La semaine dernière, la Commission Européenne a décidé de s’attaquer à la chasse traditionnelle de la palombe en France. Jugeant que ce mode de chasse ne respectait pas la Directive Oiseaux, la Commission a décidé de placer le dossier devant la Cour Européenne de Justice. Aujourd’hui, c’est donc tout un pan des traditions cynégétiques Françaises qui sont en danger et des élus se mobilisent pour contrecarrer les plans européens.
La chasse traditionnelle de la palombe en grand danger.
Depuis toujours, la pression exercée par les décisions européennes sur la chasse Françaises inquiètent les chasseurs au plus haut point. A plusieurs reprises, les pouvoirs européens ont forcé les chasseurs de France à adopter une réglementation toujours plus stricte et certains modes de chasse ont d’ores et déjà disparu à cause de leurs directives.
La nouvelle attaque en date contre la chasse Française est celle contre la chasse traditionnelle de la palombe. Ce mode de chasse qui utilise des filets pour capturer les palombes est très implantée dans le sud-ouest et, même si c’est un mode de chasse qui n’est pas pratiqué par un grand nombre de chasseur, le monde cynégétique Français y reste très attaché.
Les chasseurs en ont assez de voir la diversité de leur passion se réduire à peau de chagrin car, si les Fédérations se laissent faire, on ne pourra bientôt plus chasser que le sanglier.
Des élus ont adressé un courrier à François Bayrou.
Afin de défendre ce mode de chasse, des élus ont décidé de se mobiliser.
Xavier Fortinon, le Président du Conseil Départemental des Landes, les sénateurs Érik Kerrouche et Monique Lubin, le député Boris Vallaud et le député européen Éric Sargiacomo, tous du Parti Socialiste, ont rédigé un courrier adressé à François Bayrou afin de l’alerter sur une tentative incompréhensible de la part de l’Europe de supprimer un mode de chasse traditionnel qui une véritable institution dans le Sud-Ouest :
« Cette décision pourrait avoir des répercussions irréversibles pour ce mode de chasse dans les cinq départements du Sud-Ouest de la France où il est pratiqué (Gers, Gironde, Landes, Lot-et-Garonne et Pyrénées-Atlantiques) alors même que les populations de palombes sont en pleine expansion et désormais classées en espèce nuisible dans plusieurs pays européens et départements français. »
Les élus rappellent par la même occasion que la chasse de la palombe est très ancrée dans la culture des Landes et que les chasseurs sont extrêmement investis dans l’entretien de la biodiversité ainsi que dans les activités locales. Il serait donc totalement infondé et injuste de supprimer cette tradition.
![[Vidéo] Un tir au calibre 20 pas si facile d’un faisan qui déboule à toute vitesse](https://www.chassepassion.net/wp-content/uploads/2025/09/tir-faisan-calibre-20.webp)
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .