Ce dimanche 05 octobre, les habitants de Seine-et-Marne auraient pu connaître une véritable catastrophe. Un feu de forêt a été évité de justesse et sans l’intervention de deux gardes chasse, la forêt de Jumièges et les habitations en périphérie auraient été en grand danger. L’origine du feu provenait d’un mirador qui a été manifestement brûlé par un ou plusieurs anti-chasse.
Une action anti-chasse à l’origine du feu.
Le mirador est devenu une nouvelle cible de choix pour les anti-chasse. Aucun risque pour eux et ennui maximum pour les chasseurs qui perdent de l’argent et doivent réinstaller ces équipements de sécurité par la suite.
Si d’habitude les habituels animalistes et anti-spécistes se contente de scier les miradors en bois ou de les coucher, cette fois c’est un véritable drame qui a été évité.
A Jumièges, deux gardes font leur tour habituel comme le rapporte Le Courrier Cauchois lorsqu’ils remarquent que quelque chose dégage de la fumée. En s’approchant, ils comprennent vite que c’est un des miradors de chasse qui a été incendié et qu’il faut agir très vite.
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Le secteur est jonché de fougères sèches et entourée de pins, un cocktail détonnant pour un départ de feu de forêt massif qui aurait pu emporter des hectares dans les flammes.
Fort heureusement, les deux gardes ont pu faire le nécessaire et le départ de feu a été rapidement maîtrisé.
Une plainte déposée par la société de chasse.
Comme souvent, les sociétés de chasse déposent des plaintes et des mains courantes à chaque fois que les miradors sont pris pour cible par les anti-chasse même si pour le moment, aucune affaire ne semble avoir été en justice pour ce motif et que les responsables sont rarement recherchés.
Pourtant, cette fois, les choses auraient pu très mal tourner et la société de chasse de Jumièges a donc elle aussi porté plainte.
En mettant le feu à un mirador, c’est toute la forêt environnante qui aurait pu partir en fumée.
Comment la haine du chasseur peut pousser ces anti-spécistes à agir d’une manière qui aurait pu coûter cher à la biodiversité locale, sans parler des risques pour les riverains?
Si les autorités ne prennent pas la menace anti-spéciste plus au sérieux, il est évident qu’un jour les choses vont très mal se terminer…