Cela fait des semaines que les éleveurs réclament des moyens efficaces de protéger leurs troupeaux victimes des attaques du loup dans différents départements. En Haute-Savoie, le monde pastoral subit de plein fouet la prédation de ce grand canidé, les éleveurs en ont assez que l’administration reste muette et joue l’autruche sous la pression exercée par les organismes environnementaux.
Un certain nombre de faits exaspèrent aujourd’hui au plus haut point le monde rural et les chasseurs de Haute-Savoie :
- La préfecture qui ne joue pas le jeu pour permettre l’intervention des chasseurs et des lieutenants de louveterie quand c’est nécessaire.
- Des comptages qui seraient volontairement sous-estimés par l’Office Français de la Biodiversité.
- Des fonctionnaires impliqués dans le dossier qui affichent leur militantisme pro-loup et ne respectent pas toujours les règles établies pour coller à leur vision des choses.
- L’État et l’administration qui pratiquent la politique de l’autruche pour ne pas attirer les foudres des animalistes et préfèrent délaisser le monde agricole en souffrance.
- Le manque de moyens attribués aux éleveurs et aux chasseurs pour protéger les troupeaux.
Au delà des enjeux économiques, le loup est une source profonde d’usure psychologique pour les éleveurs, les bergers et leur entourage.
« L’État et ses alliés environnementalistes sont les fossoyeurs de la biodiversité et du cadre de vie des Haut-Savoyards créés par des générations de paysans. »
Comme le dit le communiqué de presse publié par pas moins de 8 entités responsables de filières agricoles et cynégétiques, il est nécessaire que l’État se positionne clairement sur le sujet, sans prendre en considération les pressions exercées par les organisations écologistes et militantes tout en veillant que les textes de lois et les quotas soient respectés sans entraves dans le département.
Sans avancées sur ces différents points, les acteurs du monde rural et les chasseurs ne se présenteront plus au Comité loup 74 jusqu’à nouvel ordre.
8 réflexions sur « Le foie gras rayé de la carte par la maire de Strasbourg au nom du bien-être animal »
Je préfère une bonne terrine ou un excellent pâté
elle ,ont devrait l’éradiquer au non du bien être humain.
Ce n’est que la mairie.
Ces verts ils se refuse tous les plaisirs de la vie, que leur existence doit être triste, il doivent se faire crier à mourir.
C’est vrai qu’en compensation, beaucoup fument le pétard, ils voient pendant quelques instant la vie en rose.
Mais après leur fumette, ils sont dangereux sur la route. Imaginez ils voient des éléphants roses traverser les voies de circulation, de même ils entendent hurler les loups au pied de la cathédrale et les ours grimper au sapin.
Pas à Bordeaux, le maire a supprimé les fêtes de Noël, il ne sait pas que Noël n’est pas une fête mais le jour de la naissance de Jésus. Bon pour EELV c’est une tradition d’un autre temps qu’il faut supprimer.
C’est pratiquement de l’abus de pouvoir , tout au moins cette décision sans consultation n’est pas très démocratique .
Enlever le foie gras du menu alors que c’est une de nos fierté c’est ne pas respecter les agriculteurs et les éleveurs
Les producteurs locaux (grande région du foie gras) devraient porter plainte pour diffamation.
La nous avons un maire qui impose son choix pas celui des français. Une honte à cette région d’avoir Eli un écologistes a leur mairie, maintenant on voit leur niveau d’intelligence.
Maintenant c’est pas a mais 3 maires pour le foie gras et un maire contre le sapin de Noël. Les gens son assez bêtes pour voter pour eux. Normal c’est des vieux qui accepte rien ou des ecolo des villes qui viennent dans nos campagnes. Voilà comment tuer des producteurs. Les écologiste sont pour la pertes de nos artisans commerçant.
Les maires écolos se croient tout permis. Et le libre choix il est où. Les pertes d argent pour les producteurs ils sent foutues tout ce qui les intéresse c est virer la viandes de tous les plats pour nous obliger à bouffer du foin.