Les populations de sangliers dans la Meuse ne cessent d’augmenter malgré les prélèvements toujours plus nombreux. Pour réduire l’impact des suidés sur les différentes activités touchées par les dégâts comme l’agriculture et la sylviculture notamment, la préfecture réclame plus de chasse.
Plus de chasse et plus de sangliers.
Voilà un constat qui devrait faire tourner la tête à plus d’un anti-chasse. Alors que les prélèvements dans le département de la Meuse sont toujours plus nombreux, les populations de sangliers continuent de croître, ce qui force l’administration à réclamer encore plus de chasse.
Ce mercredi 29 novembre, la préfecture de la Meuse et la Fédération départementale des chasseurs se sont rencontrés pour étudier encore une fois le dossier et ont décidé de prendre en commun un plan d’action pour continuer de réduire les populations de sangliers.
Les dégâts sur les cultures ont déjà été amoindries grâce aux battues menées très régulièrement par les chasseurs du département. Cette année, plusieurs types de cultures ont été récoltées en retard à cause des conditions météorologiques, ce qui a eu pour effet d’augmenter mécaniquement les dégâts constatés.
Pour autant, si on met les choses en perspective, il semble que l’action des chasseurs s’est fait ressentir au niveau des dégâts et c’est dans ce sens que la préfecture souhaite augmenter encore la pression cynégétique dans la région.
Des battues mais pas seulement.
Pour pousser les chasseurs à effectuer plus de prélèvements, d’autres modes de chasse sont plébiscités pour venir s’ajouter aux battues au grand gibier déjà effectuées.
Il est par exemple question d’augmenter le nombre de sangliers prélevés à l’affût.
Quoi qu’il en soit, les choses sont claires du côté de la préfecture, il faut encore plus de chasse.
D’un autre côté, il est également question de prendre des mesures auprès des propriétaires ou adjudicataires qui ne joueraient pas le jeu, en imposant des battues administratives ou l’intervention de lieutenants de louveterie en protection des cultures et sur des zones ou les quotas n’ont pas été atteints.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .