L’arrivée il y a a quelques années des gilets de protection pour les chiens de chasse au sanglier ont permis sans aucun doute de sauver la vie à de nombreux compagnons à 4 pattes
Une femme confond le pompon d’un bonnet avec un « bébé hérisson » et l’emmène dans un refuge
Que dire face à cette nouvelle méprise qui démontre la déconnexion totale de certains face à la réalité et la nature… Les bénévoles d’un refuge anglais ont vu arriver une femme qui leur apportait un « bébé hérisson » qui s’est en réalité avéré être un simple morceau de bonnet.
La réaction émouvante d’une amoureuse des animaux.
Ce vendredi 22 mars, les bénévoles d’un refuge pour animaux sauvages situé dans la banlieue de Manchester au Royaume-Uni se sont retrouvés dans une situation un peu déroutante.
Une femme venait leur rendre visite afin qu’ils sauvent la vie d’un bébé hérisson, qui s’était mis en boule et qui était terrorisé car il ne bougeait pas depuis qu’elle l’avait trouvé.
Cette amoureuse des animaux avait pourtant pris soin de le mettre à l’abri dans un petit carton et de lui fournir de quoi manger, mais à son grand étonnement, le petit animal refusait de s’alimenter.
Et pour cause, il ne s’agissait pas d’un hérisson mais du pompon qui s’était probablement détaché du bonnet d’un passant plus tôt dans la journée.
Une situation qui peut faire rire jaune.
Certes, cette belle attention a beaucoup fait rire les internautes et les bénévoles du refuge qui ont confirmé que le petit pompon avait reçu tout l’amour possible et des soins adaptés.
Si on prend un peu de recul sur la situation et que l’on sort du prisme ou l’animal devient une priorité pour certains, au point de parfois le placer au dessus de l’être humain, le rire devient bien plus ironique.
Nous vivons dans un monde ou les gens ne prennent plus la peine de comprendre ce qui les entoure. S’il s’agit d’un animal, il faut vite agir et l’emmener pour le sauver! Et c’est ainsi que des faons se retrouvent emportés par des promeneurs qui l’emmènent chez un vétérinaire et détruisent ainsi leur vie sauvage, voire leur assurent une mort certaine ou que des « amoureuses des animaux » vont dans les refuges avec un pompon dans un carton…
L’émotion prend le pas sur la compréhension du monde animal et cette histoire est parfaitement représentative de notre société actuelle.
En ce qui concerne la chasse en France, il faudra se montrer patient car comme pour le chacal doré, le pompon de bonnet n’est pas classé comme gibier ni comme espèce protégée dans nos contrées. Il faudra donc le laisser partir si vous en croisez un en pleine saison!
Un chacal doré capturé par des piégeurs dans le sud de l’Aisne
Les piégeurs qui avaient posé une cage sur le territoire de la commune de Blanzy-lès-Fismes, dans le Sud de l’Aisne, ont eu une grande surprise en allant relever leur piège ce mercredi 27 mars. Alors que la silhouette d’un canidé se profilait au loin dans la cage, les piégeurs se sont aperçu en arrivant sur place que l’animal était probablement un chacal doré.
La première prise accidentelle d’un chacal doré dans le département?
Le chacal doré est un prédateur qui commence à gagner du terrain en France et plusieurs individus ont été observés ces dernières années. L’animal a surtout été repéré en Loire-Atlantique mais aussi dans le massif des Vosges, dans les Bouches-du-Rhône et en Bretagne.
Cette fois, c’est à la frontière entre l’Aisne et la Marne que le chacal doré a fait son apparition, pour la plus grande surprise des piégeurs qui l’ont capturés.
Dans une cage à renard qui a été posée à Blanzy-lès-Fismes, les piégeurs ont du y regarder à deux fois pour comprendre qu’ils avaient là un spécimen plutôt intéressant.
Les renards et les loups sont très reconnaissables et il ne s’agissait manifestement pas d’un chien errant mais bien d’un canidé sauvage.
Après avoir attentivement observé la bête, il s’avère que les piégeurs étaient face à un chacal doré.
Ils ont donc filmé la scène et pris quelques photos qu’ils ont ensuite fait suivre à la Fédération des chasseurs car il s’agit là d’une observation très intéressante en ce qui concerne le suivi de l’espèce en France.
Aussitôt découvert, aussitôt relâché.
Après avoir obtenu quelques prises de vues, les piégeurs n’ont pas procédé au prélèvement de l’animal comme si cela avait été nécessaire en cas de prise d’une espèce classée ESOD.
Contrairement aux bruits qui courent dans les groupes animalistes et anti-chasse, les piégeurs respectent scrupuleusement la réglementation en vigueur et agissent en fonction de la situation.
En France, le chacal doré est présent mais ne possède aucun statut qui le place comme gibier, comme espèce protégée ni comme espèce classée ESOD.
C’est donc ce que l’on appelle une « prise accidentelle » et tous les animaux qui ne sont pas visés lors des campagnes de piégeage sont relâchés.
Les piégeurs ont donc rendu sa liberté au chacal doré qui, après quelques secondes d’hésitation, a pris la fuite à toute vitesse et retrouvé sa liberté.
Opération « J’aime La Nature Propre » : les chiffres sont tombés
Durant le week-end du 15 au 17 mars dernier, l’opération « J’aime La Nature Propre » a eu lieu à l’initiative des chasseurs de France qui sont à l’origine du projet. Si auparavant, cette opération était menée au niveau départemental, elle a pris une ampleur bien plus grande cette année en étant coordonnée à l’échelle nationale. La Fédération Nationale des Chasseurs a récemment communiqué les résultats de cette action de terrain.
Près de 16 000 mètres cubes de déchets ramassés.
C’est incontestable, l’opération « J’aime La Nature Propre » de 2024 a été un grand succès. Cette année, pas moins de 16 000 mètres cubes de déchets en tous genres ont pu être ramassés par les 140 000 bénévoles qui ont participé au projet.
En 2023, ce sont 10 000 mètres cubes qui avaient été récupérés par les participants, ce qui démontre que la mobilisation et la communication autour de l’opération de cette année à porté ses fruits.
La FNC est forcément fière des chasseurs mais ce ne sont pas seuls qui méritent les félicitations du grand public car d’autres associations ont activement contribué à la réussite de cette édition comme la Mountain Bikers Foundation, les Fédérations de pêche ou encore la Fédération Française de Course d’Orientation.
L’organisation d’un tel évènement par les chasseurs, déjà sur le terrain toute l’année, démontre qu’ils restent les premiers écologistes de France, n’en déplaise à certaines personnalités politiques que l’on aura d’ailleurs pas vu lors de ce week-end d’action en faveur de la nature.
Ramasser des déchets mais aussi rassembler les usagers de la nature.
L’opération « J’aime La Nature Propre » est avant tout une action de terrain, concrète et dont l’impact sur la nature se voit immédiatement. Mais c’est aussi l’occasion de rassembler tous les usagers de la nature, qui se croisent souvent sur les chemins de campagne ou en forêt, mais qui n’ont jusqu’ici jamais mené à bien de projet en commun.
Pour Willy Schraen, l’enjeu est écologique mais il est aussi social car la réussite d’un tel projet rapproche dans la même équipe de bénévoles les chasseurs, les vététistes, les pêcheurs, les randonneurs et bien d’autres :
« Je suis fier que cette opération écocitoyenne, « J’aime la Nature Propre » (JLNP), prenne autant d’envergure depuis 2021. Cette édition 2024 est un grand succès. 92 FDC ont répondu présentes. Cela témoigne de notre engagement sans faille au service de la nature. 16 000 m3 de déchets ont été ramassés soit un stade de foot rempli à hauteur de 1,6 mètre. C’est exceptionnel ! Cet événement JLNP, porté par les chasseurs, montre que nous sommes des acteurs clés pour initier de telles opérations au service de l’environnement en mobilisant bien au-delà du seul monde de la chasse et en étant présents partout en métropole et Outre-mer. L’enjeu est aussi de favoriser le dialogue entre tous les amoureux de la nature qui, le temps d’un week-end, agissent ensemble pour la protéger. Merci à tous les bénévoles qui se sont retrouvés sur plus de 3 200 points de ramassage. Rendez-vous est pris pour l’année prochaine. »
[Vidéo] Quand ton chien de chasse n’est pas du tout un chien de pêche
En tant que chasseur, nous savons tous que nos chiens sont sur-excités à l’idée de nous accompagner pour de nouvelles aventures. Ils trépignent, chouinent, sautent partout et ne sont satisfaits que lorsqu’ils sont enfin en voiture, prêts à partir à la chasse.
Ils sont alors tout heureux de pouvoir arpenter la campagne et les sous bois en quête de gibier à débusquer.
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Par contre, emmener un chien de chasse à la pêche peut s’avérer plus compliqué.
C’est le cas dans cette vidéo ou un Braque n’a qu’une seule idée en tête, courir partout et sauter à l’eau, tandis que sa maîtresse, canne à pêche à la main, doit contenir ses élans.
@marieskwara Aie aie. Juste avant les lignes etaient en pagailles elle avais sauter 😂 Vas sur mon intagram pour voir le résultat !! #chasse #chasseresse79 #chasseresse #fypシ #BeautyTok ♬ son original – MarieSkwara
La laie et les marcassins de l’île de Groix ont finalement été abattus
L’affaire n’aura finalement pas traîné sur l’île de Groix ou l’arrivée d’une laie a défrayé la chronique. Comble de la surprise pour les habitants de l’île, la laie était sur le point de mettre bas et a donné naissance à 3 marcassins non loin des habitations. Ne pouvant pas laisser les sangliers proliférer sur l’île, la décision a été prise de les abattre.
Le feuilleton n’aura pas duré.
Voilà plusieurs jours que les habitants de l’île de Groix entendaient parler de la laie venue du continent qui était arrivée sur leur sol au gré de la marée et avait fait naître trois marcassins.
Tout le monde participait aux débats sur l’avenir des suidés, s’il fallait les laisser tranquilles, les abattre, les déplacer ou encore leur construire un enclos sur mesure.
Toutes les versions ont vu le jour dans les nombreuses conversations que les sangliers ont généré mais l’affaire n’a pris de l’ampleur dans les médias que depuis la fin de la semaine dernière.
Le temps n’est pourtant plus aux hypothèses car, comme l’indiquent les journalistes de France Bleu, la décision d’abattre les suidés a déjà été prise et mise en application.
La laie et ses marcassins ont donc été abattus dans la soirée de ce lundi 25 mars comme l’indique Olivier Pressoir, le Président des chasseurs locaux :
« les sangliers ont été tués à la demande de la fédération départementale des chasseurs et de la mairie de Groix ».
Le sujet n’est pas clos pour autant.
On pourrait penser que maintenant que la régulation a eu lieu, l’affaire finisse par être oubliée et que les sujets de conversations habituels vont revenir. Pourtant, des éléments laissent penser que la laie et ses marcassins de l’île de Groix vont encore faire parler d’eux pendant quelques temps.
La sur-médiatisation de cette histoire va surement attirer l’intérêt des associations animalistes qui y verront assurément une occasion de faire le buzz d’une manière ou d’une autre auprès de leur communauté.
De plus, le président indique avoir agit sur la demande d’un adjoint au maire après qu’un propriétaire ait retrouvé son terrain saccagé par les sangliers. S’il fallait prendre une décision rapide afin d’éviter qu’ils ne prolifèrent et ne causent plus de dégâts sur l’île, le sort réservé aux sangliers divisait grandement les insulaires comme les internautes qui ont pu réagir à cette histoire.
Nos aïeux n’auraient surement pas parlé plus d’une demi-journée de cette histoire mais de nos jours, une laie et ses marcassins sont un sujet brûlant pour les médias ainsi que pour les pratiquants verts du « y’a qu’à, faut qu’on »…
Les animalistes s’insurgent contre une opération de dépigeonnage dans le cimetière de Blois
Les pigeons sont des oiseaux dont la gestion est difficile pour les municipalités qui ne veulent pas froisser les associations de protection animales. Les dégâts sur les bâtiments ou sur les monuments sont tout de même importants et même dans les cimetières, certaines villes doivent procéder à des opérations de dépigeonnage. A Blois, cette mesure a fait réagir les animalistes qui ont réussi à faire suspendre les prélèvements menés dans le cimetière.
Des journées de régulation supervisées par le lieutenant de louveterie.
Si l’ASPAS dénonce une « chasse en pleine ville » il s’agit en réalité de journées de régulation organisées sous la responsabilité du lieutenant de louveterie. La présence de nombreux pigeons et de sansonnets dans le cimetière a poussé les autorités à prendre des mesures car des familles ont déposé plusieurs fois des plaintes en mairie.
Les oiseaux en surnombre souillent régulièrement les tombes des personnes enterrées dans le cimetière et malgré des campagnes d’effarouchement, les pigeons reviennent sans cesse.
Des chasseurs triés sur le volet par le louvetier se sont donc mobilisés pour réduire les populations de pigeons et débarrasser le cimetière de ses locataires indésirables.
Manifestement, le respect des morts n’a aucune valeur pour l’ASPAS qui s’est indignée ouvertement sur les réseaux sociaux d’une telle mesure.
L’association a interpellé la ville de Blois sur les réseaux sociaux en ces termes :
« Tuer les vivants pour mieux respecter les morts… Telle est la consternante politique de destruction menée par la ville de Blois ».
La ville a cédé mais ne comprend pas cette indignation.
Force est de constater qu’encore une fois, les élus préfèrent céder à l’indignation continue des animalistes et a préféré suspendre les prochaines journées de régulations programmées afin de ne pas s’attirer les foudres des militants.
Néanmoins, l’incompréhension demeure. Des opérations de régulation sont régulièrement menées dans les zones sensibles et même s’il s’agit d’un cimetière, des journées identiques ont été organisées les années précédentes sans que personne ne s’en inquiète.
La ville avait même tenté d’utiliser des effaroucheurs par le passé et avait fait appel à des fauconniers mais le succès de ces méthodes avait ses limites.
La commune a expliqué que près de 600 tombes avaient été souillées par les déjections des pigeons et qu’il était de son devoir de faire quelque chose.
Vu le comportement de l’ASPAS dans ce dossier, il n’est pas impossible que l’association essaie de porter l’affaire en justice, d’ici là les familles des personnes inhumées dans le cimetière de Blois devront s’armer de patience et comprendre que l’avis d’une minorité de militants passe avant le reste…
[Vidéo] L’attaque terrifiante d’un sanglier sur un homme dans la cour de sa maison
Le sanglier est bien souvent décrit comme un animal qui reste calme et ne représente aucun danger pour les êtres humains tant qu’on ne le dérange pas mais en réalité, il s’agit d’un animal sauvage dont il faut toujours se méfier.
En Asie, un homme a subi une attaque extrêmement violente d’un sanglier qui s’en est pris à lui dans la cour de sa maison.
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C’est une caméra de sécurité qui a pu filmer la scène dans laquelle on voit le sanglier charger l’homme visiblement plutôt âgé avant de lui envoyer de nombreux coups et de le mordre.
L’animal présent dans la vidéo n’est pas le Sus scrofa que nous connaissons dans nos contrées mais le Sus scrofa leucomystax, aussi appelé sanglier du Japon.
L’homme va essuyer les assauts du sanglier pendant plus d’une minute sans pouvoir réellement se défendre et la vidéo est d’une violence inouïe.
#China. Attack of a wild #boar. pic.twitter.com/AaVNlm3pEg
— Hombre Gris (@hombregris66) March 27, 2024
[Vidéo] Un superbe arrêt du chien pendant une chasse à la bécasse
La saison de chasse est terminée pour bon nombre d’entre nous mais ce n’est pas parce que la saison est terminée qu’on ne peut pas continuer à vibrer devant de superbes scènes de chasse.
De plus en plus de chasseurs se mettent à s’équiper de matériel leur permettant de filmer leurs aventures avant de les partager sur le web.
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Dans cette vidéo, on peut voir un chasseur accompagné de son chien pour une partie de chasse au petit gibier.
Quoi de plus fort que de voir son chien se figer à quelques mètres de nous et de sentir l’adrénaline monter avant le départ du gibier?
La digue d’un canal de l’Aube menace de s’effondrer à cause des trous de ragondins
La régulation de certaines espèces est nécessaire pour s’assurer de la bonne santé de notre biodiversité mais aussi pour garantir l’intégrité des infrastructures de notre pays. Bien que certains organismes affirment que nous devrions cohabiter avec tous les animaux, la réalité est bien différente. Dans l’Aube, la présence des ragondins met en péril la digue du canal de la Haute-Seine qui menace de s’effondrer.
Les ragondins ont créé un renard hydraulique.
Le ragondin est un animal capable de creuser de profondes galeries sur les berges des zones humides et dans les digues. C’est le cas sur le canal de Haute-Seine, au niveau de la commune de Chauchigny dans l’Aube.
Les ragondins ont creusé si profondément qu’un renard hydraulique s’est formé. Rien à voir avec maître goupil, il s’agit d’un phénomène d’érosion qui a vu le jour à cause des nombreux trous creusés dans la digue.
Déjà en mai dernier, une partie de la digue avait cédé au niveau d’une écluse, laissant la place à un trou de plusieurs mètres à la place de la voie verte qui passe le long du canal.
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A peine un an plus tard, le même phénomène s’est reproduit 200 mètres plus loin.
Des travaux importants vont être entrepris.
Pour s’assurer que la digue ne cède pas et que le canal puisse rester en bon état, le Conseil Départemental de l’Aube va entreprendre de lourds travaux. Jusqu’ici, le niveau du canal a été placé au plus bas, ce qui risque de causer du tort à de nombreuses espèces aquatiques, afin de réduire la pression de l’eau sur l’ouvrage.
Un barrage provisoire a également été mis en place sur la zone en attendant que le terrassement ne puisse être effectué pour réparer complètement la digue.
En attendant, la voie verte a été fermée sur plus d’un kilomètre et les cyclistes, grands amateurs de la balade au bord de l’eau devront emprunter des routes plus conventionnelles.
La reconstruction de la voie verte risque bien de durer au moins un mois, ce qui n’est pas du goût des promeneurs qui se plaignent déjà de la durée des travaux.
[Vidéo] Reportage sur les chasseurs de la Vienne autorisés à chasser au plus près des maisons
Voilà une décision de la préfecture de la Vienne qui fait beaucoup de bruit depuis la fin du mois de février. La situation est devenue très tendue dans le département en ce qui concerne les sangliers et la préfecture a donc décidé d’alléger les contraintes pour les chasseurs.
Plusieurs mesures ont été prises afin de permettre aux chasseurs de mieux réguler les espèces ESOD dont les suidés.
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Pour cela, l’interdiction de chasser à moins de 150 mètres des maisons a été levée et le moins que l’on puisse dire, c’est que nos détracteurs ont bien du mal avec cela. Les anti-chasse aimeraient au contraire que l’interdiction soit nationale et interdise de chasser à moins de 3 kilomètres de la moindre habitation, ce qui permettrait par la même occasion d’interdire tout simplement la chasse dans des territoires entiers.
D’autres dispositions ont été prises comme l’autorisation de la 22Lr pour la régulation des corvidés ou des rats musqués et des ragondins mais ce qui fait réagir le plus, c’est de voir les chasseurs revenir dans les zones péri-urbaines.
La régulation des espèces en surpopulation est pourtant une obligation et la préfecture de la Vienne l’a bien compris en offrant plus de latitude aux chasseurs du département.
Le sujet a même été traité par les journalistes de France 2 et a été diffusé au JT de 20h le 13 mars dernier.