« Aucun chasseur n’a malheureusement été maltraité durant le tournage » regrette Guillaume Meurice

Il y a quelques heures, « l’humoriste » Guillaume Meurice a fait la promotion d’une vidéo tournée avec les militants d’une association animaliste ayant pour but de supprimer la liste des espèces ESOD et plus particulièrement le retrait immédiat du renard de cette liste. La vidéo met donc en scène l’humoriste avec des photographes animaliers en quête d’un renard à observer. Dans son message de promotion, l’homme regrette tout simplement qu’aucun chasseur n’ait été « maltraité ».

Une remarque qui donne le ton de la vidéo de propagande.

« Aucun chasseur n’a malheureusement été maltraité durant le tournage » affirme Guillaume Meurice dans un post sur ses réseaux sociaux dans lequel il fait la promotion d’une vidéo de propagande animaliste.

Contacté par l’association « Focale pour le Sauvage » qui a décidé de faire une vidéo centré sur le renard avec des images d’affût du petit prédateur, l’humoriste déjà connu pour ses propos anti-chasse a décidé de s’engager.

Chacun est libre de ses opinions mais il y a tout de même des limites à ne pas franchir.

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Il est tout à fait compréhensible qu’un militant écologiste radical puisse ne pas adhérer à la pratique de la chasse mais de la à regretter qu’aucun chasseur n’ait été maltraité, il y a tout de même un monde.

Des poursuites judiciaires prévues?

La déclaration est toute récente et n’a que quelques heures mais choque déjà dans le milieu cynégétique.

Les chasseurs sont nombreux à s’offusquer de cette remarque qui finalement, indique qu’il serait normal qu’un ou plusieurs d’entre eux aient été maltraités.

Comme s’il était tout à fait compréhensible et presque légal de s’en prendre aux chasseurs physiquement quand cela concerne des dossiers comme celui des ESOD.

Il y a fort à parier que les réactions à ces propos vont rapidement remonter jusqu’aux oreilles des Fédérations départementales et de la Fédération Nationale qui pourraient engager des poursuites judiciaires comme ce fut le cas par le passé dans des situations similaires.

*Image d’archives