Les exploitants agricoles sont excédés par la situation. Le choucas est une espèce de corvidé qui est encore aujourd’hui classée parmi les oiseaux protégés en France. Pourtant, sa prolifération donne parfois lieu a des autorisations de prélèvements sur des zones géographiques précises, souvent en Bretagne et en Pays de la Loire ou il est très présent.
Dans le Finistère, sur l’année 2020, il a été observé un montant total des dégâts occasionnés par le choucas de 1.4 millions d’euros pour une surface de 990 hectares. Un agriculteur bio du département s’est exprimé dans le Télégramme sur ce sujet :
« Nous plantons les échalotes à un bout du champ, à l’autre bout, les choucas les enlèvent. Ça fait des années que ça dure et ce n’est plus possible. Je suis à 80 heures d’heures supplémentaires à l’hectare pour replanter. Pour le maïs, il faut ressemer, avec moins de rendement. »
Actuellement, la préfecture du Finistère autorise le prélèvement de 12 000 choucas sur l’année. C’est bien insuffisant pour les agriculteurs qui souhaitent voir retirer le choucas dans la liste des espèces protégées.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .