Ce jeudi 14 mars, les promeneurs habitués à se rendre en forêt de Sénart devront rebrousser chemin car l’ONF a décidé d’organiser une battue aux sangliers. Plusieurs communes du secteur ont signalé des dégâts grandissants causés par les suidés ce qui a mené les agents de l’ONF a se mobiliser pour une nouvelle battue.
Une battue exceptionnelle en réponse aux dégâts.
Sur les communes de Boussy-Saint-Antoine, de Brunoy, de Draveil, d’Epinay-sous-bois et de Vigneux-sur-Seine, les dégâts de sangliers constatés dans les jardins et les champs limitrophes de la forêt de Sénart ont forcé l’ONF a prendre des mesures.
Une battue aux sangliers est donc en train de se tenir en vue de continuer à faire baisser le nombre de sangliers présents dans les massifs forestiers de l’Essonne.
Depuis la fermeture de la chasse, les plaintes ont continué à affluer et il a donc été décidé de relancer l’organisation de journées de chasse afin de maintenir une pression cynégétique importante sur les populations de suidés.
A lire aussi : Le torchon brûle entre la Chambre d’agriculture et les chasseurs au sujet des sangliers dans la Nièvre
Si cette semaine, c’est dans un secteur choisi que la chasse va se tenir, deux autres battues sont d’ores et déjà prévues la semaine prochaine sur les massifs de Notre Dame et de la Grange.
Comme à chaque fois, des panneaux de signalisation seront installés aux abords de la zone chassée mais il est demandé aux promeneurs habitués à se rendre en forêt de Sénart de rester vigilants les jours de chasse, même lorsqu’ils sont organisés de manière exceptionnelle.
La sécurité routière est aussi un enjeu de taille.
Les dégâts dans les jardins et sur les cultures sont une raison suffisante pour déclencher une intervention de régulation mais il existe d’autres problématiques relatives à l’explosion du nombre de sangliers dans les forêts Françaises.
Sur certains secteurs, la sécurité routière entre également en ligne de compte.
Dans des zones péri-urbaines qui possèdent de nombreux bosquets ou des plaines attrayantes pour les sangliers, ces derniers n’hésitent pas à traverser les grands axes pour se déplacer d’un point à un autre.
Cela représente un danger grandissant pour les usagers de la route qui risquent alors d’entrer en collision avec un sanglier et donc d’avoir un grave accident.
Les apparitions du grand gibier sur les routes se font plus souvent de nuit mais le nombre important de sangliers partout en France fait que même pleine journée, il est possible d’en apercevoir sur les routes.
Ces battues exceptionnelles sont donc nécessaires pour les élus locaux, ce qui a donc motivé l’ONF relancer la chasse, bien que pour certains chasseurs, on soit totalement hors saison.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .