La condition du chevreuil en France provoque l’inquiétude de plusieurs acteurs ruraux engagés dont les Fédérations de chasse. Plusieurs chasseurs ont fait remonter leurs observations dans les départements concernés et des fonds vont être débloqués dans les prochains jours pour mener des investigations sanitaires.
L’inquiétude autour du chevreuil.
Dans quelques départements, les prélèvements comme les observations de chevreuils laissent un peu perplexe les chasseurs. L’espèce se portait extrêmement bien, parfois même un peu trop et la question des prélèvements ne se posait pas en fonction des quotas délivrés par les Fédérations.
Seulement, une mortalité inquiétante du chevreuil est survenue en quelques mois, poussant les chasseurs à faire remonter l’information auprès des Fédérations et des différentes associations qu’ils fréquentent. Les réseaux de surveillance comme le réseau SAGIR a également été alerté afin de déterminer si il y a bien un problème concernant le chevreuil et quelles seraient les éventuelles solutions pour éviter un déséquilibre des populations.
Dans le Nord comme dans d’autres département, ces observations ont aussi été réalisées.
Une baisse des effectifs de chevreuils a été constatée depuis l’ouverture de la chasse, ce qui pousse les chasseurs nordistes à s’interroger. Les chevrillards ont été relativement peu nombreux à être observés et quand des chasseurs les ont croisés, le constat était sans appel : « ils sont généralement chétifs ».
Des fonds débloqués pour investiguer.
La Fédération des chasseurs du Nord a annoncé sur ses réseaux sociaux que des fonds allaient être débloqués pour permettre de financer des investigations qui devraient permettre de déterminer les causes de cette baisse soudaine de la population de chevreuils et du peu de chevrillards aperçus. La problématique étant actuellement une tendance nationale, on peut s’attendre à ce que d’autres Fédérations prennent la même décision.
La Fédération a expliqué qu’elle allait bien sur travailler avec des partenaires experts en la matière comme le réseaux SAGIR, le Groupement de Défense Sanitaire et les laboratoires vétérinaires.
Pour le moment, la FDC59 n’a pas encore décidé de réduire les prélèvements ni de fermer la chasse du chevreuil même si la question se pose. Dans d’autres départements comme dans le Nord, certaines sociétés de chasse ont déjà décidé de prendre des mesures, bien que la fermeture anticipée ne soit pas prononcée, car la prudence doit primer jusqu’aux conclusions des investigations en cours.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .