Le renard est un animal que l’on connaît bien, qui se porte bien et qui cause chaque année des dégâts importants. Pourtant, le goupil continue de cristalliser l’attention des anti-chasse qui répètent inlassablement les mêmes arguments. Dans le Puy-de-Dôme, une association estime qu’il faut aller jusqu’à vérifier les déclarations de dégâts, des informations jugées peu fiables par les animalistes.
Le renard, un animal qui aide ou qui nuit aux agriculteurs?
L’argument qui revient incessamment, c’est que le renard est un adjuvant de taille pour les agriculteurs. L’animal consomme en effet de nombreux petits rongeurs qui posent problème dans les cultures.
Il serait également une aide conséquente dans la diminution de la maladie de Lyme en avalant les mulots, rats et autres souris qui transportent les parasites.
Si ces constats sont en partie vrais, ils ne concernent que ceux qui vivent des cultures. Pour les éleveurs, les renards ne sont pas du tout « d’une aide précieuse », bien au contraire.
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Pour ceux qui élèvent des volailles, le renard est évidemment un prédateur qui cause chaque année des centaines de milliers d’euros de dégâts. Le renard peut aussi véhiculer bien d’autres maladies et parasites qui peuvent à tout moment impacter la vie et les revenus des éleveurs.
Dans le Puy-de-Dôme, une association souhaite aller jusqu’au bout de son objectif, à savoir supprimer le renard de la liste des espèces ESOD. Selon elle, les déclarations de dégâts ne sont pas un moyen fiable d’attribuer au goupil des attaques observées. Le Collectif Renard 63 prévoit même d’aller à la rencontre des personnes ayant réalisé ces déclarations, comme si les chasseurs et les piégeurs faisaient mentir les déclarants.
Au delà de discuter avec ces personnes, l’association souhaite proposer des services permettant d’éviter de futures attaques, certainement en échange de l’arrêt des déclarations d’attaques…
La régulation et pas l’annihilation.
Ce que les anti-chasse ne comprennent pas, c’est que les chasseurs ne veulent pas annihiler l’espèce mais comme tous les prédateurs, cette dernière a besoin d’être régulée.
Qu’ils le veuillent ou non, l’Homme a son rôle a jouer dans la nature et si rien n’est fait par les chasseurs, les piégeurs ou les gardes, les équilibres seraient rapidement rompus, au risque de voir d’autres espèces impactées par la surpopulation de renards et des dégâts revenir en masse chez les agriculteurs.
Retirer le renard de la liste des ESOD serait une ouverture totale à la dérive animaliste et à un abandon pur et simple de la nature à son propre sort. Et ce ne serait évidemment qu’une question de temps avant que les petits animaux de nos campagnes n’en souffrent horriblement.
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10 réflexions sur « Le renard « l’allié des agriculteurs » devrait être retiré de la liste ESOD dans le Puy-de-Dôme selon une association »
Le renard est un nuisible un ESOD et doit être régulé car porteur de maladies
N’en déplaise aux ANTI TOUT
Il n’y a pas dix pour cent des dégâts de renards de déclarés.
Ben pour des chasseurs vous connaissez mal la nature !
Un prédateur ne peut JAMAIS pulluler.
Allez réviser vos cours de sciences naturelles.
Ben tiens, une paille, … la fameuse autorégulation !?! Allez donc argumentez entre vous içi nous sommes dans le réel, le vécu
!
En effet le renard peut se réguler seul, …quand il aura tout détruit autour de lui. Si il n’avait plus que des mulots à manger, après disparition des oiseaux nichant au sol, des lièvres, volailles, voire même des agneaux et chats, des déchets d’élevage,… là il commencera à se réguler par manque de nourriture ou disons par difficulté à la trouver. Tous les recensements des lièvres et renards, faits aux phares, indiquent des courbes qui prouvent que plus il y a de renards, moins il y a de lièvres et inversement. Les courbes évoluent en décalées. Votre raisonnement tient par la destruction du garde manger du renard, ce n’est sans doute pas souhaitable d’en arriver là.
Alors juste pour mémoire : la nature s’est extrêmement bien débrouillée sans notre intervention pendant des centaines de milliers d’années. Vous connaissez sans doute l’image de l’âge de la Terre comparé à une année. L’homme est apparu le 31 décembre à environ minuit moins 10. Alors dire que la régulation humaine est indispensable à la nature..hummm….voyez. Je n’insiste pas. Je rappelle l’expérience Kareli dont les résultats intermédiaires prouvent l’inefficacité totale du classement ESOD du renard. Je rappelle qu’une des lois de la nature est qu’un prédateur ne peut être destructeur de son environnement ( à part l’homme bien entendu) sous peine de disparaître. Les prédateurs au contraire sont les clefs de voûte de la bonne santé d’un écosystème. Ayez au moins les C …….. de dire que vous le considérez comme un concurrent qui mange quelques animaux vous empêchant ainsi de les tuer vous-même.
Le renard se nourrit surtout de
faisans perdreaux nids au sol
lièvres
Un prédateur économise souvent les calories pour se nourrir , opportunistes pour consommer une alimentation variée . Les mulots et les rats ne sont donc pas l’ unique nourriture du renard : des poubelles à la compagnie de perdrix sans oublier le poulailler . Alors oui il est susceptible d’occasionner des dégâts . Autrefois il était nuisible mais le mot est devenu trop agressif pour désigner un animal qui lui l’est vraiment
Toujours des informations erronées et de mauvaise foi sur l’article du renard.
Ce dernier chassant la nuit si les volailles sont rentrés le soir dans des bâtiments hermétiques il n’y aura aucun problème de prédation.
Et la sur enchère sur les éleveurs de volailles que des conneries…….
Tite fort,perso j ai a plusieurs reprises vu des renards avec un canard,un poulet dans la gueule traverser la vigne qui jouxte la ferme, notamment en période de reproduction.il m est arrivé,un soir de rentrer tard,le renard était déjà passé,désastre car il fait sa tournée toute les nuits .mes volailles,je n’ ai pas envie qu’elles soient enfermées et qu’elles puissent gratter la terre en toute liberté.comme d habitude vous racontez des âneries et ne connaissez pas grand chose de la campagne.