Saint-Brieuc, comme beaucoup de communes de taille moyenne, connait des problèmes avec les sangliers présents en trop grand nombre.
La commune a même conclu un partenariat directement avec la fédération des chasseurs des Côtes-d’Armor qui vient elle-même chasser les sangliers, mais pas n’importe comment.
En effet, dans des zones urbaines et péri-urbaines il est toujours compliqueé de chasser. Outre la complexité d’utiliser des armes à feu, il y a aussi un risque pour la sécurité des traqueurs et des chiens mais également des automobilistes.
Ainsi la fédération a décidé d’organiser des battues avec des archers. Beaucoup plus discrets que les chasseurs à tir, les chasseurs sont déposés en route sur les endroits de fuite. Pour pousser les animaux, pas de grands chiens courants mais des petits chiens type fox, plus silencieux et qui vont moins loin.
Hier matin, jour de la battue, Yvon Méhauté le directeur de la fédération s’est adressé aux chasseurs qui s’étaient donnés rendez-vous directement au siège de la fédération : « Les chasses sur Saint-Brieuc et Plérin doivent être exemplaires pour en faire des villes référentes « . Aucun sanglier n’a été de pris, mais 9 l’ont été depuis le début de la saison.
Un des chasseurs a expliqué au journaliste de France 3 région que la vision des riverains avait même changé : « Aujourd’hui par rapport aux personnes qui n’étaient pas favorables à la chasse, on a inversé la tendance. Les piqueurs (les maitres-chiens NDLR) se font applaudir quand ils arrivent dans les jardins de ces gens-là « .
Voici un bel exemple de cohabitation à suivre.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .