Caractéristiques :
Cette race comprend, comme le français, trois variétés de chiens : le grand anglo-français tricolore, le grand anglo-français blanc et noir, qui est le plus proche du français, dont il a la robe et le flair, et le grand anglo-français blanc et orange. Ces chiens ont la tête assez courte, le crâne large et plat, des oreilles attachées haut et légèrement tournées à l’extrémité. Physiquement, tout semble puissant chez eux.
Aptitudes à la chasse :
Chien de vénerie, le grand anglo-français est le plus répandu de sa catégorie. Solidement construit, il est rustique et à
l’aise sur tous les terrains. Sensiblement moins fin de nez et moins gorgé que les races typiquement françaises, il reste néanmoins un expert pour le grand gibier.
Allimentation :
Rustique, ce chien n’est ni difficile ni gros mangeur. Il faut compter environ 500 g de viande par jour, ou l’équivalent en aliment industriel. Ce qui commence à compter, pour un équipage qui s’élève d’habitude à 80, voire à 100 chiens. Une alimentation équilibrée est nécessaire à sa bonne santé et à ses bonnes performances, et la traditionnelle soupe constitue l’élément essentiel de la plupart des meutes de grands anglo-français.
Pas de problème particulier pour ce chien qui aime les hommes et qui se montre affectueux avec eux. Il est préférable de compter sur une éducation douce, progressive et sans violence, certes un peu plus longue, mais tellement plus fiable !
Ce chien doit vivre dans un chenil, pas en ville. D’ailleurs, il a besoin de sorties fréquentes, même hors des périodes de chasse.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .