Dans le département de l’Aude, sur la commune de Taurize, les chasseurs se sont regroupés le premier week-end du mois de mars pour aller arpenter une parcelle de vignes. Cette fois, ce n’est pas accompagnés de leurs armes de chasse qu’ils y sont allés mais équipés de ciseaux de taille et de l’équipement nécessaire à l’entretien de la vigne.
Ce travail est fourni par les chasseurs dans le but de remercier le propriétaire pour avoir offert le droit de chasse à l’association intercommunale. C’est un partenariat « gagnant-gagnant » puisque la parcelle est entretenue de près par des gens qui sont sur le terrain une grande partie de l’année.
Ce mode de fonctionnement est de plus en plus utilisé à travers la France entière puisque les chasseurs peuvent bénéficier d’un terrain de chasse sans forcément payer un loyer en monnaie sonnante et trébuchante mais entretiennent la zone et jouent un rôle de sentinelle sur le territoire. Les propriétaires s’y retrouvent car en échange du droit de chasse, ils s’assurent que leurs terres sont surveillées et soignées.
Une preuve supplémentaire, s’il en fallait encore une, que la présence des chasseurs sur le territoire reste très appréciée dans beaucoup de communes.
A Taurize, c’est aussi l’occasion pour les membres de l’association intercommunale de se retrouver en dehors de la chasse et de passer une journée à travailler, certes, mais dans la convivialité, tout en respectant les gestes barrières.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .