Un drame s’est déroulé ce samedi 28 septembre lors d’une battue aux sangliers qui a eu lieu à Bussy-Albieux dans la Loire. Un chasseur qui participait à cette battue a été mortellement touché par une balle alors qu’une action de chasse était en cours. L’enquête est en cours afin de déterminer les circonstances de l’accident.
Le chasseur est décédé sur le coup.
On pourrait se dire que la saison de chasse n’est pas encore celle ou le nombre d’accident sera à 0 aussi bien chez les non-chasseurs que chez les chasseurs mais en ce qui concerne le monde de la chasse, ces considérations sont largement secondaires même si les anti-chasse vont se jeter sur ce drame.
Ce qui nous importe, c’est qu’un de nos camarades a perdu la vie lors d’une battue.
L’agriculteur de 42 ans participait à une battue aux sangliers sur le territoire de Bussy-Albieux, une commune située à l’ouest de Lyon, quand le drame s’est produit.
L’homme a été tué sur le coup lorsqu’une balle l’a touché à la tête. L’accident est survenu alors que des sangliers s’étaient montrés pendant la battue et que plusieurs tirs ont été effectués.
La Fédération des chasseurs de la Loire a rapidement réagi à ce drame qui n’avait pas touché le département depuis 15 ans.
« Le 28 septembre 2024
COMMUNIQUÉ
Les chasseurs de la Loire en deuil
Accident de chasse mortel samedi 28 septembre 2024 à Bussy-Albieux
Au nom de tous les chasseurs de la Loire, le Président, Gérard AUBRET, tient à manifester la consternation et la tristesse des 9 000 chasseurs du département devant l’accident qui a coûté la vie à l’un des leurs. « Mes premières pensées, comme celles de tous les chasseurs du département, vont en premier lieu à la famille de la victime à laquelle nous présentons nos sincères condoléances. C’est un drame absolu ».
Bien entendu, l’enquête menée par la gendarmerie et la police de l’environnement déterminera les circonstances exactes de cet accident.
Le moment n’est pas venu d’aller au-delà dans les commentaires, mais ce drame nécessitera ensuite d’être analysé pour en tirer les mesures qui s’imposent.
La fédération est très attachée à la sécurité tout au long du cursus du chasseur. Cela commence avec l’examen du permis de chasser où la sécurité est essentielle, puis ce sont près de 2000 personnes qui ont déjà été formées à la remise à niveau tous les 10 ans, seule activité ayant cette formation continue, plus de 1500 chasseurs sont formés à la fonction de responsable de battue. Nous avons également dernièrement complété le Schéma Départemental de Gestion Cynégétique en contraignant encore le volet sécurité. Nous aidons, avec le soutien du Conseil régional à l’aménagement des territoires de chasse en installant des postes surélevés afin d’assurer des tirs fichants.
Si la communauté des chasseurs de Loire n’a pas vécu un tel drame depuis presque 15 ans, il convient en de telles circonstances de faire preuve de compassion, d’humilité, et d’humanité. »
L’enquête est en cours.
L’objectif est désormais de comprendre comment ce drame a pu survenir lors de l’enquête ouverte pour « homicide involontaire ». Les enquêteurs sont rapidement arrivés sur les lieux et tous les participants ont été replacés à leurs postes tandis qu’un hélicoptère a survolé la zone afin de mieux appréhender la scène de l’accident.
Pour le moment, l’auteur du tir mortel n’est pas encore identifié.
Il faudra donc attendre que les conclusions de la gendarmerie soient connues pour comprendre ce qui a pu se passer.
Toutes nos pensées se tournent vers la famille et les amis de ce chasseur.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .