Le brame du cerf est d’une violence rare, on ne cessera jamais de le répéter. Qui n’a jamais vu de cerf de près ne peut le comprendre, et pourtant avec des animaux qui pèsent de 150 à presque 200 kilos, il n’est pas rare que l’issue des combats ayant lieu pendant le brame soit fatale.
Récemment nous avons publié une vidéo de 2 cerfs emmêlés dans du fil barbelés en Auvergne, dont l’un est malheureusement mort des suites de ses blessures ou d’épuisement.
A Hourquette d’Ancizan, dans les Hautes-Pyrénées, un chasseur a filmé un cerf blessé après un combat avec un congénère. Le pauvre animal a été vu avec un bois complètement arraché au niveau du pivot. On imagine que dans une tentative désespérée de tuer son adversaire, ou en voulant à l’inverse parer une attaque, son bois a cédé sous la pression.
Hélas, les blessures de cet animal étant bien trop importantes pour espérer une quelconque guérison, les chasseurs locaux ont procédé à son tir, lui évitant ainsi de nombreux jours de souffrances.
7 réflexions sur « L’augmentation des prélèvements de sangliers ne rime pas avec baisse des indemnisations de dégâts »
Ok, bien compris les courbes. Alors comment expliquer qu’il existe encore des départements où il est obligatoire de poser un bracelet sur les sangliers prélevés ? Payer les dégâts, ou réserver la chasse à une catégorie ?
Est-ce qu’il ne serait pas plus efficace de permettre à tout le monde, par tout temps et tous lieux de prélever des sangliers ?
Les populations à ce moment là baisseront peut-être, mais il sera obligatoire de mettre en place des structures et des filières pour écouler les bêtes, les congélateurs des chasseurs débordent. Il n’y a plus aucun intérêt à en tuer. L’argent issue des filières pourrait permettre de prendre en compte des frais, de tous ordres et notamment une partie des dégâts peut être.
Bonjour,il faut changer de stratégie pour le sanglier, il faut des tirs de nuit aux abords des cultures à risques !!!!sinon la faillite arrive à grand pas!et offrir les sangliers aux personnes dans le besoin après dépeçage ou une filière de valorisation .
Aïe…Aïe… Ce serait si simple mais non !
Le sanglier issue d’une chasse »dite normale » ne peut être »offert » qu’entier, vidé mais non dépecé ,avec l’avertissement du risque de trichinellose (il sera dépecé que dans le cas de la distribution aux chasseurs du jour)
Les filières de valorisation ne prendront que les animaux issue d’une chasse normale ,(et non dans le cas de destruction)et qu’après premier examen effectué par une personne ayant suivi la formation dépeçage et dans des conditions sanitaires et chaine du froid adéquat, (avec document ,sans aucunes anomalies signalées, d’origine et de suivi, sans aucunes anomalies signalées,) sinon équarrissage au frais du »fournisseur »
Dans le cas de tirs de nuit, de battue administrative ou encore de piégeage, qui sont des actions de destruction, normalement la destination finale est……………… l’équarrissage.
» »’L’augmentation des prélèvements de sangliers ne rime pas avec baisse des indemnisations de dégâts »’
Cette affirmation est totalement absurde, tant que le taux de croissance des populations de grande faune sera toujours supérieur au taux de prélèvement.
Comment les dégâts pourraient diminuer lorsque les populations continuent de croître.
C’est le faux discours très fallacieux que l’Administration et les commissions CDCFS ne cessent de répéter , sans jamais proposer de solutions pertinentes
On a peut-être des agriculteurs qui préfèrent l’indemnisation….. Pourquoi ne protègent ils pas mieux leurs cultures ?
Et….Et il y a les propriétaires, les agriculteurs et les allocataires :
-qui ont la chasse pratiquement toute l’année (souvent louée, bien qu’acceptant les indemnités dégâts)
-qui ont la possibilité de piéger le sanglier (pour destruction ,pas reprise) sans restriction et qui vous déclarent haut et fort »si nous détruisons les mères et les petits nous n’aurons plus rien a chasser l’année prochaine » et donc ne font rien
A en croire ces messieurs que: s’il n’y a plus de sangliers il n’y aura plus de chasse !!!
Donc les outils existent alors si: »Vous ne chassez pas, vous ne piégez pas, ou encore si vous louez votre ‘chasse’ = PAS D’INDEMNISATIONS DEGATS .Un point c’est tout! »
(Re…Et…) Le cas du fermier agriculteur qui déclare les dégâts auprès de sa Fédé, alors que le propriétaire du fond loue la chasse y compris les terrains en fermage.
Je pense que dans ce cas là la facture devait être adressée au propriétaire et non a la Fédé .