Dans plusieurs départements de France, les Fédérations de chasse et les forces de l’ordre s’unissent afin de mener à bien différentes missions telles que la surveillance sanitaire, la surveillance des espaces naturels ou la lutte contre le braconnage.
Un partenariat qui profite à tous.
C’est la troisième année que les gendarmes du Gard renouvellent la convention qui les lient aux chasseurs pour plusieurs raisons.
La première est qu’elle permet aux gendarmes de venir s’entrainer au stand de tir de la Fédération des chasseurs à Nîmes, ce qui n’est pas négligeable pour les forces de l’ordre.
D’autre part, ce partenariat profite largement à la communauté car les chasseurs sont sans cesse sur le terrain et garantissent ainsi une surveillance accrue du monde rural.
Des enquêtes ont déjà abouti grâce aux chasseurs.
Ce partenariat est également prolifique pour les autorités à différents égards. Outre le fait que les chasseurs puissent être des témoins privilégiés lorsqu’il se passe quelque chose en rase campagne, ils peuvent aussi être d’une aide précieuse dans des affaires parfois lourdes.
Il y a quelques années, des chasseurs avaient permis aux gendarmes de mettre la main sur une culture de cannabis qui se préparait en pleine nature. Sans l’intervention des chasseurs, les cultivateurs illégaux auraient peut-être pu réussir leur coup ni vu, ni connu.
Dans des affaires qui nécessitent de bien connaître le terrain ou lors des recherches d’actes de braconnages, les gendarmes savent que les chasseurs du Gard leur sont d’une aide précieuse, ce qui contribue à la pérennité de ce partenariat qui a été renouvelé ce 11 octobre.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .