Le Sud-Ouest de la France a connu des jours sombres dans les dernières semaines avec des incendies qui ont ravagé des milliers d’hectares de végétation en quelques heures. La nature a beaucoup souffert, les hommes et les femmes sur place également, voyant le paysage de leurs belles régions réduit en cendres en si peu de temps.
Dans les départements les plus touchés, de nombreux paloumayres ont vu leurs installations disparaître dans les méga-feux. Des dizaines de palombières ont été détruites et au-delà de la perte matérielle, ce sont des souvenirs, des héritages et des bons moments qui ont eux aussi disparus.
Le monde cynégétique local, comme le monde sylvicole, est terriblement touché par la catastrophe et il faudra de longs mois, voire de longues années, pour que les palombières repoussent de nouveau avec les hectares de bois.
Les chasseurs de palombes sont donc dans la tourmente mais la solidarité s’organise. Un groupe Facebook intitulé « SOS Palombières » s’est formé et vise à organiser les élans de solidarité qui se créent dans différents départements.
L’objectif est de rassembler les paloumayres qui souhaitent aider ceux qui ont tout perdu lors des incendies, que ce soit en matériel, en main d’œuvre ou simplement pour offrir des invitations aux chasseurs dont les installations ont brulé et leur remonter le moral.
Une belle démonstration de générosité et d’humanité dans une période bien sombre pour la biodiversité et la chasse dans les régions qui ont subi le passage du feu de plein fouet.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .