Voilà plusieurs années que les anti-chasse du collectif AVA (Abolissons la Vènerie Aujourd’hui) se rendent en forêt pour saboter les journées de chasse à courre dans les forêts de Compiègne, d’Ourscamp et de Laigue. Devant la dangerosité de ces actions, la préfecture de l’Oise n’a pas eu d’autre choix que de limiter l’accès à ces forêts, pénalisant par la même occasion tous les usagers de la nature.
L’action d’AVA met tout le monde en danger.
Déjà l’année dernière, la préfecture de l’Oise avait décidé d’interdire l’accès à certaines parcelles les jours de chasse à courre. Ce ne sont pas les chasseurs qui sont dans le viseur des autorités mais bien les animalistes qui se rendent sur place dans le but de leur nuire.
Le collectif AVA est bien connu pour ses actions de sabotage dans les forêts de l’Oise ou ils courent après les chiens, se placent entre les chasseurs et le gibier, déversent des produits odorants pour perdre les chiens et jouent de la trompe à tout va.
Dans certaines situations qui n’ont pas été imputées au collectif, il est également arrivé que des chiens de chasse soient emportés dans des voitures et relâchés à des kilomètres de là ou même des conducteurs qui accélèrent à l’arrivée de la meute au risque de percuter les chiens en voiture.
Le risque de sécurité est réel, d’autant plus que ces sabotages empêchent les chasseurs de canaliser les animaux poursuivis dans la bonne direction, poussant parfois le grand gibier vers les zones urbaines.
Sans parler du sabotage des actions de chasse, les militants radicaux de chez AVA n’hésitent pas à menacer ou à insulter les chasseurs, créant des situations très tendues pour lesquelles de nombreuses forces de l’ordre étaient mobilisées au cas ou la situation s’envenimerait.
Les autorités rappellent également que des chasseurs comme la Fédération de chasse ont reçu des menaces de mort de la part de militants.
Pour toutes ces raisons, la préfecture a donc reconduit l’arrêté qu’elle avait pris l’année précédente qui interdit l’accès à certaines parties de la forêt, le mercredi et le samedi du 15 septembre 2024 au 31 mars 2025.
Une mesure qui pénalise tout le monde.
Cette mesure qui vise avant tout à calmer les ardeurs des militants radicaux anti-chasse, va finalement pénaliser beaucoup de monde.
Les chasseurs qui partagent volontiers le territoire avec les promeneurs, les vététistes et autres usagers de la nature ne demandent qu’une chose, que ces derniers patientent le temps de leur passage et ne mettent personne en danger.
Le but n’est pas de s’accaparer la forêt et les équipages se désolent que seul l’interdiction de certaines zones ne puisse leur garantir de pratiquer sereinement leur passion.
Au final, les amateurs de vélo, de randonnées et de champignons pourront remercier les anti-chasse qui, par leur comportements agressifs et intolérants, ont forcé les autorités à taper du poing sur la table.
La préfecture va assurément prévoir quelques forces de police pour faire appliquer cet arrêté qui n’avait pas été forcément respecté par les animalistes la saison précédente puisque ces derniers « continuent de suivre les parties de chasse et de les perturber au mépris des règles de sécurité » comme le stipule l’arrêté en cours.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .