Il a été ouvert, mardi 21 septembre, par le discours de bienvenue du président du Congrès, le professeur Sandor Csányi, à Budapest, en Hongrie.
Des ateliers ont été organisés, chargés de présenter les recherches liées à la gestion de la faune, à la conservation, à l’agriculture, à la foresterie, à la chasse et au piégeage, à l’urbanisation, au développement écosystémique et économique, et à la coexistence homme-faune. Leur objectif est de sensibiliser aux enjeux de la gestion de la faune, et d’identifier les défis et opportunités qui se présentent actuellement.
A la suite de cette entrée en matière, George Aman, président du Conseil international pour la conservation du gibier et de la faune a exprimé le soutien du CIC à l’IUGB et a fait une offre officielle : « Je fais ici une offre à l’IUGB. Le CIC est prêt à héberger le secrétariat de l’IUGB à l’avenir… Nous soulignons aussi que l’IUGB doit garder toute son indépendance, et pour ce faire, le collègue du CIC, éventuellement chargé de gérer le secrétariat de l’IUGB, serait supervisé et guidé par les présidents et le secrétaire général l’IUGB… ».
Puis, les conférenciers ont passionné l’auditoire : le professeur Rory Putman (professeur et chaire émérite de biologie comportementale et environnementale à l’Université métropolitaine de Manchester) qui a décrit les défis critiques auxquels est confrontée la gestion actuelle et future des populations d’ongulés.
Le professeur Carol Chambers (professeur d’écologie de la faune, PhD en sciences de la faune avec une mineure en sciences forestières à l’Oregon State University) a ensuite parlé de l’importance de la diversité sociale dans le domaine de la conservation de la faune. Dilys Roe (présidente du Groupe de spécialistes de l’utilisation durable et des moyens de subsistance de l’UICN (SULi), chercheuse principale et chef d’équipe à l’Institut international pour l’environnement et le développement (IIED)), dont le discours a porté sur la refonte de l’utilisation de la faune dans un monde post-Covid-19.
Enfin, Péter Pál Hajas, a clôturé la session avec son exposé « Comprendre les dimensions humaines et sociales de la conservation et de la gestion des perdrix en Europe centrale et orientale ».
Photo : MTI/Soós Lajos
8 réflexions sur « Le foie gras rayé de la carte par la maire de Strasbourg au nom du bien-être animal »
Je préfère une bonne terrine ou un excellent pâté
elle ,ont devrait l’éradiquer au non du bien être humain.
Ce n’est que la mairie.
Ces verts ils se refuse tous les plaisirs de la vie, que leur existence doit être triste, il doivent se faire crier à mourir.
C’est vrai qu’en compensation, beaucoup fument le pétard, ils voient pendant quelques instant la vie en rose.
Mais après leur fumette, ils sont dangereux sur la route. Imaginez ils voient des éléphants roses traverser les voies de circulation, de même ils entendent hurler les loups au pied de la cathédrale et les ours grimper au sapin.
Pas à Bordeaux, le maire a supprimé les fêtes de Noël, il ne sait pas que Noël n’est pas une fête mais le jour de la naissance de Jésus. Bon pour EELV c’est une tradition d’un autre temps qu’il faut supprimer.
C’est pratiquement de l’abus de pouvoir , tout au moins cette décision sans consultation n’est pas très démocratique .
Enlever le foie gras du menu alors que c’est une de nos fierté c’est ne pas respecter les agriculteurs et les éleveurs
Les producteurs locaux (grande région du foie gras) devraient porter plainte pour diffamation.
La nous avons un maire qui impose son choix pas celui des français. Une honte à cette région d’avoir Eli un écologistes a leur mairie, maintenant on voit leur niveau d’intelligence.
Maintenant c’est pas a mais 3 maires pour le foie gras et un maire contre le sapin de Noël. Les gens son assez bêtes pour voter pour eux. Normal c’est des vieux qui accepte rien ou des ecolo des villes qui viennent dans nos campagnes. Voilà comment tuer des producteurs. Les écologiste sont pour la pertes de nos artisans commerçant.
Les maires écolos se croient tout permis. Et le libre choix il est où. Les pertes d argent pour les producteurs ils sent foutues tout ce qui les intéresse c est virer la viandes de tous les plats pour nous obliger à bouffer du foin.