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La Fédération Nationale des chasseurs veut frapper fort en faveur du petit gibier

C’est un fait établi, le petit gibier fait face à de nombreuses problématiques qui tendent aujourd’hui à faire baisser drastiquement les populations. Les chasseurs sont au chevet de nombreuses espèces depuis longtemps déjà comme la perdrix, le faisan ou même le lapin dans certains secteurs mais malgré les efforts fournis, il faut en faire plus. C’est ce qu’à rappelé la FNC sur son site web après une première approche du sujet lors du Congrès National de la chasse.

mary arm

Un constat alarmant sur le petit gibier.

Ce n’est pas un scoop, le petit gibier en France ne va pas bien. Certaines espèces sauvages comme le lièvre offrent encore une bouffée d’air frais pour les chasseurs en début de saison, même si les prélèvements sont très limités.

En ce qui concerne le petit gibier à plume, il est souvent difficile de se satisfaire de l’état des populations présentes et pour le lapin, c’est tout ou rien.

La FNC ne se cache d’ailleurs pas derrière son petit doigt et énonce clairement les choses, à savoir qu’il y a urgence à agir :

« Le petit gibier de plaine est devenu dans certains territoires l’Arlésienne d’Alphonse Daudet, celle dont tout le monde parle, mais qu’on ne voit jamais. Les fédérations des chasseurs déploient aujourd’hui des moyens considérables pour maintenir cette biodiversité majeure au sein des champs et des forêts. Face à cette urgence, il faut agir pour inverser cette tendance et garantir l’avenir des territoires ruraux et la chasse du petit gibier. »

Lancement d’une stratégie pour le petit gibier.

Les chasseurs font énormément pour la biodiversité et la petite faune. Le maintien d’agrainoirs durant l’hiver et d’abreuvoirs en période sèche n’est qu’un exemple parmi tant d’autres mais force est de constater que cela n’est plus suffisant face à la crise que connaît aujourd’hui le petit gibier.

Le saviez-vous ?  La perdrix grise a perdu 30% de sa population en 30 ans.

Le réchauffement climatique, les pratiques agricoles modernes, les maladies et la présence abondante du sanglier sont autant de facteurs qui impactent grandement la petite faune et doivent être pris en compte.

Comme le rappelle la FNC sur son site web, Philippe Justeau qui est en charge du dossier a abordé plusieurs points qui doivent être travaillés lors du Congrès afin de redresser la barre en ce qui concerne le petit gibier.

Il est aujourd’hui nécessaire de tout mettre en place pour améliorer les choses :

« Tous les leviers disponibles doivent être exploités pour favoriser réellement les habitats et la biodiversité. De nouveaux financements doivent être explorés comme, par exemple, la promotion de contrats de type « paiements pour services environnementaux » (PSE) afin de récompenser les agriculteurs qui mettent en place des pratiques favorables à la petite faune de plaine. »

Le financement ne sera certainement pas la seule corde que la FNC souhaite mettre à son arc mais les chasseurs offrent déjà un nombre d’heures bénévoles considérables en faveur du petit gibier. Le temps est probablement venu d’élargir les horizons et de proposer à d’autres acteurs de s’investir dans des projets en faveur des habitats et de la petite faune pour que les choses avancent.

xpr mobile

3 réflexions sur « La Fédération Nationale des chasseurs veut frapper fort en faveur du petit gibier »

  1. C’est au bord du gouffre que la fédération se réveille…
    Heureusement que les plusieurs d’entre nous faisons déjà le nécessaire sans attendre pour sauver la chasse du petit gibier
    Espérons que la fédération soit à la hauteur de ses annonces
    Affaire à suivre
    Amitiés aux chasseurs de petits gibiers
    Cordialement

  2. Bonjour Chasse Passion. Abreuvoirs et agrainoirs ne permettent plus depuis très longtemps de soutenir les populations de petit gibier à plumes. Le biotope est le facteur le plus déterminant. Lorsque j’étais enfant, dans les années 63-64; je pouvais observer les compagnies de perdrix grises manger des doryphores et leurs larves dans les champs de pommes de terre dans les plaines du Valenciennois. Je pense que je n’ai pas revu de doryphores depuis les années 75. Nous avons voulu des plaines immenses pour permettre la mécanisation à outrance de l’agriculture et les rendements pléthoriques. Pourtant, d’après ce que j’ai pu comprendre, des quotas ont été imposés par la mise en jachère et d’autres inepties incompréhensibles. Les haies ont totalement disparues ainsi que les fossés. Celles qui restent sont taillées à outrance, est-ce une contrainte légale ou une volonté des propriétaires ?
    La chasse connaîtra un renouveau par le retour des populations de petits gibiers, la progression des permis de chasse suivra ce retour, j’en fait le pari.

  3. Il faut lâcher massivement du gibier de reproduction… des lièvres, perdreaux , faisants et lapins avec aménagement du territoire avant lâcher, et des quotas de prélèvement , expérience à faire sur 3 ans et voir le résultat ?

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