mieux faire découvrir nos pratiques, la montée de l’extrémisme des anti-spécistes et animalistes se renforce avec le temps. Cela est bien sur sans compter sur l’arrivée des néo-ruraux à la campagne qui pensent que toute la ruralité doit s’adapter à leur vision des choses…

[Vidéo] Un match de rugby au son des trompes de chasse

C’est bien connu le rugby est un sport de passionnés, pratiqué par des hommes (et des femmes!) de nos territoires avec des valeurs fortes et ancrées.

Des valeurs de partage et de respect avant tout que l’on ne retrouve malheureusement pas toujours partout, mais bel et bien dans la chasse !

Ainsi, quand l’équipe de Bracieux (41) rencontre celle de Montargis (45) ce n’est pas pour rien que ces dernières vont faire une entrée remarquée sur le terrain.

A l’occasion d’un match opposant les 2 équipes le 14 avril dernier, des sonneurs sont venus accueillir les joueurs sur le terrain avec la douce mélodie des trompes de chasse, énorme!

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