Attention, cette archive pourrait bien donner la nausée aux végans, végétariens et autres militants naturalistes puisqu’elle date des années ou l’on pouvait faire le lien entre un animal et la viande que l’on cuisinait.
Difficile de vivre dans un monde ou les émissions culinaires considèrent toujours le gibier ou la viande issue d’élevages en plein air comme le Graal de la grande cuisine Française mais que dans le même temps, il faut cacher à tout prix la mort des animaux.
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A l’époque de Maïté, on savait ce que c’était que de tuer un lapin, une poule ou un canard juste avant de le cuisiner et on ne cachait pas la mort d’un animal entre les murs lointains d’un abattoir pour recevoir les morceaux prêts à être cuisinés sous vide.
Alors pour ceux qui, comme certains le font encore à la campagne, élèvent des canards en vue de les consommer, voici la recette des magrets de canard et de la sanguette de Maïté.
![[Vidéo] Quand tu pensais avoir un chien de chasse mais qu’en fait c’est un lave-vaisselle](https://www.chassepassion.net/wp-content/uploads/2025/07/braque-allemand-dans-l-evier.jpg)
2 réflexions sur « [Vidéo] Quand Maïté sortait un canard de son panier avant de le cuisiner »
Bonjour. Quel choc cette vidéo va représenter aux spécistes, végans et autres visant et mitraillant à tout va les chasseurs! Quelle découverte…Pauvres d’eux ils ne pourront plus dire comme d’autres: « Pour manger de la viande, point n’est la peine de tuer un animal; il suffit d’aller à la boucherie »! Le canard que je ramène à la maison, une fois plumé, vidé, nettoyé, cuisiné et mangé…il ne reste que les os…Parties préférées: cou et croupion…Les connaisseurs à la lecture de ce petit commentaire auront l’eau à la bouche. Avec un bon petit verre de Bordeau: un festin de roi! Car la chasse cela se termine par l’assiette!!!
Ceux qui ne sont pas capable d’abattre un animal pour le manger ne devrait pas avoir le droit de manger cette espèce ! Ca éviterait l’hypocrisie sur le bien être animal et la diabolisation des chasseurs. Un animal se respecte et ce n’est pas à autrui de se charger de l’abattage par lâcheté.