Le lundi 3 juillet dernier, le laboratoire central vétérinaire d’Algete a confirmé que trois cerfs repérés dans la province de Séville étaient porteurs de la maladie hémorragique épizootique et qu’un élevage bovin de la province de Huelva était également touché.
Depuis cette confirmation, plusieurs suspicions de cas à travers tout le pays ont forcé les autorités à mener des études et des analyses sont en cours sur des prélèvements réalisés dans toute l’Espagne.
A la fin de l’année 2022, plusieurs cas de cette maladie du cerf ont été confirmés, essentiellement dans des élevages bovins.
Pour le moment, le virus est toujours considéré comme sans danger car non transmissible à l’Homme mais l’ANSES surveille de très près les évolutions de cette maladie qui pourrait faire des ravages sur les populations de cervidés en Europe et devenir un vrai problème pour les élevages.
La maladie hémorragique épizootique est potentiellement mortelle pour les bovins et les ovins, ce qui pourrait devenir une véritable catastrophe si jamais le virus devenait plus agressif.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .