Cette semaine, Pierre Rigaux a de nouveau harrassé les chasseurs du Rallye de Fontainebleau afin d’obtenir des images à charge contre les veneurs. L’un des veneurs s’est emporté de cette situation, permettant à l’anti-chasse de monter l’affaire en épingle et de continuer son battage médiatique.
Une nouvelle journée de galère pour la vènerie.
Ce mardi 21 octobre, les chasseurs à courre en forêt de Fontainebleau ont encore une fois été la cible du harcèlement de Pierre Rigaux.
Le militant anti-chasse et ses sbires continuent de poursuivre les veneurs en pleine chasse malgré les interdictions et encore une fois, ils sont venus avec pour ambition de créer des mouvements de foules, des réactions à leur harcèlement et cherchent l’affrontement.
La stratégie employée par les anti-chasse est toujours la même. Marquer de près les chasseurs, les interpeller et même s’opposer aux actions de chasse sont autant de comportement adoptés afin de faire en sorte que les participants soient poussés à bout.
Comme toujours, des caméras sont embarquées en vue de récolter un maximum d’images qui seront par la suite savamment montées pour créer une histoire et afficher « le courage des anti-chasse face aux veneurs ».
Pierre Rigaux a eu ce qu’il voulait.
Comme il a pu le faire avec les chasseurs de gibier d’eau, Pierre Rigaux a cette fois poussé à bout les veneurs dont l’un d’entre eux a montré son agacement.
Rapidement, la mise en scène a pris le dessus et comme auparavant en Baie de Somme, Pierre Rigaux s’est rendu aux urgences, sous prétexte d’avoir été violenté par les chasseurs.
La Société de Vènerie a communiqué sur le sujet :
« Que s’est-il passé ce mardi 21 octobre en forêt de Fontainebleau ? Si l’on en croit la vidéo complaisamment postée par Rigaux lui-même, on voit un veneur exaspéré le menacer verbalement. En dehors d’un contact furtif entre le cheval du veneur et Rigaux qui s’est placé sur son parcours, aucun coup n’a été échangé. A la fin de la vidéo, Rigaux, jamais avare de se mettre en scène, est aux urgences à la suite du prétendu « coup de boule » qui lui aurait été asséné, dont on ne voit pourtant aucune trace sur son visage filmé de près. Nous souhaitons à Pierre Rigaux un prompt rétablissement, aucune information n’étant venue, à l’heure où nous écrivons ces lignes, donner des inquiétudes sur sa santé.«
Bien évidemment, elle déplore la réaction du veneur ce jour là puisqu’il a finalement offert sur un plateau ce que Pierre Rigaux est venu chercher, à savoir des images à mettre en scène.
Malgré tout, elle rappelle que chaque année, près de 15000 journées de chasse à courre sont organisées par les 350 équipages de France sans jamais aucun problème.