Ce n’est un secret pour personne dans le monde cynégétique, les chasseurs entretiennent de nombreux espaces naturels ce qui profite à l’intégralité des usagers de la nature. Dans l’ACCA de Favières en Meurthe-et-Moselle, les chasseurs font le nécessaire pour que les chemins restent praticables sur les 800 hectares que gère l’association.
C’est près de 47km de chemins forestiers qui sont entretenus par les chasseurs. A ce travail s’ajoute évidemment les travaux réguliers sur le rendez-vous de chasse et les postes ainsi que tous les autres travaux d’aménagement du territoire de chasse.
L’entretien de toute la surface et notamment des chemins forestier assure de passer une saison en toute sécurité pendant les battues mais pas seulement comme l’explique le président de l’ACCA Claude Demogeot : « c’est aussi permettre aux promeneurs, vététistes, exploitants, de se déplacer dans de bonnes conditions ».
Même si la camaraderie et la convivialité présente au sein de l’ACCA aide à ce que tous les membres mettent la main à la patte, ce qui inquiète le président est plutôt d’ordre financier car les dégâts causés par le grand gibier génèrent des taxes qui rendent la chasse de plus en plus couteuse.
Bien que des actions soient menées par la Fédération pour augmenter le nombre de chasseurs dans le département comme la gratuité du premier permis de chasse, c’est une passion qui demande beaucoup d’investissement en temps mais l’augmentation de la taxe à l’hectare, ajoutée à toutes les autres dépenses, pourrait commencer à en décourager quelques-uns.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .