Depuis la fin du mois de novembre, la Fédération des chasseurs du Tarn communique sur une étude qui est en train de se mettre en place en partenariat avec le Grand Albigeois & le CNRS et qui vise à observer les déplacements et les comportements du sanglier dans le département.
Ces derniers ayant tendance à s’approcher de plus en plus des zones urbaines, la Fédération des chasseurs a été sollicitée pour procéder à la capture de quelques sangliers afin de les marquer et de suivre ainsi leurs déplacement sur le territoire.
Au delà des données récoltées sur le mode de vie du sanglier, l’agglomération utilisera également les informations collectées pour mettre en place des corridors écologiques permettant à la faune de se déplacer dans les meilleures conditions.
Jusqu’ici, les sangliers capturés par la FDC81 n’étaient pas les bons candidats pour porter le collier GPS devant être utilisé pour mener à bien l’étude en cours.
Mais dimanche soir, les agents de la Fédération sont tombés sur un sanglier qui remplissait tous les critères pour être équipé du fameux collier GPS jaune fluorescent. Ils ont donc baptisé Charlie ce sanglier d’une cinquantaine de kilos qui a été marqué aux oreilles et qui sera géolocalisé pendant 168 jours.
Au terme de ces 168 jours, le collier se retirera automatiquement, permettant à Charlie de retourner à sa vie de suidé en toute intimité.
Bien évidemment, la Fédération des chasseurs du Tarn demande à tous les chasseurs de ne pas prélever Charlie afin que tout son équipement permette de mener à bien l’étude jusqu’à la fin.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .