Depuis plusieurs mois, le harcèlement, les agressions et le vandalisme contre les chasseurs ne cesse de monter en flèche. Ces agressions et ce niveau de harcèlement empire de mois en mois et certains pensent pouvoir s’en prendre aux biens et aux personnes sans risquer de sanctions sous couverts qu’ils agissent pour leur idéologie qu’ils jugent suprême. Cette idéologie animaliste et antichasse vient encore de faire une victime qui a décidé de faire une vidéo pour montrer ce qu’il endure.
« A mort les chasseurs ».
C’est à travers une vidéo publiée sur les réseaux sociaux qu’un chasseur a décidé de montrer la réalité de ce qu’il est obligé d’endurer parce qu’un groupe de militant a décidé qu’il n’était pas dans leur camp.
Les insultes et les incivilités sont malheureusement devenues courantes de nos jours mais ce qui est arrivé à cet homme ne devrait pas arriver.
Il a retrouvé sa propriété vandalisée, taguée et des menaces de mort ont été laissées sur place.
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Le plus simple reste de visionner les images qu’il a partagé pour se rendre compte de la gravité de la situation :
Un vrai besoin de justice.
Les chasseurs en ont assez de se voir sans cesse attaqués pour une passion qui existe depuis la nuit des temps et qu’ils pratiquent eux-mêmes depuis toujours.
Les militants anti-chasse et animalistes sont une minorité qui tente de faire parler d’elle par des actions parfois graves, comme c’est le cas ici mais trop souvent la justice laisse passer des actes qui devraient être punis.
Le harcèlement que subissent certains chasseurs sous couvert de militantisme, en forêt de Compiègne, en Baie de Somme ou partout en France doit cesser.
La FNC a déjà mis en place une plateforme de signalement des actes malveillants ou des agressions à l’encontre des chasseurs sur son site et il ne faut pas hésiter à y signaler les comportements violents des anti-chasse.
Il devient malgré tout urgent que les responsables de ce genre d’actes malveillants, de harcèlement, de dégradations ou d’agressions soient plus sévèrement punis par les autorités car les chasseurs en ont assez d’avoir le sentiment qu’on peut les insulter, brûler leur matériel ou même s’en prendre directement à eux sans risquer une sanction sévère de la justice Française.