Difficile de contenter des personnes qui ne s’investissent pas pour régler des problèmes mais qui râlent malgré tout quand cela leur arrive. Dans une commune Isèroise, des habitants se plaignent d’une recrudescence des sangliers qui causent des dégâts dans les pelouses et dans les terrains. Pourtant, ils ne veulent pas non plus de la présence des chasseurs sur les zones concernées. La Fédération départementale des chasseurs a donc organisé une soirée débat afin de répondre aux questions et aux problématiques des riverains qui n’ont pas joué le jeu, étant aux abonnés absents.
Des dégâts mais pas d’efforts.
A Saint-Martin-le-Vinoux, une commune située en Isère, au nord de Grenoble, des habitants se plaignent des dégâts causés par les sangliers.
Ces derniers prolifèrent dans certains secteurs et n’hésitent plus à approcher des zones urbaines pour tenter de se mettre quelque chose sous la dent, retournant au passage les poubelles et les pelouses des habitants.
Pourtant, les causes probables de cette prolifération sont facilement identifiables. D’une part, la zone périurbaine de Saint-Martin-le-Vinoux est concernée par le débroussaillage des parcelles autour des habitations afin d’éviter les risques d’incendies mais aussi pour éviter que les friches ne soient pas trop accueillantes pour les suidés.
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Cette pratique est pourtant peu suivie, ce qui offre donc des zones de quiétude pour le grand gibier.
De même, quand des actions menées par les lieutenants de louveterie ont été proposées, elles ont été refusées par les habitants qui ne veulent pas de chasseurs à proximité de leurs maisons.
Une réunion d’information qui n’a pas eu l’occasion de faire avancer les choses.
Les chasseurs de l’Isère se sont donc mobilisés par l’intermédiaire de la FDC qui a organisé une soirée débat durant laquelle le sujet allait être abordé.
Pour ce faire, le Directeur de la FDC, un agent de l’ONF et trois lieutenant de louveterie avaient organisé un moment d’échange à destination des habitants de la commune avec une présentation qui devait aboutir à une séance de questions/réponses avec les riverains concernés.
Malgré toute la bonne volonté de la Fédération et des intervenants, la soirée n’a pas eu l’effet escomptés car si elle devait attirer la majorité des plaignants, seulement une trentaine de personnes sont venues y participer.
La Fédération a indiqué sur ses réseaux qu’il était dommage que les riverains n’aient pas répondu présents mais ne leur jette pas la pierre, supposant que l’information n’avait peut-être pas été diffusée suffisamment au niveau local.
18 réflexions sur « Dans cette commune d’Isère, on ne veut pas de dégâts de sangliers mais pas de chasseurs non plus »
Si pas de chasseurs pas de régulation
Et ne demandez pas qu’on paye les dégâts de sangliers après
Mais ISERE et notamment Grenoble est une ville gaucho écolo avec un maire écolo anti tout et bon à rien
DEHORS ET MOBILISONS NOUS CONTRE CES PERSONNES qui savent faire parler d’eux qu’avec des interdits
On peut pas avoir le beurre et l’argent du beurre. Tu as des sangliers et tu veux pas de chasseur pour réguler leur population, ben démerde toi
Ceux qui ne veulent pas de chasseurs doivent gérer par leurs propres moyens la surpopulation de sangliers au lieu de venir pleurer. C’est pourtant simple : tu veux pas de chasseurs, alors démerde toi ! Et n’oublie pas de payer la note des dégâts de sangliers au lieu de la refiler aux chasseurs.
Le beurre et l’argent du beure ! Bandes d’incompétents.
A tous »Ceusses » qui parle de piégeage ,prenez deux secondes, tapez »ESOD Isère » dans votre navigateur et vous verrez que le sanglier n’est pas dans la liste !!!
c est aux mairies d appliquer sous formes d amandes pour le débroussaillages qui sert d anti feux et aux propriétaires de payés les dégâts .Les récalcitrants n ont qu’ a demander aux écolo
Il à une obligation de regule les nuisibles sinon les Propriétaires sont responsable des degats
Tout est dit
Piéger les sangliers (puis les tuer) avec un peu de maïs fonctionne très bien.
Mais ni les chasseurs, ni les Préfectures acceptent cette méthode.
Pourquoi?
Elle éviterait une ambiance ukrainienne le Dimanche dans nos bois.
Pinet avant de dire des bêtises on se renseigne,dans les landes ou je chasse le piégeage est autorisé et pratiqué.quant a l ambiance ukrainienne,les battues représentent que quelques jours par an et le danger mille fois moins important que lorsque vous montez dans votre voiture.
Ambiance ukrainienne, vous voulez rire ? Vous êtes un petit rigolo qui n’a pas fait son service militaire et qui ignore totalement une ambiance de guerre.
La chasse n’est pas la guerre, mais certes les ignorants sous « brainwasher » ne cherchent pas à comprendre et jouent bien le rôle de perroquet pour les associations mortifères sous les ordres de EELV et LFIndigne.
Quant à parler de « NOS BOIS », il faut bien comprendre qu’il existe deux catégorie de propriétaires : Les bois étatiques (communaux, forêts domaniales) et les bois ou forêts privés.
Dans la première catégorie, les droits y sont clairement énoncés et indiqués par panneautage, chacun y découvre ses possibilités de jouissance.
Les chasseurs y louent, souvent très cher le droit de chasse, sous forme de baux à durée de 3 ans.
Quant aux bois et forêts privés, l’accès y est formellement interdit à toute personne (sauf autorisation expresse du propriétaire) sous peine d’amande dissuasive.
Enfin, donnez nous les résultats de piégeage, qui s’occupera éventuellement du piégeage, qui paiera le ou les pièges, qui éliminera les éventuels « prisonniers » ?
Vous ne pouvez pas interdire aux chasseurs dont c’est la mission de réguler les sangliers et en même temps leurs faire payer les dégâts, acheter les pièges (très couteux), s’occuper de l’élimination des carcasses, . . .
C’est aux personnes qui ne veulent pas accepter la présence de chasseurs sur le domaine publique de régler l’ensemble des factures résultant de leurs actions.
Je vous rappelle que l’accès aux bois, forêts et fonciers agricole privés est formellement interdit à toute personne. Vous ne pourrez parler de VOS bois que quand vous en serez propriétaire (achat du foncier, entretien, paiement des impôts, . . .). Est-ce que les chasseurs revendiquent l’accès à vos biens privés ? NON. Alors sachez rester à votre place.
Plusieurs raisons à cela :
1) ce serait encore des piégeurs ou des gardes chasse particuliers ou des lieutenants de louveterie qui feraient le sale boulot et qui se ferait mal voir.
2) le coût: financier et en temps assuré par des bénévoles ainsi que l’investissement que cela nécessite pour qu’à la sortie on passe encore pour de méchants assassins.
3) Les carcasses on en fait quoi? On va aussi payer l’équarrissage ? Les donner à des associations? Ce serait une solution mais qui va payer les analyses?
4) Flinguer des rayés pris au piège et bien ça fait mal au coeur.
5) Nous, chasseurs ne sommes pas responsable de la politique de la ville.
En fait, je ne comprend même pas en quoi la situation de ce village concerne les chasseurs et pourquoi nous devrions nous impliquer dans leurs choix politiques.
Ils ne veulent pas d’actions, qu’ils se débrouillent. La fédé et les lieutenants de louveteries n’auraient même pas dût perdre leur temps en organisant cette soirée.
Aide toi le ciel t’aidera. Si les habitants ne sont pas capable de s’organiser qu’ils se débrouillent.
Vos bois ? 🤔
Si vous êtes propriétaire, la nature n’est pas tout le monde.
Soit on est le propriétaire, soit ( comme souvent dans le cas de la chasse ) on est le locataire.
Les chasseurs ne devraient se déplacer que sur lettre de motivation des mairies et habitants. Le reste c’est débrouillez vous, lâchez des loups, des ours et du Raptor.
Surtout ne pas s’en occuper et les laisser se débrouiller avec les écolos.
pas de chasseurs qu il se débrouille avec les sangliers et qu il paye les Degas
mais quand les laissent se de—–er avec les sangliers , les chasseurs n’ont pas a gaspiller des munitions pour ça .
Il faut les laisser pleurer.
Quand ils comprendront qu’il faut chasser, il viendront chercher les chasseurs
C est pourtant simple , cette commune doit se débrouiller avec ses sangliers.
« information pas suffisante au niveau local » donc la municipalité ne s’est pas investie? Comme elle ne s’implique pas dans le débroussaillage ce qui est de sa responsabilité. Si c’est le cas, une seule information écrite sur la position des chasseurs est à distribuer dans les boîtes à lettres et puis il suffit d’attendre sans ne plus rien faire.