A la fin du mois de juillet, l’association One Voice avait annoncé qu’elle attaquait l’arrêté préfectoral du Gard visant à permettre la tenue de battues administratives organisées par les lieutenants de louveterie sur le département. La requête a été déposée en référé avec l’objectif de suspendre le plus rapidement possible l’arrêté concerné mais le tribunal administratif a finalement donné raison au préfet.
Objectif : protéger les sangliers.
On connaissait les capacités des associations animalistes à vouloir protéger les animaux envers et contre tout mais force est de constater qu’une étape a été franchie avec la dernière tentative de One Voice.
Les militants de cette association se sont en effet mis en tête de protéger les sangliers du Gard, visés par un arrêté préfectoral que l’association a attaqué en justice.
L’arrêté avait été déposé par la préfecture afin de permettre aux lieutenants de louveterie d’organiser des battues sur 45 communes.
L’objectif était bien évidemment de limiter les dégâts causés par les suidés dans les cultures sur les communes concernées qui présentent un risque de par la population de sangliers observée sur place.
Le tribunal administratif de Nîmes rejette le recours de One Voice.
« Plus c’est gros, plus ça passe » comme l’affirment certains, mais pas en ce qui concerne cette attaque en justice de l’arrêté préfectoral qui devait protéger les sangliers.
Le tribunal administratif de Nîmes a rejeté la demande de One Voice ce mercredi 06 août comme le rapporte La Gazette de Nîmes.
La préfecture avait notamment fait valoir la prise d’un arrêté permettant aux lieutenants de louveterie de pouvoir intervenir rapidement en cas de demande d’un agriculteur pour éviter que les dégâts ne soient trop conséquents le temps de déposer une autorisation à chaque déclaration de dégâts, ce qui prendrait une semaine.
Le but n’est pas « l’abattage en masse de sangliers » comme l’affirmait One Voice mais tout simplement de limiter les dégâts causés par les suidés, ce que le tribunal a considéré comme juste.
4 réflexions sur « Le tribunal administratif retoque One Voice qui voulait protéger les sangliers du Gard »
Comme je le dis régulièrement, tu protèges tu payes, est-ce qu’au moins ils sont condamnés au dépend s’il y avait des frais.
Il faudrait condamner en peine complémentaire ces illuminés à être obligés de participer à une battue administrative. Nous en avons faite une mercredi matin 6 août rendez-vous à 5h30 pour l’inscription près du lieutenant de louveterie, puis lecture des consignes et placement des chasseurs avec des consignes très strictes à chaque poste. Là, déjà problème, c’est trop tôt pour ces escrologistes habitués à plus de repos. Personnellement, j’étais à 100 m de la boulangerie du village. Nous devions repousser les sangliers du coeur du village où il y a beaucoup de vignes, des clôtures électriques très bien entretenues, pourtant les sangliers forcent les clôtures.
Tout était parfaitement fermés, tous les passages gardés par une carabine ou un fusil. Résultat, 3 sangliers tués, oh là, quel massacre. Il y avait une bonne vingtaine d’animaux.
Alors l’ASPAS, je pense qu’à un moment il faut savoir fermer sa ……
que les ecolos payent les degats sur les cultures et là ils pourront parler de ne pas chasser les sangliers
Y a cas leurs envoyer la facture sa allègera les fédérations de chasse
Plus c est gros plus ils ont de la pub. Arrêtons de leurs en faire. Arrêtez de leurs filer les subventions qui leurs sert à attaquer en justice le monde de la chasse et des salaires car rien ne va pour les animaux .personne sur le terrain pour leurs donner à boire ni à manger. Ils ne savent à rien