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A bientot
 

Passée aux grives

C’est le mode de chasse le plus pratiqué et le plus populaire en Gironde. Ce mode de chasse consiste à se positionner stratégiquement sur les axes de passages des oiseaux et de les attendre pour les tirer au vol.

Ce mode de chasse se pratique durant la période migratoire automnale souvent à la passée du matin en octobre.

A partir du mois de novembre, cette chasse se pratique également à la passée du soir, sur l’axe de passage des oiseaux qui rejoignent leur dortoir, où ils se regroupent pour dormir.

Chasse aux gluaux

Pratiqué en Provence. On capture des grives vivantes pour fournir en appelants les chasseurs de grives dans les « postes à feu ».

Posté au milieu de jeunes arbres, dans lesquels sont disposés de façon visible les gluaux (baguettes de 50 cm environ enduites de glu), le chasseur attire les grives à l’aide d’appelants (grives en cage) et en imitant leur chant à l’aide du « chilet » (sifflet).

Les oiseaux attirés se posent alors sur les gluaux dont ils sont retirés immédiatement.

Autres chasses traditionnelles

La tenderie aux grives : On attrape des grives avec un collet en crin de cheval. C’est une chasse traditionnelle pratiquée en automne dans les Ardennes.

La tenderie au vanneau : On capture des vanneaux avec des filets au sol. Cette chasse traditionnelle se pratique dans les Ardennes, sur une vingtaine de communes.

Les matoles : On capture des alouettes sous des petites cages.

Les pantes à alouettes : L’alouette des champs se chasse au filet appelé « pantes aux alouettes », c’est la chasse traditionnelle du sud ouest uniquement axée sur la migration de ces oiseaux soit du 1er octobre au 20 novembre. L’alouette se chasse également au fusil. Le tir de l’alouette depuis les pantes est interdit.

La chasse au « miroir » : posté avec un fusil, on attire les alouettes au moment de la migration avec un leurre tournant, le « miroir aux alouettes ».

Chasse à la hutte

La hutte est un des modes de chasse au gibier d’eau spécifique à la traque des anatidés, elle se déroule de nuit à partir d’installations (fixe ou flottante) immatriculés de façon légale dans 27 départements français.

Ce mode de chasse appelé « Hutte » dans le Nord et la Picardie, « Gabion » en Normandie et « Tonne » dans le Sud Ouest se pratique à l’intérieur des innombrables zones humides ou l’on trouve les nappes d’eau chassables susceptibles d’accueillir des oiseaux comme les baies, estuaires, fleuves, rivières, marais, lacs, étangs, marres, plaines inondables, tourbières…

Certaines installations sont très précaires et ne sont composées que d’une seule pièce, d’autres beaucoup plus spacieuses contiennent plusieurs salles avec cuisine, télévision, chauffage, électricité et lit pour dormir.

Le principe consiste à faire poser les oiseaux sur l’eau à portée de tir à l’aide d’appelants vivants et accessoirement de forme en plastiques. Ces derniers sont disposés stratégiquement et judicieusement sur la mare en fonction du sens du vent, de l’arrivage du canard, de la marrée, ou de l’attache de la hutte voisine.

A la hutte les appelants sont les auxiliaires indispensable et d’une importance primordiale, de part leur disposition en fonction de leur chant.

On distingue trois grandes familles d’appelants : Les colverts, La sauvagines et Les oies.

– Le Colvert est la base d’une attache : suivant le nombre cri, l’intensité et le ton de l’appel nous endenterons parler de longs-cris, demi-cris, courts-cris et de certaines catégorie comme les chanteuses, les allongeoires, les amassoires ect…

– La sauvagine, regroupe toute les espèces de canard sauvages autre que le colvert, pour exemple nous retrouverons : Sarcelles, Siffleurs, Chipeau, Pilet, mais aussi Milouin, Morillon et d’autres encore ; Certains chasseurs opteront pour des croisements ou hybridation afin améliorer la résistance ou le chant des appelants. Cette pratique est courante notamment chez la sarcelle ou le pilet, les canards sont alors appelé « hybride pilet » par exemple.

Attention les hybrides avec des espèces non autochtones ne sont pas autorisés…

Une fois son attache effectué le chasseur attend la pose et guette à travers de petite ouverture appelé guignettes, guichets, créneaux ou encore visée. A l’affut de tout changement sur sa marre il fait très attention au comportement de ses appelants pouvant lui indiqué le passage ou l’arrive d’oiseaux et fait preuve de patience.

Quand une pose arrive, le chasseur identifie l’oiseau à l’aide de ses jumelles, puis tir depuis les guignettes.

Chasse à la botte

La chasse à la botte consiste à prospecter certaines zones humides en essayant de surprendre et d’approcher le gibier d’eau.

Ce mode de chasse équivalent à la chasse devant soi en plaine peut s’avérer très athlétique car la prospection des zones humide n’est pas des moins aisée et souvent une certaines connaissance du terrain.

Bien que ce celui-ci ne soit pas des plus pratiquer, il s’avère très efficace sur les limicole et même excellent pour la traque de la bécassine qui se déroule généralement à l’aide d’un chien d’arrêt ; l’on pourrait aussi chasser ainsi les canards.

Hutteau ou cercueil

En bord de mer, on se dissimule dans une cache et on attend que les oiseaux se rapprochent avec la marée.

Entre deux marées, le chasseur creuse une cache dans le sable dans laquelle, allongé sur une simple toile ou matelas de paille, il attend que les oiseaux (limicoles, canards….) se posent à proximité (utilisation d’appelants artificiels ou formes).

Le hutteau mobile, sorte de caisse allongée souvent dénommée « cercueil « , que l’on transporte sur deux roues amovibles sur le lieu de chasse, est un peu plus sophistiqué.

Le hutteau carré, réalisé avec une toile fixée par 4 piquets permet de tirer au passage, de jour. Sur les bords de Loire on construit aussi des huttes temporaires.

Chasse à la passée

La chasse à la passée concerne essentiellement les canards et se pratique au crépuscule et à l’aube lorsque les anatidés se déplacent entre les zones de repos diurnes et les zones d’alimentations nocturnes.

Posté aux bords d’un étang, sans bouger, le chasseur attend que les canards viennent se poser. L’emploie de forme en plastique ainsi que des appeaux peuvent être utilisés.

Cette chasse bien qu’assez opportuniste n’en demeure pas moins merveilleuse.

En effet qu’elle plaisir que d’entendre le sifflement d’ailes des canards tournoie au dessus de l’étang avant même des les voir. Le chasseur se raidie alors et sais que dans quelques instant sont gibier favoris devrait « faire surface » !

Autres chasses du gibier d’eau

La chasse au pédalo : La chasse des anatidés « au pédalo », est spécifique du Bassin d’Arcachon. Ce mode de chasse se pratique de jour et principalement à marée haute.

Il consiste à l’aide d’une embarcation légère propulsée par un pédalier (d’où le nom de pédalo), lestée de façon à avoir une ligne de flottaison très basse, à approcher en pleine eau et tirer des anatidés d’abord posés puis à l’envol. Le chasseur repère les oiseaux depuis une embarcation motorisée et ensuite tente l’approche avec le pédalo sur des distances de plusieurs centaines de mètres. Réservé aux initiés du Bassin d’Arcachon, moins d’une dizaine de chasseurs pratiquent encore ce mode de chasse difficile.

La chasse en bateau : On approche le gibier d’eau avec un bateau. Elle se pratique en mer, sur les grands cours d’eau et sur certain lacs. Le moteur est interdit en phase de chasse et deux fusils maximum peuvent monter dans les embarcations. Le « punt », embarcation très légère à fond plat, est utilisée en mer.

La vannautière : La « cabane à vanneaux » ou « vanneautière », consiste, depuis une cabane installée le plus souvent dans une prairie humide, à attirer les vanneaux huppés et les pluviers dorés à l’aide d’appelants et d’appeaux puis à les tirer posés et/ou au vol

Chasse au furet

On débusque le lapin de son terrier grâce à un furet. Le furet est un petit mustélidé, comparable au putois, élevé et dressé par le chasseur. Il est introduit dans les terriers de lapins puis les chasseurs tirent les animaux qui sortent comme des « boulets de canons ».

La chasse au furet permet aussi de faire des captures de lapins vivants en vue de les réimplanter sur un autre territoire spécifiquement aménagé.

L’on place alors des « bourses », sorte de sac en maille de filet, à la sortie des terriers. Les lapins ainsi capturé sont vaccinés puis relâcher ailleurs.

Il arrive parfois que le furet saigne un lapin au fond du terrier, c’est à dire qu’il l’attrape à la gorge et le tue. Le furet reste alors « collé » et il faut bien souvent attendre de très longues heures pour le voir réapparaitre !

Battue

La chasse en battue du grand gibier est un mode de chasse très ancien et le plus répandu en France. Il tire ces origines du temps des Gaulois.

Il consiste à définir une parcelle de chasse (enceinte) et à répartir dans les limites de celle-ci des chasseurs postés. Une équipe, armés ou non, débusque le gibier avec des chiens à l’intérieur de la parcelle. Le gibier est tiré par les chasseurs postés à l’extérieur et autour de la parcelle lorsqu’il franchi la ligne. Les chiens peuvent être des chiens courants (Bruno du Jura, Grand Griffon vendéen, Beagle etc.) ou des chiens de  » petit pied  » (Fox, Teckel, etc.). Les seconds ont progressivement supplanté les premiers, en particulier dans l’Est et le Nord de la France.

Ces petits chiens décantonnent moins les animaux et sont souvent plus ardant sur le sanglier, mais le chasseur perd le plaisir de la « musique », celle que procure quelques grands chiens bien gorgés.

Les espèces chassées sont principalement le sanglier, le chevreuil, le cerf, et, parfois en zone forestière, le chamois, l’isard et le mouflon.

La chasse en battue procure de vive émotion et qui na jamais eu le cœur qui s’emballe lorsqu’il entend craquer les branches à quelques dizaines de mettre lui et voit soudain débouler un magnifique cerf ou un vieux solitaire de plus de 100 kg poussé par les chiens.

La battue fait peu cependant donné lieu à polémique pour plusieurs raisons. Elle est parfois imposée comme mode de chasse unique du grand gibier, notamment dans les chasses communales ou ACCA du sud de la France. Les chasseurs non alors plus le droit de tirer en petit comité, à l’affut et à l’approche ou même à la billebaude de gros animaux.

D’autre part du fait des armes et des projectiles employé la battue revêt un aspect dangereux. D’ordre général les tires dans l’enceinte sont à proscrire, sauf terrain accidenté, et des consignes de tir strictes doivent être données avant chaque traque pour prévenir tout risque d’accident. Les tires doivent être toujours fichant et réaliser avec un angle de tir supérieur à 30° par rapport à son voisin direct.

Heureusement les chasseurs on de nos jours pris conscience des dangers potentielle que ce mode de chasse représente. Le port de gilet fluo, le balisage du terrain, l’utilisation de miradors, l’emploi d’armes rayées permettent de chasser dans de bonne condition.

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