La brucellose continue de se propager parmi les bouquetins du massif des Aravis, comme l’a récemment confirmé l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses). Cette maladie, déjà bien installée dans le massif voisin du Bargy depuis 2012, suscite des inquiétudes accrues depuis qu’un premier bouquetin infecté a été détecté dans les Aravis en juillet 2022.
Conscients des risques pour les élevages, les ministères de l’Agriculture et de la Transition écologique ont missionné l’Anses en juillet 2024 afin d’identifier des mesures de prévention pour protéger les troupeaux domestiques avant la saison d’estive 2025. Pour répondre à cette demande, l’agence souligne la nécessité de recenser précisément la présence des élevages aux abords des massifs touchés. Cette cartographie permettrait d’évaluer l’exposition des troupeaux aux zones à risque et d’adapter les stratégies de biosécurité en conséquence.
L’Anses insiste également sur l’importance de croiser ces données avec la distribution des bouquetins infectés afin de mieux cerner les possibilités de transmission entre animaux sauvages et domestiques. Une analyse approfondie est en cours pour proposer des recommandations concrètes aux éleveurs concernés.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .