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Solidarité : les chasseurs prennent en charge les réparations sur les voitures des huttiers attaqués par les migrants

La solidarité, c’est une des valeurs importantes dans le monde de la chasse et encore aujourd’hui, cette réalité se vérifie. La Fédération des chasseurs du Pas-de-Calais et des chasseurs bénévoles ont décidé de venir en aide aux chasseurs attaqués par des migrants le week-end dernier et de prendre en charge les réparations sur leurs voitures.

Une attaque qui a fait de gros dégâts.

Lors de l’attaque menée par plusieurs dizaines de migrants sur des chasseurs de gibier d’eau à Tardinghen dans la nuit de samedi à dimanche, les voitures de ces derniers ont également été prises pour cible.

Les vitres ont été explosées, la carrosserie défoncée et le contenu des voitures a aussi été pillé par les migrants en furie.

Cela a rendu les véhicules inutilisables et la majorité de la facture restera à la charge des chasseurs car l’assurance ne prend en charge qu’assez peu de frais de réparation.

En attendant, les huttiers se retrouvent en mauvaise posture car du jour au lendemain, ils se retrouvent sans véhicules et donc, dans l’incapacité de se déplacer pour se rendre au travail ou même pour emmener leurs enfants à l’école.

La solidarité des chasseurs s’est mise en place.

La Fédération des chasseurs du Pas-de-Calais a annoncé hier sur ses réseaux sociaux qu’une solution avait été trouvée pour venir en aide aux chasseurs qui ont déjà subi de gros dégâts sur leur hutte ainsi qu’un traumatisme important lors de l’attaque.

La Fédération a décidé de prendre en charge l’achat des pneus détruits par les migrants et le Président de la région Xavier Bertrand va mettre à disposition deux véhicules pour les chasseurs le temps que les réparations soient effectuées.

Les réparations de carrosseries vont être réalisée par un chasseur lui même carrossier. Ce dernier souhaite rester anonyme et va effectuer ce travail gratuitement.

Une démonstration de solidarité qui, on l’espère, permettra d’atténuer le choc d’avoir subi une telle attaque.

[Vidéo] Grève de la régulation des sangliers : « on nous prend pour des idiots utiles »

Il y a quelques jours, les chasseurs du pays basque se sont rebellés contre les élus des métropoles du secteur qui ont selon eux dépassé les bornes.

En effet, lors de la bataille qui a opposé dernièrement le gouvernement et les chasseurs sur les chasses traditionnelles de l’alouette des champs, ces mêmes élus n’ont pas apporté tout le soutien auquel les nemrods pouvaient s’attendre.

La Fédération des chasseurs des Pyrénées-Atlantiques avaient par exemple demandé une motion de soutien de la part des élus du département afin de pouvoir montrer que l’État ne prenait pas des décisions populaires dans les régions concernées mais la FDC n’a jamais bénéficié de ce soutien.

Les chasseurs sont pourtant actifs quand on a besoin d’eux. Dans plusieurs grandes villes, ils se sont bénévolement investis dans la capture de sangliers en milieu urbain car ces derniers causent de gros dégâts et représentent un risque pour les usagers de la route. En signe de protestation, les chasseurs ont refusé de reconduire cette opération tant que l’État ne reviendra pas sur l’arrêt des chasses traditionnelles.

[Vidéo] Un renard aperçu en train de s’amuser comme un fou au milieu d’un champ

Partir à la chasse, c’est forcément vivre des moments forts lorsque l’on croise le gibier recherché mais c’est aussi pouvoir s’émerveiller devant les scènes que la nature nous offre.

Cela peut être le passage d’une volée de cigognes, un écureuil qui grimpe dans son nid ou encore un renard que l’on peut observer sans être vu.

A lire aussi : [Vidéo] La chasse ce n’est pas que le sanglier, c’est aussi ça!

C’est le cas sur les images ci-dessous ou un chasseur a pu filmer un renard qui était manifestement très heureux de sa chasse du jour.

D’humeur badine, le goupil lance sa petite proie dans les airs et joue avec comme un chien pourrait le faire avec une balle.

Des sangliers ruinent totalement un terrain de football en Dordogne

Quand les joueurs et la présidente du club de football de Coulounieix-Chamiers en Dordogne découvrent l’état de leur terrain après le passage d’une compagnie de sangliers en ce début de semaine, c’est la douche froide. Les dégâts causés par les suidés sont suffisamment importants pour remettre en cause toute l’activité du club pendant plusieurs semaines.

Un passage éclair des sangliers.

C’est dans la nuit de lundi à mardi qu’une compagnie de sangliers a décidé de venir faire un tour sur le stade de foot de Coulounieix-Chamiers et de fouiller l’un des terrains.

Le club qui compte près de 300 licenciés et fonctionne habituellement sur 3 terrains différents. L’un d’entre eux étant en travaux, il ne restait déjà plus que deux terrains pour accueillir les footballeurs du secteur.

C’était donc sans compter sur le passage des sangliers qui ont littéralement retourné tout le terrain. Une véritable catastrophe pour la présidente du club qui s’est exprimée auprès des journalistes de France-bleu :

« Les sangliers ont retourné le terrain, parfois avec des trous jusqu’à 50 centimètres de profondeur, un champ de ruines, comme si on avait été bombardé. »

Une organisation à revoir complètement.

Cette visite impromptue des sangliers remet en cause toute l’organisation du club qui ne se retrouve plus qu’avec un seul terrain pour tout le monde.

A lire aussi : Sans retour des chasses traditionnelles, les chasseurs du Sud-Ouest refusent de réguler les sangliers en ville

Entre les entrainements et les matchs organisés pour les différents championnats, c’est un vrai casse-tête pour les dirigeants du club.

Fort heureusement, beaucoup d’autres clubs sont solidaires et se proposent pour accueillir des entrainements à l’image du club de Chancelade.

En ce qui concerne les rencontres officielles, tout est fait pour que les matchs puissent se jouer au maximum à l’extérieur.

Suite à cette visite des sangliers, le terrain sera impraticable pendant un mois minimum. Les cadres du club ont demandé l’intervention de stadiers qui devraient pouvoir rapidement rendre la pelouse jouable mais les dégâts restent considérables pour un club amateur.

[Vidéo] Un chasseur prélève un sanglier qui lui fonce droit dessus

Le sanglier est incontestablement l’animal le plus suivi depuis quelques années et est devenu le gibier le plus populaire, que ce soit au bois comme en plaine désormais.

La régulation bat son plein et dans certains départements, il n’y a même plus de pause estivale dans la saison de chasse du sanglier qui dure parfois toute l’année.

A lire aussi : [Vidéo] Superbe tir d’un sanglier dans la montagne Corse

Dans cette vidéo, un sanglier fonce droit en direction d’un chasseur qui va pouvoir procéder à son prélèvement.

Il devra s’y reprendre à deux fois mais finalement, le sanglier va littéralement faire un salto sur la seconde balle.

[Vidéo] Un chevreuil déboule et percute un chasseur posté sur sa ligne

Quand on chasse le grand gibier, il faut parfois s’attendre à vivre des mésaventures improbables.

Au delà des aventures en relation avec la chasse en elle-même, il arrive également que des accidents surviennent notamment avec les sangliers.

A lire aussi : [Vidéo] Un sanglier charge droit dans une voiture et s’écrase sur le pare-chocs

Les coupures dans les bottes ou les charges de suidés ne sont pas rares mais il arrive aussi que des chevreuils percutent de plein fouet des traqueurs et même des chasseurs durant la battue.

Dans cette vidéo, un chevreuil sort des broussailles après avoir été poussé par la traque et va, dans sa fuite, foncer droit dans un chasseur posté sur sa ligne.

Le témoignage glaçant des chasseurs attaqués dans leur hutte par soixante migrants

Dans la nuit du samedi au dimanche 15 septembre, une soixantaine de migrants ont attaqué des chasseurs à la hutte. Armés de barres de fer, de machettes et de haches, ces derniers étaient venus faire payer aux chasseurs le fait qu’ils aient prévenu la gendarmerie de leur présence.

Une expédition punitive qui aurait pu virer au drame.

C’est un tour de hutte qui va traumatiser à vie les chasseurs présents ce jour là. Alors qu’ils étaient en train de passer la nuit dans une hutte sur la commune de Tardinghen dans le Pas-de-Calais, les chasseurs de gibier d’eau ont vu débarquer au loin une soixantaine de migrants.

Ces derniers étaient venus dans le marais pour se venger des chasseurs qui ont prévenu les forces de l’ordre plus tôt dans la journée pour leur signaler leur présence avant que la gendarmerie ne les empêche de traverser la Manche.

Pendant près de deux heures, les chasseurs ont attendu l’intervention des gendarmes alors que les migrants avaient lancé une attaque sur la hutte armés de barres de fer, de haches et de machettes.

Ils ont décapité des canards au passage et ont saccagé les véhicules des chasseurs qui ont bien cru que leur dernière heure avait sonné.

Voici quelques témoignages de ces chasseurs, interrogés par quelques médias :

Un manque de réactions ou des réactions abjectes.

Ces témoignages qui glacent le sang font réagir le monde cynégétique tout entier et au delà. Si la majorité des gens se disent qu’il y a bien un problème pour que la situation dégénère à ce point, d’autres se félicitent de cette attaque envers les chasseurs.

Ces réactions sont minoritaires mais on se demande bien comment il est possible de tenir ce genre de discours en sachant qu’un enfant de trois ans était lui aussi présent dans la hutte.

Quant aux représentants de la classe politique, ils sont assez peu nombreux à réagir au sujet de cette attaque. On aurait pu au moins s’attendre à ce que les écologistes réagissent à la décapitation des canards…

Qu’avez-vous pensé de cette ouverture de la chasse 2024/2025?

L’ouverture est passée pour beaucoup de chasseurs Français. Quelques départements ont différé de quelques jours l’échéance mais dans la majorité des cas, les nemrods de France ont pu retrouver le chemin de la plaine.

De nombreux médias ont fait des articles au sujet de cette nouvelle saison de chasse qui débute mais assez peu d’entre eux sont allés au contact des chasseurs.

A lire aussi : Toutes les dates d’ouverture générale de la chasse 2024/2025

Quelques-uns ont même pris le parti d’interroger des écologistes et anti-chasse qui ont pu servir leur sempiternel discours sur les vilains chasseurs.

Mais en tant que chasseurs, il est aussi important que vous puissiez donner votre avis sur la question.

Alors, qu’avez-vous pensé de cette ouverture de la saison de chasse 2024/2025? Vous pouvez donner votre avis à travers ce sondage mais si vous souhaitez nous en dire plus n’hésitez pas à répondre dans les commentaires!

Qu'avez-vous pensé de cette ouverture de la chasse 2024/2025?

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[Vidéo] Un sanglier s’invite dans une partie de pétanque

La chasse est un loisir contrairement à ce qu’affirment ceux qui voudraient que nous ne soyons que des régulateurs. Mais nos amis les suidés ont manifestement aussi besoin d’avoir des loisirs.

Dans un parc, quelques personnes se sont réunies pour profiter d’un terrain de pétanque afin de taquiner le cochonnet.

A lire aussi : [Vidéo] Une compagnie de sangliers s’échappe sous un grillage

Un sanglier qui semble très à l’aise avec la présence humaine décide de s’inviter dans la partie et lui aussi veut s’amuser avec le cochonnet.

Il attrape le bouchon et le mâchouille tandis que les joueurs se demandent bien comment ils vont bien pouvoir terminer leur partie avec un trublion de cette taille sur le terrain.

Somme : il faudra attendre le 29 septembre pour faire « la vraie » ouverture

L’ouverture de la chasse est déjà derrière pour une grande partie des chasseurs qui ont pu « attaquer » au 8 et 15 septembre derniers. Pour d’autres, elle se déroulera ce 22 septembre et pour certains il faudra même patienter jusqu’au 29 mais pas uniquement pour des raisons de calendrier administratif comme c’est le cas dans la Somme.

Une ouverture en deux temps pour la Somme.

Les chasseurs du 80 ont pu retrouver pour certains le bonheur de sortir le fusil pour chasser le petit gibier mais la journée du 15 septembre ne représente pas une « vraie » ouverture pour bon nombre d’entre eux.

Si les nemrods ont pu chasser le lapin, la bécasse ou tirer quelques autres espèces comme la corneille, le geai ou la pie, les « gibiers rois » de l’ouverture manquaient à l’appel.

En effet, les comptages n’ont pas été bons dans le département en ce qui concerne le lièvre, la perdrix ou le faisan.

Bien que dans certaines sociétés de chasse qui ont redoublé d’efforts, le gibier se porte bien, ce n’est pas le cas sur tous les territoires.

Le printemps n’a pas été clément pour le petit gibier les chasseurs ont unanimement convenu qu’il était de bon ton de procéder à une ouverture décalée pour ces espèces qui ne sont pas en si bon état de maturité que les autres années.

Si l’ouverture a été signée au 15 septembre, la chasse du lièvre, de la perdrix et du faisan ne sera autorisée qu’au 29 septembre.

Une mesure saluée par les chasseurs.

Certes, depuis longtemps, les chasseurs de petit gibier ne se rendent plus dans la plaine avec l’ambition de faire un gros tableau.

L’objectif est avant tout de passer une bonne journée avec les chiens et les copains, pour prendre un bon bol d’air.

Quand la décision a été prise de décaler l’ouverture de ces trois espèces, les chasseurs ont tous apporté leur soutien à la mesure. La proposition de décaler ainsi la chasse de ces gibiers ne vient d’ailleurs pas de la Fédération des chasseurs mais des adhérents eux-mêmes.

Les nemrods ont bien du mal à relancer la perdrix sur le territoire car elle souffre simultanément de plusieurs facteurs entre l’agriculture intensive et la multiplication des prédateurs.

Pour beaucoup de sociétés de chasse, elle ne sera d’ailleurs pas tirée du tout.

Le faisan est aussi un sujet de discussion depuis des années car, malgré les plans de réintroduction qui se multiplient pour faire revivre une population sauvage, l’oiseau souffre des mêmes problématiques que la perdrix.

Quant au lièvre, il se tient habituellement bien mieux sur les grandes terres cultivées mais déjà l’année dernière, les chasseurs de la Somme s’inquiétaient pour le lièvre, après des comptages peu convaincants.

Le nombre de capucins était assez faible en début de saison dernière et l’ombre d’une maladie qui aurait touché l’espèce générait beaucoup d’inquiétudes.

Aujourd’hui, l’objectif est de laisser 15 jours supplémentaires à ces 3 espèces pour sortir tranquillement d’un printemps et d’un été qui ont été difficiles. Les chasseurs ont d’ailleurs pu voir que quelques jeunes de l’année n’étaient pas encore à pleine maturité, il valait donc mieux laisser quelques jours de plus la chasse entre parenthèses.

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