La terrible guerre qui a lieu en Ukraine et qui a déjà coûté la vie à des milliers de civiles et de soldats a pour autre conséquence d’inquiéter presque tous les marchés du monde.
Parmi ces derniers, celui du pétrole est bien évidement fortement impacté, mais aussi dés le début du conflit, celui du cours du blé. En effet, la Russie exporte 75 millions de tonnes de blé tendre par an, et l’Ukraine pas moins de 33 millions de tonnes, ce qui à eux deux représente 30% des exports mondiaux.
Nul besoin d’être expert en géo politique pour comprendre que les récoltes 2022 vont être équivalentes à 0 ou presque en Ukraine, et que la Russie, quasiment coupée du monde, va privilégier son marché intérieur et sa population. C’est également le cas de la Hongrie et de la Moldavie qui ont annoncé stopper dés à présent leurs exportations de blé.
En parallèle, la Chine, qui est le plus gros consommateur de blé au monde, craint une très mauvaise récolte cette année. Selon une déclaration du ministre chinois de l’agriculture samedi dernier, 2022 pourrait être « la pire récolte de son histoire ». En cause des pluies trop faibles et un retard dans la plantation.
Spéculations ou non de la part de l’Empire du Milieu, le cours du blé s’est déjà littéralement envolé passant de 278.5€ la tonne le 22 février 2022, à 403.5€ la tonne hier le 9 mars 2022. A titre de comparaison, l’année dernière à la même époque le prix d’une tonne était de 203.5€. Le cours du blé tendre a donc tout simplement doublé en 1 an.
D’un point de vu quantité, la France ne devrait pas manquer car nous sommes un pays qui produisons beaucoup de blé, en revanche de nombreux secteurs vont être frappés de plein fouet. Hormis le consommateur final qui va surement voir le prix de la baguette de pain et de quelques autres denrées augmenter, ce sont surtout les éleveurs qui vont le plus pâtir de cette situation. Au prix de la tonne de blé, on a du mal à imaginer comment la plupart des exploitations pourront survivre sans une intervention étatique à quelques niveaux qu’elle soit.
Autre secteur qui risque d’être touché et auquel on ne pense pas forcement : la chasse. En effet, l’indemnisation des dégâts, financée à 100% par les fédérations des chasseurs on le rappelle, est directement basée sur le cours des céréales. Si le blé atteint 500€ la tonne, il faudra alors indemniser les agriculteurs sur cette base.
A l’heure où les fédérations des chasseurs frisent l’asphyxie financière à cause de ce système, on court à une catastrophe d’ici fin 2022. Force est de constater que certaines fédérations n’auront plus les moyens d’indemniser et qu’une solution devra être trouver d’ici là.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .