L’annonce qui avait été faite par l’OFB au mois de juin dernier sur le nombre de loups présents en France avait fait bondir les ruraux qui sont confrontés régulièrement au grand prédateur.
L’administration avait a l’époque annoncé qu’officiellement, le nombre de loups était fixé à 906 individus et que par conséquent, la population avait baissé par rapport aux chiffres de l’année précédente.
Dans le même temps, le nombre d’observations, d’attaques sur les troupeaux et les indices collectés sur la présence de canis lupus tendait à affirmer le contraire. Les chiffres officiels ont donc été vivement contestés et la réunion du Groupe National Loup qui devait établir le prochain plan loup a été reporté.
A la surprise générale, l’Office Français de la Biodiversité a annoncé récemment de nouveaux chiffres comme l’explique Jean-Paul Celet, le préfet référent national sur la politique du loup, auprès des journalistes du Figaro :
«Un travail a été fait cet été pour actualiser les chiffres. Après prise en compte des analyses génétiques, le chiffre provisoire 2023 s’élève à 1104 individus. Pour mémoire, le chiffre provisoire annoncé était de 906. Par ailleurs, l’estimation définitive de la population de loups pour 2022 s’élève à 1096 individus, soit 175 individus de plus par rapport aux premières estimations».
L’estimation du nombre de loups en France a bondi de près de 200 individus en quelques semaines et même l’estimation de 2022 a été revue largement à la hausse.
Les éleveurs et tous les gens de terrain l’affirment depuis des mois, les chiffres avancés par l’OFB ont toujours été jusqu’ici bien en dessous de la réalité. Bien que l’État reconnaisse aujourd’hui le passage de la barre des 1000 individus, les membres du GNL dénoncent un véritable manque de sérieux dans le traitement des données.
Cette nouvelle estimation va changer beaucoup de choses sur les mesures qui pourront être mises en place lors de la prochaine réunion du GNL afin de soulager les éleveurs et potentiellement, de réaliser plus de prélèvements de loups, alors que l’Europe toute entière se questionne sur la durabilité de son statut d’espèce protégée.
8 réflexions sur « Le foie gras rayé de la carte par la maire de Strasbourg au nom du bien-être animal »
Je préfère une bonne terrine ou un excellent pâté
elle ,ont devrait l’éradiquer au non du bien être humain.
Ce n’est que la mairie.
Ces verts ils se refuse tous les plaisirs de la vie, que leur existence doit être triste, il doivent se faire crier à mourir.
C’est vrai qu’en compensation, beaucoup fument le pétard, ils voient pendant quelques instant la vie en rose.
Mais après leur fumette, ils sont dangereux sur la route. Imaginez ils voient des éléphants roses traverser les voies de circulation, de même ils entendent hurler les loups au pied de la cathédrale et les ours grimper au sapin.
Pas à Bordeaux, le maire a supprimé les fêtes de Noël, il ne sait pas que Noël n’est pas une fête mais le jour de la naissance de Jésus. Bon pour EELV c’est une tradition d’un autre temps qu’il faut supprimer.
C’est pratiquement de l’abus de pouvoir , tout au moins cette décision sans consultation n’est pas très démocratique .
Enlever le foie gras du menu alors que c’est une de nos fierté c’est ne pas respecter les agriculteurs et les éleveurs
Les producteurs locaux (grande région du foie gras) devraient porter plainte pour diffamation.
La nous avons un maire qui impose son choix pas celui des français. Une honte à cette région d’avoir Eli un écologistes a leur mairie, maintenant on voit leur niveau d’intelligence.
Maintenant c’est pas a mais 3 maires pour le foie gras et un maire contre le sapin de Noël. Les gens son assez bêtes pour voter pour eux. Normal c’est des vieux qui accepte rien ou des ecolo des villes qui viennent dans nos campagnes. Voilà comment tuer des producteurs. Les écologiste sont pour la pertes de nos artisans commerçant.
Les maires écolos se croient tout permis. Et le libre choix il est où. Les pertes d argent pour les producteurs ils sent foutues tout ce qui les intéresse c est virer la viandes de tous les plats pour nous obliger à bouffer du foin.