La bécasse est de tous les gibiers à plume celui qui est, sans conteste, le plus passionnant et le plus difficile à chasser. Oiseau migrateur, elle passe en France, venant du nord, en automne, dès l’approche de l’hiver. Au mois de mars, elle repasse, venant des pays méridionaux.
Toutefois, il arrive que certaines d’entre elles nichent en France. Lors de ses migrations, la bécasse vole seule ou en tout petits groupes.
Caractéristique :
La bécasse a une tête aplatie sur le dessus, avec de grands yeux placés haut en arrière et un bec deux fois plus long que la tête.
La couleur de son plumage (feuille morte) lui confère un mimétisme étonnant. Ses pattes sont courtes, mais très robustes.
Une petite plume, située à côté de la première rémige, la surrémige, est appelée « plume du peintre ». Le mâle et la femelle se ressemblent.
Comportement et reproduction :
Dès leur arrivée, la bécasse se cantonnent là où elles trouvent ce qui est nécessaire à leur nourriture. Généralement, elles se posent dans les fonds boisés, marécageux ou humides, le long des ruisseaux, dans les endroits bien exposés. On peut également en trouver dans les forêts dont le sous-bois possède une couche épaisse de terreau et de feuilles. Mais tout chasseur sait bien que, dans un endroit qui possède toutes les qualités requises, on ne trouve cependant la bécasse qu’à des emplacements précis, les places à bécasses.
Pour que la bécasse puisse rester sur une place, il faut que certaines conditions bien déterminées de nourriture et de déplacement soient remplies. Dans un endroit ordinaire fréquenté par la « belle mordorée », on observera le sol attentivement : si l’on voit des miroirs (nom donné aux fientes de cet oiseau) on est à peu près sûr de trouver une bécasse.
De plus, empreintes et coups de bec, visibles sur la vase, attestent de son passage.
Lorsqu’elle niche chez nous, elle recherche un endroit frais, dans des massifs forestiers et à proximité immédiate de l’eau, à condition que le lieu soit bien exposé au soleil. Elle peut nicher dans les Alpes jusqu’à 1500 m d’altitude.
Le nid, établi à terre, est rudimentaire et l’on y trouve 3 ou 4 œufs. Pendant l’incubation, le mâle reste auprès de sa compagne et veille sur elle.
Dès que les œufs sont éclos, les petits se mettent à courir. Ils pèsent environ 17 grammes à la naissance. La mère les surveille durant une quarantaine de jours avant de leur accorder leur liberté. Elle transporte souvent ses petits avec son bec.
D’aucuns affirment même qu’elle parvient à les tenir en vol en les coinçant entre ses deux cuisses.
Alimentation :
Durant le jour, la bécasse se cache dans les bois sans bouger. Ce n’est que le soir venu qu’elle prend son vol pour aller chercher sa nourriture dans le voisinage. Avant l’aube, elle regagne sa place.
Dans les bois, la bécasse recherche les larves, les insectes et les vers sous la couche de verdure morte, qu’elle retourne avec son bec ; elle agit de même dans les endroits humides, tels que les prairies. Mais il faut en outre qu’elle puisse circuler librement : il doit donc n’y avoir ni hautes herbes, ni fourrés
8 réflexions sur « Le foie gras rayé de la carte par la maire de Strasbourg au nom du bien-être animal »
Je préfère une bonne terrine ou un excellent pâté
elle ,ont devrait l’éradiquer au non du bien être humain.
Ce n’est que la mairie.
Ces verts ils se refuse tous les plaisirs de la vie, que leur existence doit être triste, il doivent se faire crier à mourir.
C’est vrai qu’en compensation, beaucoup fument le pétard, ils voient pendant quelques instant la vie en rose.
Mais après leur fumette, ils sont dangereux sur la route. Imaginez ils voient des éléphants roses traverser les voies de circulation, de même ils entendent hurler les loups au pied de la cathédrale et les ours grimper au sapin.
Pas à Bordeaux, le maire a supprimé les fêtes de Noël, il ne sait pas que Noël n’est pas une fête mais le jour de la naissance de Jésus. Bon pour EELV c’est une tradition d’un autre temps qu’il faut supprimer.
C’est pratiquement de l’abus de pouvoir , tout au moins cette décision sans consultation n’est pas très démocratique .
Enlever le foie gras du menu alors que c’est une de nos fierté c’est ne pas respecter les agriculteurs et les éleveurs
Les producteurs locaux (grande région du foie gras) devraient porter plainte pour diffamation.
La nous avons un maire qui impose son choix pas celui des français. Une honte à cette région d’avoir Eli un écologistes a leur mairie, maintenant on voit leur niveau d’intelligence.
Maintenant c’est pas a mais 3 maires pour le foie gras et un maire contre le sapin de Noël. Les gens son assez bêtes pour voter pour eux. Normal c’est des vieux qui accepte rien ou des ecolo des villes qui viennent dans nos campagnes. Voilà comment tuer des producteurs. Les écologiste sont pour la pertes de nos artisans commerçant.
Les maires écolos se croient tout permis. Et le libre choix il est où. Les pertes d argent pour les producteurs ils sent foutues tout ce qui les intéresse c est virer la viandes de tous les plats pour nous obliger à bouffer du foin.