Ce 13 juillet, la Cour des comptes à rendu public son rapport sur « Les soutiens publics aux Fédérations des chasseurs » et le moins que l’on puisse dire, c’est que les anti-chasse doivent seront encore une fois déçus.
Aucune malversation de la part des Fédérations de chasseurs n’a été relevée durant l’audit mené par la Cour des comptes demandé à l’origine par l’association « Un jour, un chasseur ». Certains médias tentent bien évidemment de pointer du doigt les sommes qui transitent entre l’État et les Fédérations mais il est évident que la situation a fortement évolué depuis la loi chasse entrée en vigueur en 2019.
De nombreuses dépenses incombent aux Fédérations des chasseurs depuis toujours sans compter que les indemnisations de dégâts du grand gibier ont explosé. La FNC a d’ailleurs exprimé un certain nombre d’observation suite à la publication du rapport :
« D’un point de vue financier, il apparait important d’apporter certaines précisions aux remarques de la Cour.
La Cour pointe notamment l’augmentation de 11,8M€ de cotisations pour la FNC depuis la réforme de 2019 et peut sembler sous-entendre, dans sa synthèse, que la FNC ne redistribue que 6,9M€ sur les 9M€ reçus de l’OFB en compensation du transfert de nouvelles missions.
Or, il faut mettre l’augmentation de ces ressources FNC en balance avec les reversements supplémentaires aux FRC et FDC opérés d’un autre côté par la FNC depuis la réforme de 2019. Avec 18,53M€ de reversements (montant représentant plus du double de ce qu’elle reçoit de l’OFB au titre de la compensation du transfert de mission) aucun doute ne subsiste quant à la redistribution de cette somme et bien évidemment les missions transférées sont parfaitement remplies ! »
D’autres points d’améliorations ont été soulevés par l’audit de la Cour des comptes mais c’est finalement très positif pour Willy Schraen qui y voit une opportunité de s’améliorer toujours plus :
« La Cour des comptes, a, comme à son habitude, réalisé un audit avec le professionnalisme qu’on lui connait, et n’a rien trouvé !
C’est suffisamment rare de sa part pour s’en féliciter. Pas de fraude ni même d’anomalie de gestions des comptes notamment sur l’utilisation des fonds publics aux Fédérations de chasseur pour la réalisation des missions de service public qui nous ont été confiées. L’Etat qui nous a fait confiance en 2019 avec la loi chasse a eu raison de le faire.
Pas de grand soir pour le réseau fédéral de la chasse française alors que l’association « un jour, un chasseur » qui ne cache pas son aversion pour la chasse et la FNC, à l’origine de la demande de cet audit, en attendait sans doute des révélations fracassantes. C’est loupé ! »
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .