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Attaque de loups sur un troupeau de brebis en Isère : six mortes, sept blessées

Dimanche dernier, le 1er août, Adrien Ravanat un éleveur de 29 ans à la tête d’un cheptel de 70 bêtes a fait part aux médias locaux de sa macabre découverte dans l’Isère, près du lac de Laffrey.

Lorsqu’il est arrivé près de la maison de ses parents, il y avait une brebis dehors. C’était inhabituel, « d’habitude elle ne se trouvent pas à cet endroit-là » déclare-t-il. Il est donc descendu voir ce qui n’allait pas est c’est là qu’il s’est aperçu qu’elles avaient été attaquées. Résultat : 3 brebis mortes sur le coup et dix autres gravement blessées dont certaines d’entre elles à l’agonie. Il explique : « On a dû en euthanasier trois de plus ». Lourdement blessées, les sept survivantes ne sont pas hors de danger « quatre autres ont la trachée ouverte, je ne suis vraiment pas sûr de les sauver ». Déprimé, l’éleveur craint encore d’autres pertes indirecte à l’attaque « Ces brebis étaient gestantes, or il faut savoir qu’après un tel stress, les animaux risquent d’avorter. Même celles qui ne sont pas blessées ».

Ce qui le met par-dessus tout en colère c’est que les prédateurs n’ont dévoré qu’une seule de leurs victimes sur les 13 attaquées. C’est une énorme perte pour l’éleveur qui s’indigne de la situation. Ils se sont contenter de tuer ou de blesser les autres brebis. « C’est trop de brebis touchées pour trop peu de consommées. On dirait que c’est un jeu pour eux d’attaquer autant de bêtes. C’est assez atroce de se dire que six sont mortes, mais qu’une seule a été dévorée. »

(voici la photo d’une des brebis de l’éleveur tuée le weekend dernier)

Le saviez-vous ?  Suppression des sangliers dans les BD Astérix : le journaliste a juste lancé un canular

L’éleveur possède deux chiens Patous mais cette nuit-là, il les avait mobilisés sur une autre parcelle de l’élevage situé plus proche de la forêt, il ne pensait pas que les loups attaqueraient les quelques brebis situées tout proche des habitations. « J’ai retrouvé une brebis tuée à cinq mètres de la maison du voisin. Les loups seraient passés dans sa cour, c’était pareil. » Les loups sautent les clôtures, son parc était pourtant électrifié mais rien de les arrête. Il avait déjà subi des attaques de loups par le passé, depuis 2015 cela lui arrive une a deux fois par an mais cette fois ci l’attaque fut bien plus meurtrière. C’est la goutte de trop pour le jeune éleveur.

Il conclue : « Le dialogue autour du loup est hyper sensible. De toutes façons, il est implanté. Il faut qu’on nous donne les moyens de nous défendre, et pas seulement attendre de se faire attaquer une, deux, trois fois. Aujourd’hui, tous les éleveurs sont en colère et on ne se sent pas forcément compris. On attend toujours que ce soit chaotique pour réagir. J’espère qu’on aura droit à un tir de prélèvement en cas de nouvelle attaque« .

(source image : https://www.francebleu.fr/infos/societe/ils-etaient-a-cinq-metres-des-maisons-le-loup-soupconne-d-une-attaque-de-brebis-pres-du-lac-de-1628089452?fbclid=IwAR12N6f9jj1NjxEff_DbfV6zj9Px2Y7qYDkwdOgfkoch8OSBf3HijBquy4Q )

winch

7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »

  1. il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
    Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.

  2. un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va

  3. Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités

  4. Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !

  5. Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature

  6. Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
    Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger

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17 septembre 2025 Aucun commentaire

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