Une conférence sur « Le poids économique de la chasse en Europe » s’est tenue à Bruxelles en septembre dernier, de nombreux officiels et parlementaires y ont assisté ainsi que des représentants du monde associatif et de l’industrie cynégétique.
Lors de cette conférence, l’organisme FACE, (Fédération Européenne des Association de Chasse et de Conservation) qui a pour mission de représenter les chasseurs au niveau de l’Europe, a dévoilé un chiffre clé : 16 milliards. C’est la contribution des quelque 7 millions de chasseurs européens à l’économie de l’Union. Parmi les intervenants, Karl-Heinz Florenz, le Président de l’intergroupe parlementaire sur la biodiversité, chasse et ruralité, a affirmé son souhait de faire reconnaître le rôle de la chasse et des chasseurs ainsi que leurs contributions à l’économie. Renata Briano, Vice-Président du groupe Chasse, a également ajouté : « l’impact de la chasse sur l’économie nationale ainsi que sur l’économie européenne est décisif et doit être pris en considération et surtout intégré dans les politiques nationales et européennes relatives à la biodiversité et au développement rural ».
Le Président de la FACE, Michl Ebner, a conclu cette conférence : « Le monde cynégétique est très complexe et ne peut être mesuré qu’en terme monétaire. La chasse doit être considérée comme un écosystème à part entière qui produit des bénéfices intangibles pour l’économie, mais elle permet également le maintien de nombreux emplois ruraux, contribue à la qualité de vie à la campagne et permet la transmission d’une identité culturelle et de traditions. »
Les récentes études menées par la Fédération Nationale des Chasseurs permettent de mettre en évidence non seulement le poids économique de la chasse en France, mais également les contributions, difficilement monétisables, des chasseurs sur les territoires et la biodiversité. D’autres états membres de l’UE ont également lancé ces études comme l’Italie, l’Autriche ou encore la Grèce. Ces précieuses données permettront aux parlementaires de disposer de solides arguments lors de prochaines négociations.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .