Coup de tonnerre à la SPA du Gers qui n’a plus de présidente depuis jeudi suite à sa mise en examen par un juge d’instruction dans une sordide affaire.
Tout a commencé il n’y a pas si longtemps, puisque le 24 mars le refuge SPA récupère 2 chiens errants sur la commune de Eauze (32) : un croisé beauceron et un sharpeï. Le premier est âgé et le second plus jeune, aucun des 2 chiens ne porte de puce.
Le 26 mars, le propriétaire des 2 chiens qui se sont en fait échappés de chez lui, appelle le refuge de la SPA situé à Ordan-Larroque mais au téléphone on lui répond qu’aucun de ses 2 chiens ne s’y trouve. L’homme pose alors des affiches dans son village dans l’espoir de les retrouver. Le propriétaire apprend rapidement que ses chiens ont bien été recueillis par le refuge de la SPA et lorsqu’il rappelle, à sa grande surprise, on lui apprend que l’un est mort et que le second se serait enfui. Le refuge refuse de fournir le certificat de décès du chien soit disant décédé, le propriétaire va alors porter plainte à la gendarmerie.
L’enquête va tout de suite remonter à la présidente du refuge Marie-France Le Bagousse-Baus qui vient de passer 2 jours en garde à vue et mise en examen dans la foulée pour « abus de confiance » et « complicité d’atteinte volontaire à la vie d’un animal ». La justice la soupçonne d’avoir menti, et pire d’avoir fait abattre l’un des 2 chiens par un complice. « Elle aurait donné des instructions à une tierce personne pour abattre le chien. Ce que nous soupçonnons, c’est qu’elle ait pensé que le propriétaire des chiens n’était pas apte à s’occuper des animaux » ; « Pour donner du crédit à cela, elle aurait fait abattre le chien ensuite » explique le procureur du tribunal d’Auch. Le premier chien, lui, a pu être retrouvé car il avait déjà été placé dans une famille….
Marie-France Le Bagousse-Baus a été placé sous contrôle judiciaire avec interdiction d’exercer une activité professionnelle en lien avec les animaux. En attendant son procès, l’instruction du dossier va prendre forme mais pourrait demander du temps car plusieurs associations de défense des animaux du département ont fait part de récriminations à l’encontre de la présidente du centre sur les réseaux sociaux.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .