L’ONCFS vient de publier sur son site les premiers résultats concernant une étude menée par des chercheurs de l’Anses, l’ONCFS et l’école vétérinaire de Toulouse grâce aux données récoltées par le réseau de surveillance SAGIR (ONCFS/FBC/FDC) concernant le développement d‘un virus hautement pathogène transmissible à la fois au lapin et au lièvre : le RHDV2.
Concrètement le lapin, vous le savez, est victime d’une maladie appelée le VHD (maladie hémorragique du lapin). Le lièvre lui est victime d’une maladie hémorragique semblable appelée EBHS. Jusque-là les maladies n’étaient pas transmissibles du lapin au lièvre, et inversement, sauf qu’en 2010 le VHD affectant le lapin à semble t’il muté, les chercheurs l’ont alors appelé RHVD2.
En 2015 en analysant des lièvres récoltés par le réseau SAGIR, les chercheurs ont pu établir la preuve formelle que ces dernièrs étaient morts du RHVD2. Les signes cliniques de la mort sont identiques à l’EBHS (les 2 maladies, on le rappelle sont de type hémorragique).
À ce jour 21 départements seraient touchés, mais l’ONCFS ne se fait guère d’illusion quant à la présence de la maladie dans d’autres départements. L’ONCFS indique cependant que malgré cette mutation, rien n’indique qu’il existe une augmentation anormale de mortalité chez le lièvre.
Quand on sait que le lapin et le lièvre sont sur certains territoires quasiment les seuls gibiers présents (disparation de la perdrix grise, peu de repro de faisans), cette nouvelle a de quoi inquiéter les chasseurs.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .