Dans de nombreux départements, les associations anti-chasse se sont montrées très agressives envers la vénerie sous terre, notamment contre le déterrage du blaireau et ont attaqué en justice de nombreux arrêtés préfectoraux.
Plusieurs de ces associations ont décidé de passer à l’étape supérieure et attaquent directement l’État Français en déposant une plainte auprès du Comité de Berne. Ce comité est responsable de l’application de la Convention de Berne qui concerne la conservation de la vie sauvage et des milieux naturels d’Europe.
Pour ces associations, dont font partie l’ASPAS, Aves France, FNE ou encore One Voice, la France ne respecterait pas cette convention et enfreindrait plusieurs articles qu’elle a pourtant ratifié.
Si la justice Française à tendance à casser les arrêtés sur la base du fait que le suivi de l’espèce manque de données scientifiques précises dans les départements concernés, les motifs invoqués devant le Comité de Berne sont bien plus fragiles.
Les associations animalistes soutiennent que le déterrage des blaireaux lors de la période de chasse complémentaire accordée par les autorités se fait à l’aveugle, comme si les équipages ne savaient pas ce qu’ils vont trouver dans un terrier en se rendant sur place. Pour eux, cette chasse n’est pas sélective et détruit les terriers qui profitent en réalité à d’autres espèces…
Ils feignent également de ne pas savoir pourquoi cette chasse est encore autorisée alors que dans la majorité des cas, les blaireaux sont prélevés pour des raisons :
- sanitaires puisqu’ils sont vecteurs de la tuberculose bovine,
- économiques lorsqu’ils installent leurs terriers sous des voies ferrées ou mettent en péril des infrastructures humaines.
En cas de réponse positive du Comité de Berne en ce qui concerne la demande des animalistes, les contraintes ne seraient pas immédiates d’un point de vue juridique mais permettraient aux associations de maintenir une pression forte pour faire interdire la vènerie sous terre du blaireau à moyen terme.
Cette nouvelle victoire serait alors un pas de plus vers la disparition de toutes les activités cynégétiques Françaises qui se font peu à peu grignoter par les militants écologistes et animalistes les plus radicaux.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .