Voilà une chronique qui va droit au but sur un sujet qui est assez peu abordé dans les médias traditionnels et qui risque bien de faire grincer des dents les propriétaires de petits matous.
C’est dans « Voyage en absurdie », une chronique d’Emmanuelle Ducros que la question des dégâts générés par les chats domestiques sur la biodiversité est abordée.
Elle traite le sujet de manière très factuelle et apporte les chiffres de différentes études menées aux États-Unis et en Australie, des pays dans lesquels le chat domestique est déjà responsable de la disparition de plusieurs espèces et notamment d’espèces d’oiseaux.
Bien que depuis cette chronique, certains s’en prennent à la journaliste, difficile de ne pas lui donner de crédit sur ce point car même la LPO a pris position pour réduire la croissance du nombre de chats domestiques à cause de son impact négatif sur la biodiversité et va même plus loin :
« La LPO préconise, également, le piégeage à des fins de stérilisation des chats semi-domestiques et des chats harets, dans le respect du bien-être animal. »
Rappelons qu’il y a en France environ 12 millions de chats domestiques, ces derniers peuvent capturer en moyenne 27 proies par an s’ils sont bien nourris. Les chats errants de leur côté sont en moyenne à 273 proies par an et les chats harets à 1071.
Quelques bonnes pratiques sont à appliquer pour réduire l’envie de votre greffier de partir à la chasse et sont également rappelées lors de cette chronique :
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .