Voilà une décision de la préfecture de la Vienne qui fait beaucoup de bruit depuis la fin du mois de février. La situation est devenue très tendue dans le département en ce qui concerne les sangliers et la préfecture a donc décidé d’alléger les contraintes pour les chasseurs.
Plusieurs mesures ont été prises afin de permettre aux chasseurs de mieux réguler les espèces ESOD dont les suidés.
A lire aussi : Dans la Vienne, les chasseurs pourront chasser à moins de 150m des habitations et pas seulement
Pour cela, l’interdiction de chasser à moins de 150 mètres des maisons a été levée et le moins que l’on puisse dire, c’est que nos détracteurs ont bien du mal avec cela. Les anti-chasse aimeraient au contraire que l’interdiction soit nationale et interdise de chasser à moins de 3 kilomètres de la moindre habitation, ce qui permettrait par la même occasion d’interdire tout simplement la chasse dans des territoires entiers.
D’autres dispositions ont été prises comme l’autorisation de la 22Lr pour la régulation des corvidés ou des rats musqués et des ragondins mais ce qui fait réagir le plus, c’est de voir les chasseurs revenir dans les zones péri-urbaines.
La régulation des espèces en surpopulation est pourtant une obligation et la préfecture de la Vienne l’a bien compris en offrant plus de latitude aux chasseurs du département.
Le sujet a même été traité par les journalistes de France 2 et a été diffusé au JT de 20h le 13 mars dernier.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .