Depuis le XVe siècle, on dit que le Seigneur Hubert était si passionné de chasse, qu’il en oubliait ses leçons. Un Vendredi Saint, Hubert parti chasser seul. A cette occasion, il se trouva face à un majestueux cerf blanc, qui portait entre ses bois, une croix lumineuse.
Hubert se mit à le pourchasser, mais celui-ci parvenait toujours à le distancer. Ce n’est qu’au bout d’un long moment que l’animal s’arrêta et qu’une voix lui dit :
« Hubert ! Hubert ! Jusqu’à quand poursuivras-tu les bêtes dans les forêts ? Jusqu’à quand cette vaine passion te fera-t-elle oublier le salût de ton âme ? ». Hubert, saisi d’effroi, se jeta à terre et humblement, il interrogea la vision :
« Seigneur ! Que faut-il que je fasse ? »
La voix reprit :
« Va donc auprès de Lambert, mon évêque, à Maastricht. Convertis-toi. Fais pénitence de tes péchés, ainsi qu’il te sera enseigné. Voilà ce à quoi tu dois te résoudre pour n’être point damné dans l’éternité. Je te fais confiance, afin que mon Église, en ces régions sauvages, soit par toi grandement fortifiée. »
Et Hubert de répondre, avec force et enthousiasme :
« Merci, ô Seigneur. Vous avez ma promesse. Je ferai pénitence, puisque vous le voulez. Je saurai en toutes choses me montrer digne de vous ! »
Selon une tradition locale, c’est à l’emplacement de la chapelle Saint Hubert à Tanneville que Saint Hubert aurait eu cette vision du cerf blanc avec la croix entre ses bois .
Depuis, chaque année, a lieu la messe de Saint Hubert. Certains équipages de chasse à courre la célèbre, d’autres non.
La messe se déroule dans une église, ou à l’extérieur au son des trompes de chasse et des chants religieux.
Pendant cette messe, le prêtre bénit les chiens, les chevaux, et les veneurs de l’équipage pour rendre hommage et remercier les chiens et chevaux, mais aussi pour remercier la vie sauvage et la nature.
La coutume dit que les équipages ne doivent pas se mettre en tenue de vénerie avant la messe de saint Hubert.
À la fin de cette cérémonie, veneurs chiens et chevaux, partent à la quête de leur animal, trompes et fanfares résonnent dans les bois, ainsi que la voix des chiens.
La tradition veut aussi, que ce jour là, à la vue de l’animal, on sonne la Saint Hubert.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .